Endoloris

By Ambrouille_crea

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La fillette était prostrée dans un coin de sa chambre, ses genoux près du cœur et ses mains sur ceux ci... ... More

Chapitre 1
chapitre 2
chapitre 3
chapitre 4
chapitre 5
chapitre 6
chapitre 6 suite
chapitre 7
chapitre 8
chapitre 9
chapitre 10
chapitre 11
chapitre 12
chapitre 13
chapitre 14
chapitre 15
chapitre 16
suite chapitre 16
Chapitre 17
chapitre 1 partie 2
Chapitre 2
chapitre 3
chapitre 4
Chapitre 5
chapitre 6
Chapitre 7
chapitre 8
Chapitre 10
chapitre 11
chapitre 12
chapitre 13
chapitre 14
chapitre 15
chapitre 16: une nouvelle série d'agression
chapitre 17: le réveillon de noël
chapitre 18: un cadeau de noël particulier
chapitre 19
chapitre 20
chapitre 21: une fin d'année déchirante
chapitre 22
chapitre 23
un lourd secret révélé
prise de conscience
Une étonnante soirée d' Halloween.
Un retour perturbant .
Un retour perturbant.
2 janvier
Une bataille de boule de neige
Chapitre sans titre 50
Une grande nouvelle
Quel gentil cousin
Le tournoi des Trois Sorciers
Option
Les délégations étrangères
Un tricheur
Des dragons....Sérieusement?
Un bal affligeant
Honeydukes et otages sous-marins
Superbes vacances de Paques
La reprise des cours
La troisième épreuve du tournoi des trois sorciers
Révélations
Des vacances dans les vacances
Une famille aimante
Des Vacances chez les Leroux
Enfin la fin des vacances
La Grande Inquisition
La tête de Sanglier
L'AD
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1 er octobre 1982
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Lettre à mon enfant
Un bébé imaginaire
Le début de la cinquième année
L'art de se rendre inintéressant
La nouvelle demeure de Kreattur
Métamorphose et Sectumsempra
Les BUSES
L'enterrement
Apéritif pas très festif
Les entrainements de Drago
La dépression
Les résultats des BUSES
Leur ressemblance
Une nouvelle Serpentarde
Le dortoir de Salazar Serpentard
Adieu à Serdaigle
Exercice d'Endoloris
Lancer, ou ne pas lancer
Le vol
L'ultime insulte de Kelly
La fin de Kelly Simon

chapitre 9

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By Ambrouille_crea

       

Les immenses tables de bois massives se couvrirent de mets en tous genres et de toutes couleurs une fois le discours du Directeur Albus Dumbledore finit. Lorsque les mains du célèbre sorcier s'étaient jointe une dernière fois en signe du début officiel de cette année scolaire tous les élèves avaient applaudi, certain par furieuse envie de dévorer les plats, d'autre par réelle joie de retrouver Poudlard en tant que maison.

Un brouhaha assourdissant s'éleva dans l'air, rendant à la Grande Salle sa vie perdu durant les longs mois de vacances.

On reconnaissait les nouveaux sorciers fraichement répartie à leurs tenus encore différentes mais surtout à l'expression de leurs visages. Il y avait l'enfant heureux d'avoir obtenue la place attendu et tant convoité durant de longue années, cela se traduisait par un immense sourire et des yeux pétillant de joie partout où son regard voulait bien se posé. Et il y avait l'enfant à qui le choipeaux n'avait pas donné raison à son imaginaire et qui se trouvait donc le regard hagard ou soucieux à observer ce château qui à leurs yeux avait déjà perdu de sa magnificence.

Irina n'avait pas touché aux plats à ses côtés, elle gardait obstinément ses mains sous la table, le visage encore plus pâle que lorsque son embarcation avait failli se renverser sur le lac.

Ses voisins avaient bien tenté de la faire sortir de son mutisme mais ils n'en avaient récolté qu'un silence encore plus embarrassant, Ils tentaient de rester courtois et de ne pas exclure la jeune fille quant bien même elle arborait le nom peu flatteur des Lestrange.

Le regard de la jeune fille était perdu dans quelque relief de la table, on voyait bien que son esprit grouillait de pensée plus ou moins en rapport avec sa répartition, sa bouche se tordait parfois et ses sourcils ondulant montraient une activité cérébrale pesante. Tout son corps semblait tendu comme l'attestait les tremblements de ses épaules.

Tous l'avaient vu être la plus démuni possible, lorsque de grosse larme avait débordé de ses yeux apeuré avant de s'écraser contre le pavé de la grande salle. Fort heureusement pour elle, la plupart des élèves avaient déjà oublié ce malheureux accident au profit des nombreuses saveurs présentes sur la table, bien plus intéressante qu'une première année déboussolé.

D'autre préférait ne rien dire, ceux ci se rappelant de leurs premiers jours et ne désirant pas être fiché par un quelconque adjectif ces jours là où leurs repères avaient disparut et où leurs parents consistaient un manque viscéral.

La fin du repas de bienvenue s'acheva sous les râles de satisfaction des estomacs et les sonores bâillements d'épuisement.

Les préfets de chaque maison se levaient alors, leurs insignes en évidence sur leurs poitrines pour guider les nouveaux élèves de leur maison dans leurs dortoirs respectifs.

De longue file se créèrent face aux étudiants en chef hurlant pour obtenir le minimum d'autorité leur étant dû.

Bientôt les différentes files des quatre maisons se séparèrent, celle de Serdaigle grimpa le long escalier tandis que celle de Serpentard s'engouffra dans les entrailles de l'école.

Les jeunes bleus et argent montèrent jusqu'à la plus haute tour de l'école et, à bout de souffle s'arrêtèrent devant le tableau d'une dame élégante parée d'un drap bleue à paillettes.

Cette femme au visage anguleux et aux yeux translucide énonça d'une voix énigmatique.

- Combien de goutte peut-on mettre dans un verre vide ?

Le préfet Robert Hilliard expliqua d'une voix assuré :

-          notre système de protection de la salle commune de Serdaigle est particulier, pour entrer dans notre tour il ne sera pas question d'un mot de passe mais d'une énigme a laquelle vous devrez répondre si vous voulez pouvoir rejoindre vos dortoirs... Si vous échouer, il vous faudra attendre qu'un autre élève y parvienne... Quelqu'un aurait-il une potentielle réponse à donner ?

Un long murmure étonné gonfla au sein du groupe des jeune Serdaigle.

Un jeune garçon au visage constellé de tache de rousseur se risqua, un sourire confiant aux lèvres.

- 1 millions !

Le tableau répondit par la négative.

S'en suivit une multitude de réponses lancés à la volé, pour la plupart comprenant le plus de nombre possible.

Le tableau répondait à chaque fois par la négative, son ton se faisant de plus en plus irrité jusqu' à ce qu'une réponse retint l'attention de la gardienne.

Le visage d'une jeune fille piqués de tâches de rousseurs et à la chevelure volumineuse de boucles cuivres s'imposa au tableau. La fillette réitéra sa réponse.

-          Il ne suffit que d'une seule goutte pour que le verre ne soit plus vide !

La porte s'ouvrit, laissant passer la petite troupe.

Une salve d'applaudissement accueillie la réussite de la jeune fille qui théâtralement s'inclina.

Le préfet lui demanda même son nom. La fille grimaça un instant puis ajouta avec un étrange accent.

-          Catherine Leroux.

Son ton s'était fait posé et trainant, les syllabes semblaient creuses, loin des sonorités de l'anglais. Pourtant elle avait précédemment répondu sans accent, elle avait donc intentionnellement donné son nom avec –surement- son accent de naissance.

Le préfet acquiesça et tenta de répété ce prénom avec les sonorités non-anglophone mais il n'en résulta qu'un mélange peu harmonieux.

-          Appelle moi Kate, c'est plus simple pour tout le monde ! s'exclama-t-elle après une seconde tentative infructueuse du jeune préfet pour prononcé son nom sans accent.

Puis la jeune fille, toute guillerette s'engouffra à son tour par la porte secrète la séparant de la si attendu salle commune.

Une large pièce circulaire s'étendait devant les yeux émerveillé des jeunes arrivants, au sol un immense tapis bleus nuit qui semblait moelleux rien qu'à l' œil, de large fenêtre aux multiples rideaux de bronze et de soie bleue ainsi qu'un plafond vouté représentant un ciel étoilé dépassaient bien largement leurs attentes concernant le confort des Serdaigle.

De profond siège et canapé de toutes tailles reposaient près d'une cheminée de marbre où trônait fièrement une horloge de granit comprenant 7 aiguilles.

A la gauche quelques tables circulaires de travail avaient été disposées près de pans entier de bibliothèques. Au milieu de deux étagères croulant sous divers ouvrages et bibelots avaient été sculptés à même la pierre de la tour une statue de femme drapé d'un voile léger et d'une cape de sorcière laissant apparaître un gros grimoire et une fine baguette entre ses mains frêles.

« Rowena Serdaigle, co-fondatrice de Poudlard et la sorcière la plus brillante de son siècle. Sa clairvoyance et sa créativité nous inspire tous ici... » S'obligea à expliquer le préfet devant les mines perdu des élèves.

De chaque côté de la Statue se trouvait deux escaliers en colimaçons donnant sur les dortoirs des élèves.

-          Les filles montent à droite et les garçons à gauche, chaque chambrée comporte 4 lits, vous trouverez le votre avec vos valises nominative dessus. Si vous avez des questions ou des problèmes durant la nuit vous pouvez vous en  référez aux préfets, donc Liliane Forey et moi même. Cependant Miss Forey étant momentanément malade vous pouvez tous venir me voir en cas de problème.

Puis il souhaita bonne nuit à tous, leurs rappelant tout fois qu'ils ne devaient pas faire trop de bruit le cas échéant il serait contraint de retirer des points aux jeunes élèves.

Les nouveaux se précipitèrent, excité, vers leur dortoirs respectifs, pressé d'y trouver leurs affaires et de pouvoir se coucher dans des lits surement aussi confortable que les canapés.

Irina grimpa doucement l'escalier en colimaçon, le cœur encore bien trop chamboulé pour s'émerveiller d'un quelconque ciel étoilé et d'une bibliothèque démesurément fourni.

Non elle n'avait besoin que d'une seule chose, s'isoler, réfléchir et surement pleurer très longtemps pour tenter d'évacuer l'angoisse et la peur éprouvé durant sa répartition. Et avec un peu de chance réussirait elle à retrouver tous les morceaux de son petit cœur éparpillés dans son être et à les recoller avec un quelconque baume.

Elle s'arrêta devant la première porte d'où s'extirpait des paroles étouffés et des bruits sourds de heurt avec des meubles. La jeune fille s'apprêtait à toquer mais elle arrêta son geste... 

Elle était dans la tour Ouest de Poudlard, dans le dortoir de Serdaigle et elle allait entrer dans une chambre où elle dormirait et passerait les 7 prochaines années de sa vie en compagnie de 3 filles dont elle ne connaissait ni le nom ni le visage. Comment avait-elle put oublier ce « détail » ?

Elle avait été si obnubilé par la répartition et ses enjeux qu'elle n'avait réfléchit a une quelconque suite...de surcroit si cela se passait dans les dortoirs des bleu et bronze.

Irina n'avait aucune envie d'enter dans cette chambre, confronté à son échec et aux regards des ses futurs camarades de chambrées .7 ans...cela représentait presque un laps de temps aussi important que toute sa vie entière.

La jeune fille fit un léger pas en arrière, que devait-elle faire ?

Une forte douleur à l'estomac traduisant d'un profond stresse montait progressivement en elle. Ses jambes s'écartèrent encore de la porte.

Elle voulait s'éloigner, s'enfuir plus loin possible. Elle savait cela ridicule, insensé, idiot.

Mais elle avait peur, bien trop peur à son gout. Et elle n'avait pas été a Gryphondor alors elle avait le droit d'être effrayé.

Cependant la porte de chambrée s'ouvrit à la volé avant qu'Irina n'ait put prendre une quelconque décision, une fille au visage rebondit et aux cheveux platines tressé s'arrêta dans son élan.

Toute gêné la blonde s'excusa sommairement avant de s'élancer au bout du couloir, clopinant sur ses jambes et tentant de faire le moins de bruit possible.

La chambre était un arc de cercle aux murs de pierre anthracite et aux fenêtres éparses disposés de manière anarchique entre les lits et les bureaux rendant compte de point de vue divers et varié sur une grande partie du parc de l'école.

Quatre lits à baldaquin aux longues étoffes cobalts encadrés par quatre bureaux de bois massif et autant d'armoires et de tables de chevet constituaient le principal mobilier des étudiants de Serdaigle.

Irina reconnu la jeune « Catherine » en équilibre sur son lit avec à la main une affiche aux couleurs chatoyantes et de l'autre un bout de scotch sur chaque doigts.

Elle tentait désespérément de faire adhérer aux murs râpeux l'affiche de papier glacé en jurant dans une langue étrangère.

Une autre fille, une grande noire dégingandé rangeait consciencieusement ses habits dans son armoires, prenant bien gare de froisser le moins possible son précieux linge.

Irina reconnu sa valise, posé en évidence sur le dernier lit inoccupé et inencombré de la pièce, celui près d'une fenêtre  au cadre de bois constellé de marque noirâtre.

La jeune fille se dirigea discrètement vers son bagage, souhaitant le vider le plus silencieusement possible. On l'oublierait peut être ainsi et le temps la séparant de la confrontation verbale se retrouvera rallongé. Mais elle ne pouvait pas se leurrer elle ne pouvait décemment échapper aux présentations d'usage quant bien même elle ne se trouvait pas dans les souterrains de l'école en compagnie des jeune Serpentard.

Aurait-elle été plus à l'aise en leur compagnie ? Surement que non mais elle n'aurait pas ressentit cette incompréhension viscéral lui rongeant l'estomac.

La jeune Catherine laissa s'échapper de ses lèvres un soupire exaspéré et se laissa lourdement tombé sur ses draps.

-          Quelqu'un connaitrait un sort de fixation ? Le scotch ne fonctionne vraiment pas sur cette surface.

La jeune fille noire répondit par un timide « non » prononcé les lèvres pincées de timidité.

Irina quant à elle ne répondit rien...

La jeune quémandeuse remercia étonné le silence à peine troublé que lui avait valut sa question. Elle rangea donc son affiche dans sa valise éventré au milieu de la pièce et entreprit de la vider sans soin ou ordre particulier.

La jeune blonde réapparut dans la chambre et s'assit au bord de son lit, un réveil en forme de vache posé négligemment sur sa table de chevet en compagnie d'un jeu de carte et d'un livre épais aux pages cornée et délavé.

Un silence pesant alourdissait l'air et rendait pénible chaque mouvement trop bruyant de peur de gêner les autres filles.

Ce fut la brune aux cheveux bouclés qui rompit le silence par un coup de langue énergique suivit d'une nouvelle question à l'attention de tous ses camarades cette fois ci.

-          Bon, puisqu'on va partager la même chambre qui serait « pour » des présentations orale ?

Ayant pour réponse des hochements de tête et quelques « oui » murmuré pour seule preuve d'assentissement elle se lança la première dans des présentations non-exhaustives.

-          Je m'appelle Catherine Leroux, j'ai 11 ans, j'aime le chocolat et les silences pesant comme maintenant ! non plus sérieusement j'apprécie les livres et la musique classique...Je n'aime pas les poivrons ni les jeux trop compliquer à comprendre ! J'ai deux sœurs cadettes et une troisième en cours de préparation ...a qui le tour ?

La jeune blonde se lança après avoir laissé un autre silence s'installer.

- Bonjours moi c'est Liliana Jons, je vis a Manchester a Londres, j'ai une sœur ainée qui est en 5e année et j'aime les bonbons Honeyducks.

La jeune fille noire s'élança aussitôt la fin de la sommaire présentation de Liliana finit, de peur de ne pas oser parler.

-          Je m'appelle Maggie Bets je suis fille unique j'aime les animaux et la lecture de roman ainsi que le quiddich. je n'aime pas les personnes prétentieuses et hypocrites.

Tous les regards se tournèrent vers Irina resté muette et immobile. On ne l'avait pas oublié et la jeune fille était toujours visible dans le domaine du possible où son matelas ne l'avait pas encore avalé quant bien même elle se ratatinait dessus.

-          Euh. Je m'appelle...Irina Lestrange...Enchantée ?

Un long silence répondit à sa tentative de présentation...Que pouvait-elle dire de plus ? Qu'aimait-elle ? Que détestait-elle ? Avait-elle seulement quelques passions ?

-          J'aime bien lire...

Elle ne pouvait pas se permettre de dire des choses trop personnelles au risque de s'exposer encore plus. Lorsqu'elle prenait la parole elle s'était toujours sentit nu, ridicule et terriblement vulnérable...Son mutisme l'a protégeait contre les regards insidieux et les suspicieux. On pouvait la trouver bête de ne pas savoir s'exprimer mais on ne pouvait la penser exubérante ou ennuyeuse. Seulement bête. Et qui pouvait attester qu'elle ne l'était pas ? bien peu de monde. Pas même elle !

-          Je n'aime pas...parler.

Ses nouvelles camarades acquiescèrent de la tête. Elles discutèrent brièvement et d'un accord commun se mirent au lit en se souhaitant mutuellement de beaux rêves peuplé de licorne, proposition faites par Catherine qui récolta quelque gloussement.

Les respirations se firent régulières et profondes attestant d'une fatigue bien présente malgré la volonté de rester éveillé toute la nuit pour papoter du château aux pierres glacés et aux tapis moelleux.

L'orbe de la lune resplendissait et infiltrait chaque interstice plongeant la petite chambrée d'une lumière blanche aveuglante.

Le raie de lumière traversait la chambre, illuminant le sol bleu cyan et les bureau d'ébènes.

Le silence était troublé par le bruissement des draps et les ronflements sonores des différentes filles.  La jeune blonde, en boule, enrouler sous ses draps poussait des glapissements plus ou moins sonore contrairement à Catherine qui elle avait un pied et une main pendouillant lamentablement en dehors du matelas.

Maggie dormait sur le ventre, la face perdue dans son oreiller et dans ses cheveux crépus.

Quant à Irina on aurait pu la croire endormi, blottit dans ses draps on apercevait seulement un bout de nez frémissant et reniflant. De ses yeux s'échappait des larmes brulantes absorbées par le linge de Poudlard,  de lourd sanglot restaient emprisonné dans sa gorge sans qu'elle ne puisse et ne veuillent les libérer. Tous son corps tremblaient sous les assauts de ses violentes crispations dues aux larmes.

Elle n'aurait pas dû être ici, dans la tour des Serdaigle. Cela n'avait aucun sens ! Pourquoi les choses ne se déroulait elle pas comme prévu ? Pourquoi ? Avait-elle fait quelque chose de mal, est-ce une punition ? De qui, pourquoi ?

Elle replaça son visage au centre de son oreiller. Elle se devait d'être silencieuse a contrario de n'être assez forte pour affronter ce « destin » bien trop différent.

Pour ne rien arranger l'obscurité tentait d'agripper de ses ongles fourchus le corps chétif de l'enfant renforçant les gémissements plaintif durement étouffé se propageant dans la chambre circulaire.
Pour seule oreille attentive le vent se brisant sur la pierre et les carreaux.Heureusement, Irina n'avait aucune envie de devoirs se justifier auprès de quiconque de son échec, de sa lâcheté, de sa faiblesse. Aucune envie de bafouiller une myriade de vaines excuses.

Le sommeil ne l'avait saisi que bien plus tard, lorsque ses larmes avaient sécher et ses gémissement s'étaient tari, doucement l'enfant plongea dans un état de semi conscience embrumé puis enfin le monde des rêves prit le dessus sur le monde réel source d'inquiétude.

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