NON CORRIGÉ | Jungkook et Léna n'avaient aucuns choix. Tourmentés par leurs parents, annuler leurs mariages forcés ne faisait pas partie des choix possible. Les tensions sont alors à leurs combles. D'autant plus que Jungkook ne semble pas être aussi...
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La routine en continue avait fait son grand retour. Je me suis très vite habituée à mon nouveau lieu de vie ce qui m'as facilité par rapport à beaucoup de chose. Autant dire que la maison de mon père ne me manquait absolument pas. Au contraire c'était un tel soulagement de ne plus être la bas.
Mais mes habitudes restaient collées à moi sans vouloir partir. Je me levais toujours dix minutes avant de devoir sortir pour aller travailler. Je me douchais en cinq minutes avant de m'habiller et de sortir et sans manger. L'appétit n'était toujours pas de retour mais ça allait.
Mon morale n'était toujours pas là lui aussi mais je faisais de mon mieux au cabinet pour ne pas être trop à la ramasse et désagréable. J'essayais d'être mieux mais les infimes efforts que je faisaient ne servaient pas à grand-chose. Je continuais malgré tout de les faire dans l'espoir qu'ils porte leurs fruits un jour.
Plus les jours passais et plus mon morale baissait. Je me sentais de plus en plus mal. Je ne savais d'ailleurs pas forcement pourquoi. Et à un moment tout se dégradait.
Une chose s'était installé dans ma vie. Et je ne mis attendais absolument pas : l'insomnie. Je n'arrivais plus à dormir, çà en devenait impossible. J'arrivais à faire des sieste seulement le samedi ou le dimanche. Le reste rien du tout.
Cette insomnie a d'ailleurs provoqué de l'angoisse autour de moi. Je pleurais constamment pour rien. Pas pour Jungkook, pas pour Shone ni à cause de ma belle-mère. Je pleurais comme ça, et ça me gonflais constamment. Il m'arrivais de pleurer des nuits entier sans savoir pourquoi avant de m'endormir pendant une heure à peine et me réveiller à nouveau pour aller travailler.
Je revenais inconsciemment à zéro. S'était encore pire qu'avant et plus je laissais faire plus je me menais à ma propre fin. Je m'enfonçais dans le trou noir et je le savais très bien. J'avais vraiment peur qu'un jours je touche vraiment le fond.
Je broyais du noir tout le temps. J'en devenais même pessimiste en pensant que jamais de me vie j'arriverais à être heureuse un jour. Des fois je me demandait comment j'ai fait pour en arriver là.
Mais il me restait un espoir infime soit-il et assez pour pouvoir trouver une solution qui pourrais me sortir de ce fond noir. Il fallait que je trouve une solution n'importe la quel. J'étais obligé avant que j'atteigne le fond et qu'il soit vraiment trop tard. Il fallait arracher l'épine avant qu'elle ne soit trop profonde.
