Endoloris

De Ambrouille_crea

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La fillette était prostrée dans un coin de sa chambre, ses genoux près du cœur et ses mains sur ceux ci... ... Mais

Chapitre 1
chapitre 2
chapitre 3
chapitre 4
chapitre 5
chapitre 6
chapitre 6 suite
chapitre 7
chapitre 8
chapitre 9
chapitre 10
chapitre 11
chapitre 12
chapitre 13
chapitre 14
chapitre 15
chapitre 16
suite chapitre 16
Chapitre 17
chapitre 1 partie 2
Chapitre 2
chapitre 3
chapitre 4
Chapitre 5
chapitre 6
Chapitre 7
chapitre 8
chapitre 9
Chapitre 10
chapitre 11
chapitre 12
chapitre 13
chapitre 14
chapitre 15
chapitre 16: une nouvelle série d'agression
chapitre 17: le réveillon de noël
chapitre 18: un cadeau de noël particulier
chapitre 19
chapitre 20
chapitre 21: une fin d'année déchirante
chapitre 22
chapitre 23
un lourd secret révélé
prise de conscience
Une étonnante soirée d' Halloween.
Un retour perturbant .
Un retour perturbant.
2 janvier
Une bataille de boule de neige
Chapitre sans titre 50
Une grande nouvelle
Quel gentil cousin
Le tournoi des Trois Sorciers
Option
Un tricheur
Des dragons....Sérieusement?
Un bal affligeant
Honeydukes et otages sous-marins
Superbes vacances de Paques
La reprise des cours
La troisième épreuve du tournoi des trois sorciers
Révélations
Des vacances dans les vacances
Une famille aimante
Des Vacances chez les Leroux
Enfin la fin des vacances
La Grande Inquisition
La tête de Sanglier
L'AD
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Métamorphose et Sectumsempra
Les BUSES
L'enterrement
Apéritif pas très festif
Les entrainements de Drago
La dépression
Les résultats des BUSES
Leur ressemblance
Une nouvelle Serpentarde
Le dortoir de Salazar Serpentard
Adieu à Serdaigle
Exercice d'Endoloris
Lancer, ou ne pas lancer
Le vol
L'ultime insulte de Kelly
La fin de Kelly Simon

Les délégations étrangères

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De Ambrouille_crea

Irina n'appréciait pas le professeur Maugrey, pas que cela changea quoi que ce soit à son comportement.

Qu'elle aime ou bien déteste un professeur, rien ne transparaissait dans ses actions.

S'étant senti particulièrement visé lors de son monologue du premier cours, la jeune Lestrange gardait ses distances.

Elle ne répondait sous aucun prétexte, ni ne posait de questions.

Bon nombre d'enfants observaient cette même conduite et bien peu d'entre eux osaient, ne serait-ce que, lui adresser la parole.

Avec inconfort, Irina s'était rendu compte ne pas apprécier le côté imprévisible de ce professeur.

Ne jamais savoir s'il était capable de leur jeter un sort, voire même de les tuer sous prétexte d'une mauvaise réponse.

Rationnellement parlant, il y avait peu de chances que le Professeur Maugrey ne tuât un élève.

Cependant, il arrivait à cet étrange personnage d'effectuer des gestes brusques et incontrôlés ou bien, de s'énerver sans aucune mise en garde préalable.

Par ces aspects il lui rappelait son père.

Alastor Maugrey était fou.

Et on ne pouvait comprendre un fou, il agissait selon ses propres règles et logique, éloignés de celles des gens sains.

Face à ce fou, Irina se sentait de nouveau enfant, face à ce père ivre aux penchants violents.

De ces dérives, Irina gardait encore une marque au-dessus de la pommette. Cette fine cicatrice blanche passait inaperçu, mais le souvenir de la violente scène de rage suivit de la terrible infection restait lui, bien frai dans sa mémoire.

La fin du mois d'octobre arriva rapidement avec la venue tant attendue des élèves des écoles concurrentes pour le tournoi des 3 sorciers.

Le dernier cours de l'après-midi avait été amputé d'une demi-heure pour permettre à tous les élèves de Poudlard de former des rangs disciplinés aux alentours de la grande porte d'entrée.

Au-delà du plaisir de terminer plus tôt, il avait ce sentiment constant d'écrire l'histoire en vivant un tournoi absent des esprits depuis plusieurs siècles.

Les professeurs essayaient tant bien que mal de créer des rangs unifiés mais se résolurent finalement à laisser les élèves se placer et se regrouper en lançant tout de même des « Tenez-vous droit », « Finnigan, sortez vos doigts de vos narines ! ».

Le froid Ecossais rougissait les joues et incitait les enfants à se serrer les uns contre les autres.

- Bon bah ils arrivent ou pas... maugréa Catherine en se frottant vigoureusement les cuisses.

Irina lui tendu un de ses gants en voyant qu'elle les avait encore oubliés.

- Comment ils vont venir Beaubâtons tu penses ? demande Lucie à Catherine.

- Comment tu veux que je le sache.

- Bah t'as failli aller dans cette école, et ta mère y a été, ils savent utiliser des balais ?

Après le regard choqué de Catherine, celle-ci répondit avec une mine de dégout.

- Bien sûr qu'ils savent monter à balais, ça reste des sorciers tu sais.

- Ils sont français, ils ne sont pas comme nous. Raillât Maggie.

Coupant court aux tergiversations des élèves, une silhouette se découpa dans le ciel gris.

« C'est un dragon ! » s'extasia un élève, coupé immédiatement par la voix sèche du Professeur Mcgonagall.

Ce n'était pas un dragon, ce n'était pas non plus une armée de petits sorciers français sur des balais.

C'était un carrosse gigantesque de la taille d'une petite maison, et les chevaux qui trainaient le véhicule n'étaient pas ordinaires.

Leur taille disproportionnée apparut réellement que lorsque le carrosse rose et or s'abattit lourdement sur la pelouse.

Même à une bonne centaine de mètres, les chevaux ailés faisaient près du triple de la taille d'un canasson ordinaire.

Irina superposa mentalement deux hommes de taille moyenne pour atteindre le garrot de l'animal.

- Pourquoi avoir pris un carrosse aussi grand, ils sont combien dedans ?

La réponse à cette question sortit en premier.

La femme la plus immense qu'ils n'avaient jamais vue sorti par la porte et s'avança élégamment jusque devant le directeur de Poudlard avec à sa suite, une dizaine de garçons et de filles.

Tous étaient habillés très légèrement de capes et de tenue en soie bleue.

- Tu vois je t'avais dit que les vêtements de Beaubâtons étaient moches, glissa doucement Catherine à l'oreille d'Irina.

Cette dernière ne dit rien mais pensait justement l'inverse.

A part le climat, pas du tout adaptée pour ce type de tenue légère, elle trouvait le choix du tissu et la coupe des capes et robes bien plus élégantes que celle de Poudlard.

De là où elle était, elle ne voyait pas très bien ni n'entendait ce que le directeur de Poudlard et, de toute évidence, la directrice de Beaubâtons se disaient.

Dumbledore n'eut pas besoin de se baisser pour faire un baise main à la femme géante.

« C'est comme ça qu'on dit bonjour en France ? » s'interrogea Lucie, moqueuse.

- Ha, ha, ha, très drôle. Je n'ai jamais vu ça de ma vie en France.

Très rapidement les élèves en bleus s'engouffrèrent dans Poudlard et la longue attente continua pour les élèves de Poudlard.

Pour tenter d'apercevoir en premier la délégation de l'école de Durmstrang tous les élèves scrutaient le ciel.

Les mains en visière et les yeux plissés par la luminosité, enfants comme adultes piétinaient d'impatience et de froid.

Finalement la première exclamation ne fut pas, comme Beaubâtons dirigé sur le ciel, mais sur l'eau clame et trouble du lac.

La surface de celui-ci c'était d'un coup mise à onduler, se gondoler et finalement laissa apparaitre ce qui s'apparentait à un mât de pavillon.

Progressivement, à mesure que l'étrange structure sous-marine s'avançait vers le bord du lac, des voiles apparaissaient.

Bientôt on put distinguer distinctement le pont d'un navire, puis, plus largement une coque externe noire dont s'extirpait des torrents d'eau.

Sous les murmures étonnés et excités des spectateurs, un large pavillon entièrement constitué de bois sombre jeta l'ancre à une distance respectable du bord.

- Pourquoi il ne s'avance pas plus ? hasarda un élève quelques rangs en dessous d'Irina.

- Ça ne doit pas être assez profond plus proche... C'est un lac pas la mer. Répondit Catherine.

Pour s'être presque noyé dans ce même lac l'an passé, Irina savait bien que le niveau baissait très rapidement une fois la berge franchie, mais de là à contenir un bateau aussi gigantesque ?

De quoi rendre son aversion pour cette même étendue d'eau encore plus grande.

Au loin, Irina voyait de petites silhouettes s'apprêter autour de petites barques.

Il en fallut six en tout pour permettre à tous les habitants du bateau de rejoindre le rivage.

Les garçons et les filles qui en descendirent avaient la carrure d'ours, ils semblaient bien plus larges que les étudiants de Beaubâtons et de Poudlard réuni

Tous portaient d'épaisse fourrure rouge et noirs au-dessus de ce qui ressemblait à une robe de sorcier classique rouge surmonté d'un écusson.

Parmi ses élèves aux uniformes identiques, un homme se découpait.

La fourrure de sa cape était aussi grise que ses cheveux et sa barbe, parfaitement taillée en un bouc.

Le directeur s'avançait vers Dumbledore d'un pas décidé en gardant à ses côtés un jeune homme qui semblait avoir été taillé d'un même bloc.

Celui-ci, très brun et à l'air hirsute avançait un peu courber et ne semblait pas très sûr de ses appuis.

Un murmure s'éleva parmi les élèves de Poudlard lorsque ce même garçon fut totalement distinguable.

- C'est Viktor Krum !

Aussitôt un léger mouvement de foule en direction du directeur et de son élève se réalisa (arrêté par la seule mine courroucée des professeurs).

« T'es sûr que c'est lui ? »

« Mais oui je l'ai vu au match cet été »

« Je ne savais pas qu'il étudiait encore... »

L'intérêt soudain de l'entièreté de ses camardes fit comprendre à la jeune Lestrange qu'une fois encore, elle n'était pas au fait des tendances.

Elle ne connaissait pas de Viktor Krum ni ne savait pourquoi il était si connu et populaire.

Heureusement ses amies autour d'elle lui firent une piqure de rappel.

- C'est le meilleur attrapeur de l'équipe de quiddich bulgare ! Il a joué cet été en Angleterre lors du tournoi mondial.

Irina poussa un soupir d'admiration, qu'un jeune de 17 ans puisse être déjà professionnel était impressionnant.

Comme pour les élèves de Beaubâtons, ceux de Durmstrang entrèrent dans le hall de Poudlard, mais eux, ne grelottaient pas de froid.

Dans le calme les étudiants anglais furent invités à pénétrer dans l'enceinte de l'école.

Une fois dans la grande salle, tous purent voir la décoration renouvelée pour l'évènement.

En plus de la traditionnelle bannière de Poudlard ornant le mur derrière la table des professeurs, se trouvait une longue tapisserie bleue et or représentant deux baguettes entrelacées dont s'extirpaient trois étoiles chacune et, une bannière rouge décorée d'un rapace aux pattes ouvertes et menaçantes.

Les deux écoles concurrentes de Poudlard n'avaient pas été créée avec la même optique de toute évidence.

Beaubâtons était réputé pour former des sorciers particulièrement alertes en potions et botaniques alors que Durmstrang était le champion incontesté en sortilèges en tout genres.

Irina se rappelait du Draco d'il y a quelques années, avant son entrée à Poudlard, il lui avait soutenu qu'il irait à Durmstrang pour suivre un enseignement plus pratique ; en sachant pertinemment que son père était un ami du directeur.

Les élèves habillés de fourrures s'assirent en premier, à la vue de la moindre chaise libre.

En tout, seule une cinquantaine de chaises avaient été rajouté pour faire assoir les 40 étudiants.

Les élèves de Beaubâtons semblaient plus réticents à ne pas s'assoir en groupe.

La table des Serdaigle accueillit 3 garçons de Durmstrang et 4 filles de Beaubâtons.

Une fois leur cape rouge et pleine de fourrure enlevée, les élèves de l'Est paraissaient nettement moins imposants.

Les filles de Beaubâtons attiraient tous les regards, elles avaient le rafraichissement de la nouveauté et l'attrait d'une langue mélodieuse.

Catherine passa l'entièreté du repas à se chamailler avec Lucie car cette dernière ne cessait de vouloir attirer l'attention des sorcières drapées de soie en disant « Mon amie parle français ! Elle peut vous faire visiter ».

Alors que les élèves de Poudlard voyaient leurs traditionnels plats anglais en partie remplacés par des mets plus divers, les étudiants étrangers regardaient d'un mauvais œil les plats « sooo british ».

Catherine s'était assise non loin des étudiantes françaises et agissait comme espionne.

Elle entendait et traduisait discrètement les dires des jeunes filles en continuant de leurs sourire niaisement pour conserver sa couverture uni linguiste.

- Elles critiquent les plats anglais, disent qu'ils sont trop basiques et gras...

- Pourquoi tu les espionnes ? demanda Maggie en précisant bien qu'elle appréciait d'avoir les décodages de cette langue inconnue.

Catherine se redressa avec prestance.

- Les autres écoles ne sont pas là pour faire un voyage linguistique, ce qui serait cool, mais ils sont tous là pour gagner la coupe ! Donc s'ils fomentent des plans machiavéliques, je serais là !

- Machiavélique ? rien que ça, pouffa Irina.

Comme pour embrayer sur cette question de coupe, Dumbledore se leva à son tour et demanda le silence à grand renfort de tintement de verres.

Avec stupéfaction, tous voyaient la lourde coupe, encore caché sous un linge opaque, amenée par Ludo Verpey.

En un coup de baguette théâtrale, le commentateur de Quidditch découvrit le trophée et de longues flammes bleus s'en extirpèrent.

De là où elle était, Irina ne voyait pas grand-chose, mais elle ne pouvait manquer la lueur bleutée qui se réverbérait sur les murs en pierre et les visages de ses camarades.

- Comme vous le savez tous, nos trois écoles sont réunies pour mettre en œuvre une nouvelle édition du tournoi des trois sorciers.

Contrairement aux précédentes fois, ce tournoi sera inaccessible aux étudiants de moins de 17 ans révolus à partir d'aujourd'hui. Pour participer, les élèves le désirant, pourront glisser un papier avec leur nom et prénom dessus, dans les flammes jusqu'à demain 8h.

Le directeur marqua un temps d'arrêt pour balayer d'un regard son audience exciter et brulante de rêves.

- Attention, une fois votre nom dans la coupe, votre candidature ne pourra plus être annulée, un contrat magique vous lierait à ce tournoi et en cas de sélection vous devrez impérativement participer.

Pour être sûr qu'aucun élève en deçà de cette limite ne puisse participer, je tracerais moins même un cercle d'âge autour de la coupe, je vous demande donc de ne pas essayer de l'enfreindre.

Sa dernière phrase ressemblait presque à un défi, défi que tenterait évidemment de relever un certain nombre d'étudiants.

Irina n'était pas de ceux-là, lucide sur ses capacités magiques, et sachant qu'on ne pouvait pas battre un dragon (ou n'importe quelle horrible créature magique) à coup de manuel ne tenterait pas d'outrepasser les recommandations du directeur.

Le reste du repas prestement avalé, les élèves remontèrent dans leurs dortoirs, les élèves en âge de participer se précipitèrent dans leur chambre pour retirer papiers et plumes.

Un atelier d'écriture s'instaura rapidement et une longue délégation se forma devant la porte des Serdaigle, tous voulaient aller déposer leur nom en groupe pour montrer la supériorité de sa maison et surtout, observer la concurrence.

Le couvre-feu avait spécialement été annulé pour l'occasion, de quoi permettre à tous de déposer leur nom, cela permettait même aux plus timides de se faufiler au milieu de la nuit pour qu'on ne les voit pas se porter candidat.

Irina et ses amies se postèrent autour de la coupe.

Le directeur n'avait pas menti, un cercle blanc de 5 mètres de diamètre entourait la coupe posée sur un piédestal.

La limite magique ne semblait pas menaçante, cela aurait pu être un simple trait de poudre de craie.

Un groupe de garçons habillés de jaune chahutèrent à l'abord du cercle et l'un d'eux tira de sa poche un avion en papier.

De toute évidence il n'avait pas atteint les 17 ans.

D'un coup de baguette il lança l'avion délicatement l'avion dans les airs, cependant, ce dernier se heurta à une paroi invisible.

Le sortilège d'âge empêchait donc aussi les projectiles d'atteindre la coupe.

Le lanceur haussa les épaules et récupéra son avion avant d'y mettre le feu.

- Tu penses qui se passe quoi si un étudiant majeur met le nom d'un autre mineur dans la coupe ? demanda Catherine à Irina.

- Je pense que Dumbledore a paré à cette éventualité, sur la masse d'étudiant toutes les tactiques seront réalisées.

La délégation de Beaubâtons arriva en rang serré, un à un, sous le regard et la haute stature de leur directrice, ils enjambèrent le cercle et déposèrent leur papier qui s'embrasa avant de toucher les flammes.

Sans un bruit, ils repartirent, laissant le champ libre aux essaient des étudiants mineurs.

Les élèves majeurs de Serdaigle déposèrent leur candidature en groupe, se félicitant d'une bourrade de braver le sort.

Irina et ses amies ne tardèrent pas trop dans la nuit avant de remonter dans leur chambre.

Les groupes se ressemblaient tous, il y avait ceux qui passaient le cercle sans encombre et ceux qui tentaient de réussir là où tous les autres avaient échoué.

- Demain matin on connaîtra la sélection...murmura Irina

- J'espère que ce sera un Serdaigle qui sera choisi... bailla Lucie en retour.

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