Chapitre 107 : I want to end myself

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J'ai donc finis là, sur une falaise un dimanche à treize heure maintenant

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J'ai donc finis là, sur une falaise un dimanche à treize heure maintenant. Plus les minutes défilaient plus je me sentais de plus en plus mal. Mal de l'intérieur, la douleur était si douloureuse que j'avais mal partout. Ma douleur intérieur se propageait sur la totalité de mon corps.

Et les larmes ne pouvaient se retenir longtemps, elles se sont donc mise à couler le long de mes joues. Les heures passaient et je sifflait les bouteilles une par une sans vouloir m'arrêter. J'ai commencé autant continuer.

Au fond de moi mon cœur souffrait d'une hémorragie interne une douleurs si grande que j'avais l'impression que j'allais mourir dans pas longtemps. J'avais envie de tout arrêter, envie de tout stopper. D'arrêter de souffrir autant, d'arrêter de me faire du mal et de me rendre comme ça. Si ça peut être plus simple à dire d'arrêter de vivre tout simplement.

Mon niveau de maintient intérieur était arrivé à son summum ne pouvant même plus continuer. J'étais au fond du trou et je m'écroulais. Rien dans ma tête n'avait de sens à vrai dire. J'avais des idées noires. Pourtant une infime partie au fond de moi me supplier de ne pas faire ça. De ne pas sauter de cette falaise. De ne pas mettre fin à ma vie comme ça.

Pourtant je n'écoutais rien. J'étais arrivée à bout de force. Je n'en pouvais plus, j'ai tellement retenue tout au fond de moi pendant longtemps que je n'avais plus envie. Plus envie d'essayer, plus envie d'essayer d'être heureuse ou de me contenir. J'avais envie de rien du tout, de plus rien.

Ma main attrapa mon téléphone tremblante comme elle est. Je chercher avec difficulté l'icône des contacts. Mes yeux enlarmée voyait flou mais je parvenais à trouver ce fameux icone. Le nom de mon père ni était plus, celui de sa femme non plus et celui de mes sœurs non plus. Le seul qui restait était celui de Shone. Alors je tentais le tout pour le tout en l'appelant.

J'appelais le téléphone à mon oreille mes yeux en larme et mon cœur tremblant de peur et de frisson aussi. J'avais perdu ma veste ou je l'avais oublié dans la voiture je ne savais même plus. Et je m'en contre fichait. Le froid était le dernier de mes soucis. J'avais beau appeler je tombais constamment sur sa messagerie.

Je prier au fond de moi en pleurant pour qu'il raccroche et pour qu'il vient me chercher. Mais toujours rien, il devait forcément être avec son crush.

"Espèce de connard." J'ai donc supprimé son numéro en reposant mon téléphone dans mon sac. Plus personne allait venir dans tous les cas. J'étais seul face à ma douleur et mon malheur. Espoirs envolée et volonté noyée au fond de l'océan la seul chose que je voulais faire c'était mettre fin enfin à ma vie.

ÉROTOMANIEWhere stories live. Discover now