NON CORRIGÉ | Jungkook et Léna n'avaient aucuns choix. Tourmentés par leurs parents, annuler leurs mariages forcés ne faisait pas partie des choix possible. Les tensions sont alors à leurs combles. D'autant plus que Jungkook ne semble pas être aussi...
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Ça faisais deux jours à peine que j'étais rentrée chez moi. Ayant réussi à convaincre Jungkook lui disant que j'allais mieux et que tout allait bien. Sauf qu'il n'allait pas me lâcher les baskets comme ça. Durant une heure entière il ne faisait que de m'envoyer des messages alors qu'il était en réunion.
- J'aime pas les réunions, ça dure des plombes ça m'énerve. Bien sur même en message Jungkook était nonchalant. Constamment, tout le temps. C'était une de ses immenses habitudes qu'il ne voulait pas lâcher. Je m'étais habitué à tout ça.
- Arrête de te plaindre et travaille imbécile.
- C'est ce que je fais imbécile. Dit la personne qui réponds aux massages à la seconde près.
- Arrête avec tes points et t'est pas en train de travailler tu m'envoie des messages ducon. Jungkook foutait des points partout. Dans toutes les conversations et dans toutes les situations, même dans la réalité quand il me parlait j'avais l'impression qu'il me mettait des points secs.
- Toi aussi tu mets des points. Mon téléphone encore en main je buvais mon verre d'eau sans lui porter grande intérêt.
- Humm. J'avais la grande impression que nous prenions la confiance un peu plus chaque jours. On passait maintenant nos journée à se battre et à s'insulter. Et même en message. Après si c'était bon signe ou mauvais signe je n'en savais rien je laissait juste tout couler.
- Me Humm pas. Il inventait aussi des expressions, il y'en avait énormément ça aussi.
- Humm.
Alors que je me trimballais en t-shirt quatre fois plus grand que moi en guise de robe la porte sonna à plusieurs reprises. Mes sourcils se froncèrent, c'était surement pas Jungkook alors qui ça pouvait être. Mes pas me menèrent vers la porte, j'étais obligée d'ouvrir la porte vue qu'il y'a pas le petit truc rond ou on peut regarder.
J'ouvrais donc doucement la porte sans oublier que j'étais limite à moitié à poile avec un haut jusqu'à mes cuisses. Qu'elle fut mon choc lorsque je vis une de mes sœur à ma porte. Ma main referma la morte dans un mouvement brusque.
"Léna s'il te plait c'est important." Sa voix n'était pas comme d'habitude. Ma main appuya sur la poignet en entrouvrant la porte. Je venais donc de découvrir ma sœur pâle, son mascara en train de couler de ses yeux elle qui ne pleurais pratiquement jamais devant quelqu'un." J'ai appris un truc horrible." Déclara sa voix brisée.
