296-Arc Ashfeld : Acte V Le Rival Du Loup Blanc

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Dans la demeure d'Asbjörn vers l'extrême Est du Nord, le Jarl Gerald se trouvait autour d'une table avec ses sujets ainsi qu'un invité des plus prestigieux.

- Ha.... Ha.... Ha.... Ha.... Gémissait une femme nue qui subissait les violents coups de reins de William. Elle était allongée sur le ventre sur la table et William ne se gênait pas pour lui faire l'amour devant cet assemblée d'une bonne vingtaine de personnes.

- Roi William.... Pourrions-nous rentrer dans le vif du sujet? Dit Le Jarl Gerald qui serrait les poids de frustation. C'était un homme de la trentaine grand et musclé. Il avait un regard doux ainsi que de multitudes cicatrices sur les bras.

- Une minute Jarl Gerald.... Votre épouse est une vraie chienne.... Elle me pousse à surpasser mes limites... Il serait dommage de tirer coup si vite. Ce serait manquer de respect à votre noble famille. Dit William qui violait l'épouse du Jarl Gerald sans retenue. Nul ne se permit de contester l'autorité de cet homme.

- Ha... Ha..... Ha... Ha.... Dit la femme qui encaissait les assauts de Bastard qui devenait de plus en plus brutaux. La table était grandement secouée et la nourriture commençait à tomber à terre.

Le Jarl Gerald observait la scène sans cligner des yeux. Sa douleur était inimaginable mais il s'efforçait de rester fort et de ne pas craquer. Au bout de quelques minutes d'ébats intenses, William cessa ses assauts et s'assit sur son trône. La femme de Gerald souffrait atrocement et bougeait difficilement.

- Roi William... Pouvons-nous parler maintenant? Dit Gerald.

- Bien.. Je t'écoute. Dit William qui tira la femme de Gerald et la déposa sur ses genoux. Il commença à caresser tout son corps avec ses mains baladeuses. Devant cette scène, Gérald en devint plus brisé que jamais.

- Tu es sourd ou quoi?... J'ai dit que je j'écoutais. Dit William qui continuait à tripoter la femme de Gerald.

- Eh bien.. je... je.... Dit Gerald qui peinait à trouver les mots.

- Parle... Ton roi te l'ordonne. Dit William sur un ton grave.

- Roi William... Pouvons-nous....

- Ha... Ha.... Ha.... Ha... Dit la femme de Gerald qui se faisait doigté par William.

- Tu aimes ça hein... Petite salope..... Dit William qui la doigtait au fur et à mesure. La femme de Gerald gémissait de plus en plus fort et des larmes commencèrent à couler le long de ses joues. Gerald voulut se lever car là, c'était trop. Mais heureusement, un de ses sujets posa sa main sur son épaule pour le dissuader de faire une quelconque folie.

- Ha.. Ha.. Ha... Haaa... Ha... Haa... Ha... Gémissait de plus en plus la femme de Gerald. On n'entendait plus que sa voix dans ce silence.

- Jarl Gerald.... Parle.. Mon temps est précieux. Dit William.

- Roi William.... Roi William... Roi William... Dit Gerald qui était profondément agacé. 

- Ha.. Ha.. Ha... Ha.. Ha... Haaaa.... Gémissait sa femme de plus en plus fort. Après un instant d'Euphorie, William retira son doigt et le leva pour le montrer à tout le monde.

- Tiens donc... Du sang... Quelle belle saveur... Lèche.. Dit William en tendant son doigt à cette femme.
La femme de Gerald lécha assidûment le doigt de William avec beaucoup de maîtrise.

- Tu maitrises bien ta langue... Laisse moi en profiter un peu plus. Dit  William qui saisit la tête de la femme de Gerald et la dirigea vers son pénis. Celle-ci se mit à l'oeuvre sans discuter.

- Tu as une belle femme Gerald... Elle a du te combler durant toutes ces dernières années.

- Oui... C'est une merveilleuse femme. Dit Gerald qui serrait ses mains de plus en plus fort.

- Très bien... Entrons dans le vif du sujet... Jarl Gerald...

- Oui... C'est à propos des taxes que la reine Ymir impose... Nous ne pouvons accéder à cette requête... Nos ressources sont maigres et notre demeure est en pleine expansion.. Je vous prie de reconsidérer vos demandes sinon nous n'aurons plus de quoi survivre...

- Tu m'as fait déplacé rien que pour ça?....

- Mais c'est vous qui avez insisté pour venir ici... Roi William.

- Ah oui. C'est vrai. Je dois dire que ta femme valait le déplacement. Et en toute sincérité, je me suis déplacé ici juste pour la baiser. En plus elle suce presque aussi bien qu'Ymir.

- Mais... Roi William... Je....

- Inutile... Je ne suis pas venu ici pour négocier. Je suis venu pour baiser. Vos affaires de taxes et d'impôts, je m'en branle. Quand Ymir ordonne, je vous conseille d'obéir. Vous ne savez pas à quel point elle est effrayante. Dit William en se levant et en soulevant son pantalon.

- Henrik... On s'en va... Dit William en se tournant vers son compagnon.

- Très bien... Allons-y. Dit Henrik qui était un homme de la quarantaine avec un grand cicatrice qui partait de son cil droit vers l'extrémité de sa lèvre gauche. Il avait des cheveux courts brossés ainsi que des yeux de loups.

Gerald tenta de contenir sa frustation tandis que William et Henrik quittaient la cour du fort. Il regarda sa femme qui était allongée à terre et avec des larmes qui s'écoulaient et inondaient le plancher. Trop de honte s'était accumulé en lui et il cria de colère. Le cri d'un homme qui a failli à tous les niveaux.

Dans la Cité d'Asbjörn, William et Henrik se baladaient.

- William... Es-tu venu ici uniquement pour baiser la femme de Gerald?

- Bien-sûr que non... Quitte à baiser, nulle n'arrive à la cheville d'Ymir. Je voulais seulement lancer un message au Jarl Gerald.

- Un message?...

- Oui... Je viens de gentiment lui demander de se rebeller.

- Penses-tu qu'il acceptera.

- Oh que si il acceptera... Quand un homme est confronté à de telles extrémités, il perd la raison... Si Gerald ne se rebelle pas, je reviendra baiser sa femme encore et encore... jusqu'à ce que mort s'ensuive.

- Tu es fidèle à toi même William.

- Henrik.... À quand remonte la dernière fois qu'on a vécu une vraie guerre?

- Une bien belle époque qui commence à disparaître des mémoires.

- Une nouvelle guerre s'annonce... Une guerre comme on les aime... J'en déclencherai un avec ou sans son aide.

- Tu parles de qui?

- De mon rival..... De Sven le guerrier... Ou bien du Jarl Olaf.... Ce gamin arrivera à nous faire frissonner comme autrefois.... J'attends beaucoup de lui... Et j'ai horreur qu'on me déçoive. Dit William avec son sourire.

Sven Et Ingrid IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant