NON CORRIGÉ | Jungkook et Léna n'avaient aucuns choix. Tourmentés par leurs parents, annuler leurs mariages forcés ne faisait pas partie des choix possible. Les tensions sont alors à leurs combles. D'autant plus que Jungkook ne semble pas être aussi...
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Je me réveille extrêmement bien, bien sur a l'heure étant donné que j'ai beaucoup dormi la veille. Je prend même pas la peine de m'habiller et je descend. Les lumières sont toutes fermées et il fait noir. Je marchais donc tel une momie. Me prenant au passage des mures. J'ai tant bien que mal réussi à ouvrir la lumière.
J'ai alors sursauté en voyant Jungkook assis sur une des chaises de la table, sa tête basculant en arrière. On airait cru un spectre.
"T-tu, pourquoi t'es dans le noir."
Il ne répond pas, et tourne son regard en le posant automatiquement sur le mien. Il était énervé. Vraiment énervé. Cet homme était d'une froideur. D'une insensibilité incomparable. J'en était choqué même après des semaines de cohabitations. J'avais l'impression que tout l'irritait. Que tout était gavant pour lui. Qu'il n'aimait rien. Comme une personne qui vie juste parce qu'il en est obligé.
"T'as failli faire cramer la bouff." Il marmonna gavé, agacé.
"Hein." Mon regard se tourna vers la cuisine et je me rappelais alors que j'avais tenté de faire à manger par moi-même malgré le fait que qu'une femme venait tous les matins pour tout préparer. Une femme que je ne voyais pas en plus de ça. "Ah, ouai."
Il se leva alors, ses mains dans ses poches et passa devant moi avant de dire : "La prochaine fois essaye pas de faire quelque chose que tu sais pas faire."
Ce fut alors la première vraie pique qu'il me lança. Des semaines de froid intense. J'explosais intérieurement. Par surplus, parce que trop c'était trop. J'avais tendance à tout renfermer en moi, à ne pas dire ce qu'il me déranger. D'abord par flemme, et finalement pour ne pas déranger ou pou ne pas créer des problèmes.
"Bon, c'est quoi ton problème enfaite." Il 'arrêta dans son élan. Tourna la tête vers moi me menaçant du regard. Il continue malgré tout son chemin sans placer un mot.
Et je sort bien sûr en claquant la porte. Je pars au travail à pied, vue que depuis mon mariage j'y suis pas retourné bas là faut je marche un peut. J'arrive au travail et me met au boulot aujourd'hui j'ai cinq patient qui sont des hommes puissant donc il faut pas que je foire ou faire quelques chose de travers.
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La fin de la journée s'est passée dans un calme des plus troublant. Je travaillais, calmement, concentrée voir plus que d'habitude. J'enchainait des clients pendant que mon père m'envoyait encore des alliés à lui ou des amis. Les dossiers s'enchainaient. Ma vie était une roue qui ne cessait de tourner en rond. C'était ainsi.
