Chapitre 63 : Okay, I'm not okay

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C'était repartie, ma tête commençait à me faire affreusement mal

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C'était repartie, ma tête commençait à me faire affreusement mal. Ça se passait toujours comme ça quand j'étais pas bien. Mon cœur se mis alors à battre violemment dans ma poitrine alors que j'essayais de garder mon calme.

Mais je n'arrivais pas. C'était impossible, je fusais à l'intérieur de moi. Que dis-je je bouillonnais très clairement. Un coté de moi était assez calme surement celui le plus peureux. L'autre était dans une paranoïa totale limite en furie et en panique. Une dualité exceptionnel. En bref le chaos régnait en moi.

Le stresse montait à une grande vitesse. Il était déjà à son paroxysme. Je me sentais si bête. Si bête d'être venue même si je savais que c'était risqué. Je savais qu'il allait surement être là. J'ai donc pris le risque de venir étant super méga bête.

Je me détestais actuellement, tellement. Et alors que je paniquais à l'intérieur des bruits de pas se faisaient à côté de moi. Pourquoi tout ça arrivait à moi. Tout me retombait dessus, comme si tout ce que j'ai vécu n'était pas suffisant.

J'en avais marre, marre de tout ce qui m'arrivais. Je voulais fuir loin, très loin mais j'étais bloqué. Bloquée dans ce trou ou je ne pouvais pas fuir. Et plus j'essayais de fuir plus les coups de massues augmentaient et plus j'étais de plus en plus à bout.

Les pas se rapprochaient de moi. Je continuais de prier pour qu'il ne s'approche pas vers moi. S'il te plait approfondie pas la blessure de mon cœur. Mais les pas se rapprochaient encore et encore vers moi. Plus il se rapprochait plus je flippais ma race catégoriquement.

"Excusez-moi." Malheur, sa vois résonna dans mes oreilles et par panique mes yeux se tournèrent vers lui. Eux qui étaient neutre comme ils ne l'ont jamais était. Et les siens l'étaient aussi. "Vous êtes la personne qui m'as interpellée la dernière fois." Non c'est pas moi.

"Humm." Voilà ma seul et unique réponse. J'avais tellement mal. Mal parce que Jungkook me vouvoyait. Ce simple vouvoiement me brisait le cœur. Il me déchirait de l'intérieur. Parce que ce simple vouvoiement donnait raison à ce que je redoutais le plus. Il ne me connaissait pas, et il ne m'as jamais connue.

J'avais si mal, mon cœur saignait de douleur. Tout se brisait à l'intérieur de moi, toutes les espérances que j'avais venait partir en poussière pour jamais. J'avais la preuve et cette fois ci c'était sûr. Il n'y avait pas d'échappatoire. Pas d'issue de secoure.

J'ai rêvé, et tout ce qui c'est passait venait de mon imagination ou je ne sais d'où. Dans tous les cas tout ça n'avait été qu'un simple rêve beaucoup trop réaliste. Je pleurais à l'intérieur et à force de tout gardait en moi je dégradaient mon cas. Je me détruisais intérieurement.

ÉROTOMANIEWhere stories live. Discover now