Chapitre 126 : Cry Again

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A avec à moi

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A avec à moi. Je n'ai même pas pris le temps de toquer et j'ai ouvert brutalement la porte dans un tmouvement de fraqua totale. Une de mes sœur es  un venait à peine de venir fronçant les sourcils.

" Elle est où ta connasse de mère!" Toute ma rage envers elle ressortait alors qu'Anni tentait de me calmer à nouveau en vain. Je hurlais sous le regard perdu de mes vraivrai qui venaient toutes d'arriver.

" Hein y'a quoi." Sans même toquer ou sans même prendre le temps de voir où elle est je me suis mise à claquer chaque portes pour la chercher. La haine au fond de moi je bousculais tout, je cassais tout et je criais dans toute la maison provoquant l'interrogatoire et les hurlements de mes sœurs qui ne comprenaient pas ce qui se passait.

" Léna! Arrête de tout casser." Mes sœurs continuaient d'être dans le trouble totale et d'essayer de me retenir en vain. J'étais incontrôlable, intenable tel un monstre en fureur.

" J'en est rien à foutre! Elle est où!" Plus j'ouvrais les portes et plus nous nous approchions de son bureau.

" C'est quoi ce boucan." Elle était là, en train de sortir de son bureau enlevant ses lunettes du bout de son nez. A l'instant ou mes yeux se sont posé sur elle, ma rage pris un coup et ma haine venait d'exploser au fond de moi.

" Comment t'as pu faire ça hein!" Je hurlais et cassait tout ma rage se voyait et elle essayait de me retenir. J'allais entrer dans son bureau et poser toute la vérité. Elle me poussait encore et encore pour m'y éloigner. D'un coup, prise par une furie immense mes bras la poussèrent contre la rembarre et une fois à l'intérieur de la salle mes yeux cherchèrent une seul et unique chose.

" Léna! Sors d'ici!" Le tiroir fermé je devait l'ouvrir. Alors mon pied se mis à taper encore et encore sur le tiroir je poussait tout, je cassait tout. J'allait même me faire une entorse à force de frapper. Mon regard se releva. Il fallait que je l'ouvre absolument, alors le seul solution fut de prendre une hache dans le fin fond garage de la maison. La hache en mains et enfin remonte mes bras tapais avec cette dernière en mains jusqu'à ce que mon père arrive.

" Qu'est-ce qui se passe ici pourquoi vous criez autant. Léna qu'est-ce que tu fait ici."

" Me parle pas toi." À force de m'acharner sur le tiroir, ce dernier pouvait enfin s'ouvrir ou plutôt je pouvais enfin voir tous les dossiers et la paperasse. La paperasse entre mes mains je me suis mise à chercher le document sous les hurlements de ma belle-mère.

Rien n'allait, absolument rien du tout.

ÉROTOMANIEWhere stories live. Discover now