Chapitre 51 : Getting burned by your banker

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Juste devant mes yeux, derrière cette vitrine

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Juste devant mes yeux, derrière cette vitrine. J'arrivais pas à y croire. Je me précipitais donc à l'intérieure en risquant même de me casser la gueule à l'entrée de la boutique. Mes mains tremblaient et mon cœur battait à haute vitesse.

C'était elle. J'avais devant moi la bague que Jungkook m'as offert le jour de l'événement. Elle était là dans toute sa splendeur. Et à mes yeux, elle brillait parmi toutes les autres qui n'arrivaient pas à lui faire de l'ombre. Et elle était si belle.

Mes main se posaient sur la vitrine alors que mes larmes se mirent à dévaler mes joues. La douleur de mon cœur ne faisait que s'agrandir. Mes larmes silencieuse se suivaient une à une en chantant de douleur. Les souvenirs revenaient aussi douloureux et joyeux soit-il.

" Excusez-moi mademoiselle, vous n'êtes pas autorisée à poser vos mains sur les vitres désolé." Mon regard se tourna sur une des jeunes fille qui travaillait dans cette boutique. Mes mains essuyèrent les larmes de mes joues rapidement.

"Oh, désolé." Mes yeux se posèrent à nouveau sur la bague au cristaux noirs. Un pincement au cœur venait de m'abattre à l'intérieur. Et j'avais si mal.

" Elle est jolie." Mon regard se tourna vers ma droite. Elle est encore là elle. Un sourire lumineux se forma sur ses lèvres. "Même si son prix est conséquent je la trouve sublime." J'hochais juste de la tête reposant mon regard sur la bague.

"Léna, t'est là je te cherche depuis tout à l'heure." Shone était de retour et son regard se posa sur la bague derrière la vitre." Wow la vache elle et belle mais le prix fait mal. C'est le prix de deux de mes salaires voir plus."

"Mademoiselle, je la prend." Mon regard se posa vers elle alors que les yeux de Shone venaient de s'ouvrir en grand.

"C'est la seul qui reste vous avez de la chance." Elle alla alors chercher les clés pour pouvoir ouvrir la vitrine. Et mon regard restait posé sur la bague sans vouloir la quitter une seconde.

"Léna t'est malade tu vas être à moins deux mille au moins tu vas te faire incendier par ton banquier." Il me chuchota doucement les yeux encore ouvert en grand face au prix conséquent de la bague que je voulais.

"Rien à foutre." De tout façon je passais mes journée à dormir et j'allais surement travailler beaucoup pour rattraper mon immense retard.

C'était décidé. J'allais acheter cette bague. Rien à faire du prix ou même de mon banquier. J'allais l'acheter. Peut-être parce que maintenant, s'était la seul chose qui me liait à Jungkook. Tout le monde autour de moi niait son existence, alors cette bague était mon espoir. Mon espoir que toute cette histoire ne soit pas un rêve trop réaliste.

ÉROTOMANIEDove le storie prendono vita. Scoprilo ora