Chapitre 58 : Harshness Of Life

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Deux semaines venaient de s'écrouler

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Deux semaines venaient de s'écrouler. Et malgré moi je n'ai pas posé une pied dehors. Encore une fois. Ça en devenait catastrophique. Tout pouvez m'atteindre, j'arrivais à m'énerver pour tout et n'importe quoi. J'ai même fait le teste en sortant deux secondes à l'extérieur de ma chambre.

J'avais envie de planter une de mes sœur. J'ai donc pris la décision de ne plus sortir du tout. Et catégoriquement. C'est la seul façons de garder le peu de raison qu'il y avait à l'intérieur de moi.

J'étais brisée, cassée par tout ce qui se passait dans ma vie. J'avais beau essayer de comprendre le problème chez moi je ne le trouvais pas. Les coups de massues me frappaient tous un par un sans avoir une once de pitié envers moi.

Je pleurais jours et nuits à ne plus avoir de larmes. Même dormir devenait compliqué, j'avais constamment peur de rêver de lui et de me réveiller dans un état encore pire que celui dans lequel j'était avant de dormir

L'image du regard de Jungkook sur moi me brisais encore plus. J'étais dans un trou noir, et je ne pouvais pas en sortir. Et alors que la dépression me faisait signe de loin m'informant alors qu'elle arriverait bientôt, moi je baissais les bras.

Je n'essayais même pas d'être heureuse. Ça me dépassais. Je restais dans mon malheur et dans ma tristesse constamment en m'enfonçant même. Et toutes ces petites choses que je faisais m'enfonçais. Éteindre mon téléphone à cause des appels incessants de Shone au lieu de l'appeler et de lui dire que ça ne va pas. M'enfermer et pleurer toute la journée sans prendre l'aire ou essayer de faire quelque chose pour changer et oublier. Regarder seulement le coté négatif sans chercher q'il existe une part de joie dans toute cette histoire tordu.

Toute ma douleur s'emparait de moi jour après jour. Et je la laissait sans essayer de la contrer ou de la stopper. Je m'en foutais très clairement. Elle voulait faire comme chez elle, elle n'avait qu'à le faire. Peut importe. Je voulais disparaître à tout jamais et plus les heures défilaient plus je me sentais bête, affreusement bête.

Bête d'être tombée amoureuse d'un homme qui plus est fait partie de mes rêves les plus profonds.

Malheureusement la raison m'as rattrapé lorsque mon père c'est vraiment énervé. J'étais obligée d'aller travailler. De un parce que j'étais encore à moins deux milles et encore ça c'était le dernier de mes soucis. J'avais tellement de choses à rattraper, tellement de patients qui ont dû annuler leurs rendez-vous parce que je n'étais pas présente ou qui sont venue pour rien m'étant alors tous les rendez-vous en suspens.

Travailler avec le morale que j'ai allez être infernale. Voilà pourquoi je ne voulais pas y retourner. Mais j'étais contrainte cette fois à mon plus grand malheur.

ÉROTOMANIEWhere stories live. Discover now