Chapitre 124 : Paranoia and anxiety

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" Non c'est faux! Elle est morte d'un accident de voiture!" La rage m'emportait, le déni aussi prenait parti et entrait dans le lot

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" Non c'est faux! Elle est morte d'un accident de voiture!" La rage m'emportait, le déni aussi prenait parti et entrait dans le lot. Je ne comprenais rien, beaucoup trop de choses tournaient dans ma tête et la seule chose qui ressortait était la rage. C'était toujours ainsi, constamment la rage surpassait tout. Tout ça venait d'apparaître, car avant je n'étais pas comme ça. Avant ce putain de rêve qui m'as rendu susceptible.

"Hein mais si c'est vrai." Alors que je m'était levé sous l'ampleur de la rage. Elle aussi venait de se relever mais pour essayer de me contenir en vain. Son visage était sincère pourtant, il était tellement sincère.

"C'est impossible Anni désolé mais tu t'est trompé." Le calme revenait enfin. Mais ce calme ne montrait rien de bon. C'était un calme lourd et pesant. Ce calme était signe de peur, d'angoisse et d'appréhension totale de ma part. Je n'ai jamais eu autant peur de toute ma vie.

" Non Léna c'est vrai je me suis pas trompé je te jure c'est la vérité." Nerfs et dénie se mélangeaient à l'intérieur de moi. Malgré tout ça Anni continuait de revenir à la charge pour me dire que tout ce qu'elle disait était vrai.

"Arrête Anni c'est n'importe quoi! C'est impossible j'te dit impossible d'accord." Ma voix s'éleva alors. Tout ça était si improbable. Je ne voulais pas la croire, j'avais envie que tout ça ne soit qu'un rêve et que je me réveille brutalement sans que rien de tout ça ne soit arrivé.

" Mais j'ai les preuves Léna." Son regard terrifié ne quitta pas le mien. Pas même une seconde.

" Quelle preuve." Je n'avais plus de raisons, plus rien qui tournait dans ma tête. Tout était venue si brutalement. Tout avait était si rapide ne me laissant aucune seconde de répits.

Les yeux d'Anni se remplirent de larmes et toute sa douleurs se fit remarquer. Pourtant je n'arrivais pas à comprendre pourquoi elle pleurait. Je n'arrivais pas à comprendre ce qui l'affectait autant.

Ses mains déposèrent un dossier assez vieux sur la table qui se trouvait dans son sac. Le déni revenait encore et encore, la paranoïa aussi et ma peur était à son comble. Si tout ça était vrai j'allais tomber. Mais cette fois-ci j'allais vraiment tomber dans les profondeurs.

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