Endoloris

Av Ambrouille_crea

85.5K 6.4K 1.2K

La fillette était prostrée dans un coin de sa chambre, ses genoux près du cœur et ses mains sur ceux ci... ... Mer

Chapitre 1
chapitre 2
chapitre 3
chapitre 4
chapitre 5
chapitre 6
chapitre 6 suite
chapitre 7
chapitre 8
chapitre 9
chapitre 10
chapitre 11
chapitre 12
chapitre 13
chapitre 14
chapitre 15
chapitre 16
suite chapitre 16
Chapitre 17
chapitre 1 partie 2
Chapitre 2
chapitre 3
chapitre 4
Chapitre 5
chapitre 6
Chapitre 7
chapitre 8
chapitre 9
Chapitre 10
chapitre 11
chapitre 12
chapitre 13
chapitre 14
chapitre 15
chapitre 16: une nouvelle série d'agression
chapitre 17: le réveillon de noël
chapitre 18: un cadeau de noël particulier
chapitre 19
chapitre 20
chapitre 21: une fin d'année déchirante
chapitre 22
chapitre 23
un lourd secret révélé
prise de conscience
Une étonnante soirée d' Halloween.
Un retour perturbant .
Un retour perturbant.
2 janvier
Une bataille de boule de neige
Chapitre sans titre 50
Une grande nouvelle
Quel gentil cousin
Le tournoi des Trois Sorciers
Option
Les délégations étrangères
Un tricheur
Des dragons....Sérieusement?
Un bal affligeant
Honeydukes et otages sous-marins
Superbes vacances de Paques
La reprise des cours
La troisième épreuve du tournoi des trois sorciers
Révélations
Des vacances dans les vacances
Une famille aimante
Des Vacances chez les Leroux
Enfin la fin des vacances
La Grande Inquisition
La tête de Sanglier
L'AD
Une demande officielle
Le café de Mme Pieddodu
Patronus et agitation
La dispute
Les conséquences
Retour à la bibliothèque
Est-ce que j'en vaut la peine?
Beaubâtons ce sera.
Le centre
La pensine
Hélène Carrow et Sirius Black
Le testament
Souvenirs
Le manoir Black
La chambre de Sirius
1 er octobre 1982
Le bal
Le chemin de traverse
Lettre à mon enfant
Un bébé imaginaire
Le début de la cinquième année
L'art de se rendre inintéressant
La nouvelle demeure de Kreattur
Métamorphose et Sectumsempra
L'enterrement
Apéritif pas très festif
Les entrainements de Drago
La dépression
Les résultats des BUSES
Leur ressemblance
Une nouvelle Serpentarde
Le dortoir de Salazar Serpentard
Adieu à Serdaigle
Exercice d'Endoloris
Lancer, ou ne pas lancer
Le vol
L'ultime insulte de Kelly
La fin de Kelly Simon

Les BUSES

216 31 3
Av Ambrouille_crea


Fort heureusement, Drago se remit vite d'aplomb de ses blessures. Les bons soins de Mme Pomfresh y étaient pour beaucoup ; le pauvre garçon avait passé plus d'une semaine entièrement oint d'onguents odorants dans le but d'atténuer ses cicatrices. Et désormais, Drago Malefoy ne présentait plus trace de cette fâcheuse altercation, enfin, il ne gardait plus de traces visible.

Une unique et longue entaille apparaissait sur le devant de son cou pour se perdre subtilement à la jonction de sa mâchoire et de son oreille.

Mais les traces les plus marquantes étaient celles invisibles aux autres. Car Drago n'avait pas pu parfaitement cicatriser.

Comme l'avait expliqué Mme Pomfresh, les onguents et les sortilèges avaient une limite. Ils pouvaient optimiser ou améliorer la guérison, mais ne pouvaient pas faire des miracles ; l'une comme l'autre technique demandait au corps du malade de se guérir, puisant dans les ressources de ce dernier. Si les blessures étaient trop profondes, mortelles ; tous les meilleurs sortilèges du monde ne le sauveraient pas car le réactif limitant serait ici le corps du blessé.

Pour Drago ce n'était pas la gravité des entailles, mais plus leurs nombres affolants qui avaient empêché son corps de pleinement faire disparaitre les stigmates.

En dessous de sa chemise, sur son dos, ses reins, son torse, ses bras, ses cuisses, son ventre ; des dizaines de stries rosâtres sur sa peau de marbre. Irina l'avait bien malgré elle surpris tandis qu'il observait, dégouté, les marques sur son corps alors qu'elle venait lui rendre visite à l'infirmerie.

Bien sûr, Drago avait hurlé en la voyant à le scruter et il s'était empressé de reboutonner précipitamment ses vêtements, pestant sur la discrétion perverse de sa cousine.

Puis, ils n'en avaient plus parlé, mais la jeune Lestrange avait bien remarqué qu'il faisait bien plus attention à se couvrir entièrement. Alors que le printemps pointait le bout de son nez, pas un centimètre de peau entre le col de sa chemise, boutonné jusqu'à l'étouffer, et ses chevilles n'était exposé.

En plus de son aspect physique modifié, Drago paraissait encore plus sujet à de brusques accès de paranoïa ; il gardait sa baguette toujours à portée de main, se déplaçait en longeant les murs, alerte au moindre bruit.

Finalement, ni Crabbe ni Goyle ne mirent à exécution leurs vengeances, Irina ne sut pas ce qui les en avait empêchés : la peur, l'incapacité technique ou l'intervention de Drago. Pour ne pas mettre le feu aux poudres, elle préférait se taire, bien qu'elle en voulût à Harry, elle ne souhaitait pas pour autant qu'il subisse la même chose que le jeune Malefoy ; il fallait cesser cette escalade de la violence.



Outre cela, les BUSES de fin d'année arrivaient à toute vitesse, malheureusement pour Irina, le professeur McGonagall espaça leurs séances pour lui permettre de réviser. La vieille sorcière n'acceptait pas que sa jeune élève abandonne définitivement les examens et lui avait fait promettre d'au moins lui ramener un Effort exceptionnel pour son examen de Métamorphose, selon elle, Irina avait déjà largement le niveau, il lui suffirait de ne pas se saboter.

Ces soirées libérées de pratiques de la métamorphose mettaient Irina dans une appréhension déçue, elle ne pouvait pas participer à l'ambiance annulative de sa salle commune sans culpabiliser de ne pas réviser ni rester aux côtés de ses amies trop angoisser pour passer du bon temps avec elle.

Alors, elle se retrouvait à errer dans les couloirs ou dans le parc ; à observer la végétation doucement verdir ou à lire dans l'herbe.

Son quotidien était sans conteste plus doux que celui de ses camarades, calfeutrés dans leur tour de pierre entourée de livres et de papier à se ronger les sangs sur leur avenir.

L'emploi du temps était fixé, la première semaine de juin serait consacrée aux examens des cinquièmes années. Alors commencèrent les cortèges fébriles des élèves devant la grande salle réquisitionnée et transformer pour l'occasion en salle d'examen.

Catherine essayait de garder contenance, mais sa mauvaise manie de se ronger les cuticules avait refaite surface, Lucie ne se séparait plus de ses fiches de révision colorées recouverte de son écriture serrée, Maggie semblait la plus détendue ; persuadée de sa réussite approximative, elle était emplie d'un fatalisme qui ne la caractérisait pourtant pas. À croire que le principe d'un unique examen pour diriger la vie de jeunes gens n'était pas la méthode la plus indolore ni la plus efficace pour évaluer leurs compétences.

Les adolescents, soumis à hautes pressions depuis des semaines, encenser depuis des mois à donner le meilleur d'eux même, convaincus que leur vie se jouait à ce moment-là ; ils pouvaient simplement craquer et échouer alors qu'ils en avaient les connaissances.


Leur première BUSE était celle de sortilège théorique.

L'un apporte les autres, ils furent invités à entrer dans une grande Salle transfigurée.

Des dizaines de petits bureaux individuels quadrillaient l'espace, entre chaque table une quarantaine de centimètres empêchant la triche ou plutôt, la rendant plus difficile.

Une horloge immense remplaçait les traditionnelles décorations et, à 10h précise, en même temps que le glas résonna ; le sujet se retourna devant eux sur leurs bureaux.

Pas un bruit ne rompit l'air alors que les étudiants découvraient le sujet.

Rapidement, les plumes se mirent à gratter, timidement ou frénétiquement ; il leur fallait composer, tenter, en l'espace de 3h, de rendre compte de 5 années d'enseignements ; il leur fallait restituer toutes leurs expériences et connaissances pour mériter le précieux sésame vers leurs études supérieures, leur avenir.

Étrangère à cette frénésie, Irina Lestrange demeurait inerte.

Ses yeux dansaient sur le papier, s'arrêtant sur chacun des mots sans arriver à y donner du sens.

Elle savait ce qu'il lui fallait écrire, c'était simple, évident.

Saisir sa plume, et laisser sa prose académique la guider, se délecter de savoir construire un argumentaire avec précision avec la quasi-certitude que cela plairait à son correcteur.

Mais elle devait se faire violence pour mal faire, pour écrire moyennement, pour effectuer un travail dont elle ne serait pas fière et surtout apposer son nom sur un torchon et, accepter que l'image que se ferait d'elle cet inconnu qui barrerait de rouge son rendu serait celle d'une élève médiocre, sans intérêt ni valeur.

Irina en pleurerait presque, de sa stupidité et de son incapacité à se détacher pleinement du regard ou de l'avis des autres.

Profondément déçue, elle écrivit tout de même, lentement comme pour peser chaque mot dans sa médiocrité, sa calligraphie n'avait jamais été aussi impeccable avec une main aussi peu emballée de la fièvre créative. Le correcteur saurait surement apprécier cet effort dans la présentation, il ne lui faudrait pas déchiffrer l'écriture angoissée de la jeune Lestrange, il lirait aisément et rapidement ses deux pages d'argumentaire qui lui vaudraient un Acceptable, tout au mieux.

Irina fut la première à partir, après 1h30 de composition, elle rendit sa copie et se dirigea silencieusement vers la porte sous les regards impressionnés, envieux ou furieux des autres élèves.

Si l'attente dans les couloirs était tout de même plus supportable que dans l'air vicié et saturé des sueurs acides des adolescents dégoulinants de stress, le calme du reste du château ne procura pas à Irina le repos escompté. Seule, dans l'immense château, il lui fallait attendre l'examen pratique de l'après-midi.

Elle ne participa pas aux explications enflammées de ses amies après la fin de l'épreuve, tous les élèves se réunissaient pour discuter de leurs réponses et, approximativement, juger de leurs chances de réussite. Irina ne participa pas non plus aux révisions de dernières minutes à la pratique, mais ne parvint pas à se détendre pour autant.

Si l'examen théorique restait assez similaire à leurs autres examens ou contrôle chaque année, l'examen pratique se rapprochait plus de ce qu'Irina avait fait à l'AD.

Seule face à un examinateur, elle devait réaliser trois sortilèges, l'un obligatoire, et les deux autres parmi une liste de 6 sortilèges étudiée dans l'année.

Son examinateur, un petit sorcier à l'allure dynamique, lui fit réaliser un bombarda sur un mur en brique construit pour l'épreuve. D'un geste lent et mesuré, Irina dégaina sa baguette et lança l'incitation. Le mur ne s'effondra pas mais sur un cercle d'un mètre de diamètre, la structure avait été entamée. Fort de son expérience, l'examinateur s'était protégé des débris rouge ocre des briques par un discret sortilège de parapluie.

Pour le reste de l'épreuve, elle sélectionna le sortilège d'embrassement, qui chez elle se limita à une petite flammèche sans prétention, et le sortilège de couverture liquide qui consistait à noyer les bougies précédemment allumées par le sortilège de feu.

Du visage du sorcier ne transparaissait rien, ni signe de réussite ni d'échec. Il la remercia, la reconduisit à la porte et fit entrer le prochain candidat.

Le lendemain la journée était consacrée à la métamorphose. Le même manège se répéta, mais Irina put tout de même se la fantaisie d'apprécier ce qu'elle écrivait. McGonagall avait été claire et intransigeante, elle n'avait pas intérêt à échouer délibérément ; pas dans sa matière.

La théorie était assez classique, des généralités sur le sortilège de transfert ou une partie un peu plus ambiguë sur le sortilège de transfert interespèce, mais qui ne sortait pas du strict programme scolaire parfaitement rodé de McGonagall.

L'après-midi, Irina ne put se retenir de réussir à la perfection un sortilège de disparition, son escargot et sa souris disparurent sans laisser de traces du premier coup ; après tout, il lui était bien plus difficile de décider consciemment quelles parties des pauvres animaux elle aurait dû laisser sur place.

L'examinateur ne put réprimer une moue appréciatrice avant de la reconduire à la porte pour s'attaquer au prochain adolescent.

Les examens de défense contre les forces du mal furent plus complexes, Irinea n'avait pas eu besoin des feindre sa méconnaissance, certaines questions lui étaient tout bonnement inconnu, le professeur Rogue, avec toute son âpre volonté n'était pas parvenue a effacé l'année précédente de vide académique de l'inquisitrice Ombrage.

La pratique fut une catastrophe et aurait surement été pire si elle n'avait pas suivi les séances de l'AD.

L'examinateur lui demanda de réaliser le charme du bouclier, c'était le premier sortilège qu'ils avaient tous appris sous la tutelle de Harry et elle parvint dans un premier temps à le conjurer, mais, dès l'instant où son examinateur sortit sa propre baguette et lui énonça qu'il allait lui envoyer un simple experliarmus pour tester la solidité relative de son sort ; aussitôt elle flancha.

Le sort du sorcier fit voler en éclat son bouclier et sa baguette lui jaillit des mains avant de s'écraser au sol, dans un silence gêné, elle la ramassa et continua l'épreuve avec la certitude qu'elle n'aurait pas sa BUSE.

Pour la botanique, le constat d'échec était le même, elle confondit deux plantes à l'allure pas si similaire et ruina totalement ses proportions dans son engrais.

Concernant l'épreuve d'astronomie, cette dernière se déroulant à 23 h en haut de la tour d'observation, il suffit à la jeune Lestrange de s'endormir pour s'assurer une note pitoyable.

Après quatre jours d'épreuves, de stress environnant, d'insomnies farfelues, ce temps calme privé de bruit et de lumière à observer des points minusculement lumineux dans le ciel avait créé une ambiance propice aux assoupissements. Et Irina n'avait pas été la seule à piquer du nez sous la Voie lactée.

La dernière journée d'examen se déroula dans une ambiance plus détendue, ou plus fataliste selon les groupes d'adolescents.

Dans quelques heures, ils seraient libérés de toute contrainte pour le reste de l'été et il pourrait enfin profiter des températures clémentes.

L'examen d'histoire de la magie n'avait pas un sujet bien passionnant et nombreux furent les élèves à s'extraire de la grande salle avant la fin de l'épreuve.

À 17h, le glas sonnant la fin de tous les examens retentit.

Alors, et jusqu'au repas à 19h, il semblait que tous les étudiants de Poudlard soient rassemblés sur les pelouses qui n'avaient pas connu pareille affluence depuis des semaines.

En petit groupe, les élèves s'échangeaient des balles ou discutait, certains déçus, mais tous soulagés.



Le repas de fête de fin d'examen était indubitablement plus bruyant que tous ceux de la semaine écoulée, plus joyeux aussi. Pour célébrer l'événement, la grande Salle, théâtre de toutes les angoisses durant ces derniers jours, avait fait peau neuve ; de grandes bannières colorées, ornées de félicitation, tapissaient les murs.

Bien que le directeur marquât par son absence, la table des professeurs avait elle aussi été gagnée de la gaité ambiante.

Le repas touchant à sa fin, Irina rassembla ses affaires, remit de l'ordre dans sa tenue pour retourner avec ses camardes célébrer, bien calmement, la fin des examens : elles s'étaient promis des parties de jeux de sociétés et simplement des ragots au coin du feu pour recharger leurs batteries à plat.

Inhabituellement, Drago Malefoy la rejoignit alors que les tables d'adolescents se vidaient.

Irina cru d'abord à une douce intention de sa part, s'enquérir du succès de ses examens ou simplement la féliciter d'y avoir survécu, mais Drago se montra empressé, angoissé.

-           Ce soir, ne sors pas de ta salle commune.

Interdite, Irina fit la moue avant d'ajouter :

-           Je reste toujours dans ma salle commune Drago.

-           Non, mais vraiment ! Ne sors pas ! Lui aboya-t-il dessus.

Confuse et vexée, Irina poursuivit tout de même son investigation.

-            Qu'est-ce qui va se passer ?

-           Rien ! Juste ne soit pas dehors. Empêche tes amis de sortir, si jamais ils sortent après le couvre-feu, je ne pourrai rien pour eux.

Une vague de panique la saisit, mais tandis que Drago faisait demi-tour, balayant la foule de la tête à la recherche de quelqu'un, une triste vérité lui revint à l'esprit.

Cela avait tout l'air d'une crise psychotique, l'état de Drago des dernières semaines semblait trouver son apogée ici, maintenant.

Mais une part d'elle-même s'inquiétait véritablement de cette mise en garde, elle gambergea une partie de la soirée avant de se résoudre à ne pas alerter ses amies.

Tout de même elle veillerait à ce qu'elles ne sortent pas après le couvre-feu, au cas où.

Mais les étudiants de Serdaigle, aussi studieux qu'ils avaient l'accoutume de l'être restèrent bien sagement entre les murs de leur tour toute la soirée, bien trop heureuse de pouvoir simplement jouer ou dormir et ainsi rattraper les heures de sommeil sacrifiées à leurs révisions.

Exceptionnellement, les préfets laissaient faire, un accord tacite autorisait les élèves à célébrer, en silence, la fin de leurs examens, dans quelques jours ils rentreraient chez eux pour les grandes vacances, il n'était plus nécessaire de garder une discipline de fer.

À minuit passé, alors qu'Irina jouait une partie assez mal engagée d'échec avec Catherine, un hurlement retentit. Un jeune garçon criait, hystérique en montrant le ciel à l'extérieur de la vitre.

Au-dehors, des lueurs étrangement claires pour le clair de lune.

-           C'EST LA MARQUE DES TÉNÈBRES ! LÀ, DANS LE CIEL !

Fortsätt läs

Du kommer också att gilla

218K 9.6K 30
Et si.... Et si Harry avait été à Serpentard ? Et s'il avait été le meilleur ami de Astoria Greengrass et de Blaise Zabini? Et s'il ne connaissait pa...
29.1K 497 48
Tu es tp tn, une jeune femme de 18 ans portant le poids d'un passé douloureux, dont les cicatrices refont surface. Lorsque tu rencontres Inoxtag, tou...
373K 20.2K 189
J'ai eu besoin d'un 3eme tome,j'assume pas.
65.4K 1.5K 67
Depuis 1 mois mes rêve sont hanter par ce garçon..et depuis 1 mois à la tomber de la nuit je le retrouve à le regarder toute la nuit. Mais qui est-ce...