Chapitre15 : water drop

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"Si vous avez aucun traitement je comprend, vous êtes pas obligée de vous forcer la tête pour trouver une solution alors que c'est impossible" Toujours sa tête relevée vers le haut son regard nonchalant transpercent de vide du plafond blanc

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"Si vous avez aucun traitement je comprend, vous êtes pas obligée de vous forcer la tête pour trouver une solution alors que c'est impossible" Toujours sa tête relevée vers le haut son regard nonchalant transpercent de vide du plafond blanc.

"Pourquoi vous dites ça, ont est seulement au début de la séance et vous m'avait même pas tout expliqué" ma jambe droite se plaça par réflexe sur ma jambe gauche attendant une réponse précise.

"C'est la vingtième fois que je consulte un psy, à chaque fois ça marche pas du coup bas si vous voulais arrêter maintenant vous pouvez." Il tourna d'un coup sa tête vers moi avec la même expression.

"Non, pourquoi je ferait ça, comparez au autre psy j'ai pas eu mon diplôme dans une boulangerie ou grâce à des connaissance, ont va régler le problème même si ça durera longtemps ou même sur plusieurs séance." Il me regarda à nouveau, surpris mais toujours de façons nonchalante.

"C'est beaucoup trop compliqué" Il replanta son regard neutre sur le plafond blanc dans lequel il accordait beaucoup d'intérêt depuis le début de la séance.

"On essayera, dite moi maintenant si vous êtes partant pour ce long trajet." Je lui tendent ma main espérant ne pas me prendre de bâche. Il me regarda ne comprennent pas se que j'essaye de faire. Son regard se dirigea par la suite vers ma main et mon visage transpercée d'un sourire.

"C'est quoi" Il déclara légèrement d'une façons hautaine alors qu'il regarda à nouveau ma main.

" Et bien dans l'éventualité une poignet de main mais peut être un engagement pour le début du parcours que nous allons suivre ensemble en essayant d'arranger ce qui ne va pas" Il hésita un instant puis se leva afin d'être assis en face de moi et attrapa ma mains toujours avec hésitation puis la retira vite. Je lui souris de toute mes dents sourire qu'il ne me rendis pas mais son regard hautain disparut, c'est un début.

Le reste de l'après midi fue mouvementé, entre les clients énervée et leurs histoire toute farfelue les une que les autres. Et je me retrouve a 21 heures seul à faire la fermeture. J'allais devoir a pressent affronter le pire,mon père et ma belle mère. Apres une vingtaine de minutes de marche j'arrive enfin à destination et souffle un bon coup avant d'ouvrir les grandes portes en fers me menant tout droit au diable incarnée : Ma belle mère.

Je marche, doucement, essayant de retarder le moment au maximum. Retarder quel moment, et bien littéralement celui que je redoute toujours et encore : son retour. Je commence à marcher vite me rendant compte que plus je ferrait vite et plus ce moment passeras. J'arrive devant la porte et toque, à peine une minute plus tard la porte d'entrée souris sur la femme de ménage.

" Oh mademoi- eut madame je veut dire." Elle se  courba en signe de respecte et me souri chaleureusement. Dans mes souvenir les femmes de ménages étaient les seul personnes a qui je m'attendait. Je souri face à son gène après qu'elle est changée sa phrase.

" Vous pouvez encore m'appeler Mademoiselle vous savez ça ne me gêne pas du tout." Elles entrer et me suivis avant que je ne la prenne dans mes bras.

" Vous m'avez manquée Madame Choi" Elle restera son entrante et je me décala par la suite pour lui sourire et au même moment un bruit nous fis sortie de notre petite moment de retrouvaille. Le regard de Madame Choi changea d'un coup en un regard inquiet.

" Je pense qu'il est temps d'y aller" J'ai déclarée. C'est fou, en dirai que je m'apprête à aller en guerre. Je me dirige alors vers les escalier montant a l'étage voulue et après dix minutes je me retrouve enfin au fin fond de cette grande maison c'est a dire : devant je bureau de mon cher père que je déteste plus que tout au monde. Je toque et entant au même moment un " entrée" fort limite méchant. Je souffle et pousse la porte d'entrée c'et a ce moment que je vis ma belle mère assis un regard sévère sur le visage et mon père le regard vide regardant devant lui. Je m'assis et les fixe essayant de savoir ce qu'il se passe même si je pense que cela un rapport avec mes clients.

" On ne t'as pas appris à attendre d'avoir la permission avant de s'assoie" Me dit elle commençant déjà a me jeter des pique alors que je viens de venir. C'est fou comme ils me fond ne pas me sentier a ma place. C'est comme si que je n'est jamais vécu ici et que je suis étrangère.

" Ça fait beaucoup quand même, sept clients qui se plaignent." Je le savait, au plus profond de moi. Cette conversation allait prendre plus d'une heure et j'allait être obligée de rester silencieuse me faisant descendre par ma belle-mère limite insultée par cette dernière.

◊◊◊

Plus d'une heure, entre critiques, insultent elle ne c'est toujours pas arrête.

" TU PENSE QUE TA MÈRE SERRAIT FIÈRE DE TOI" Ça aurai était moi, je l'aurai insultée sauf que j'ai du respect pour mon père et à chaque fois que je me retrouve dans cette situation.

"C'est bon t'as finis" Mon regard se posa sur elle une nouvelle fois. Je pris la decision de me lever et d'attraper mes affaires me dirigeant vers cette porte gigantesque.

" Ose poser un pied en dehors de cette salle." Je me retourne à nouveau la regardant elle et mon père et je me courbe en signe de respect et sors sous les cries de ma belle-mère qui m'ordonne de rester. Je dévale les escaliers et sors sous cette pluie abondante et en plus sans voiture pour rentrée étant donnée que je suis venus a pied. Décidément tout dans cette journée se retourne contre moi.

ÉROTOMANIEWhere stories live. Discover now