Chapitre 78 : Last Solution

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Les jours s'écoulaient et je cherchais encore une solution à mes problèmes flous

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Les jours s'écoulaient et je cherchais encore une solution à mes problèmes flous. J'avais beau chercher je n'y arrivait absolument pas. Tous ces problèmes que je n'arrivais pas à regeler seul comme ça. Il fallait que je trouve cette chose qui était peut être mon seul espoir. Plus les jours passaient et je ne trouvais pas, et plus je ne trouvais pas plus je me demandais vraiment si cette dernière solution existait vraiment. J'essayais de sortir d'ou j'étais avant de m'écraser au fin fond du trou noir que j'avais creusé.

C'est donc seul affalée sur mon canapé devant la télé que je rêvassais en essayant de chercher dans mon crâne n'importe quel truc qui pourrai me sortir de ce foutoir dans lequel j'étais baignée. Foutoir que j'avais d'ailleurs crée toute seul dans ma tête.

Ça semblait plus facile à penser qu'à faire. Jusqu'à qu'une émission passe à la télévision attirant mon attention d'un coup violent. Les morceaux de puzzle échoués à gauche et à droite se mirent à s'assembler comme des aimant.

La solution et bien je l'avais enfin. C'était pas grand-chose mais je l'avais encore. Le travail était la solution qui pouvait peut être changer les choses. Et ça a toujours était comme ça. Plus j'étais mal et plus j'avais besoin de travailler. C'était une évidence maintenant.

Si je travaillais plus je pouvais oublier. Oublier tout mon malheur et tout ce qui allait avec. Mais le problème était que le travail du cabinet n'était pas intensif. C'était compliqué et long au niveau du travail et tout mais j'avais pas des horaires de ouf et ça c'était le gros problème.

Je devais travailler encore plus et c'était obligatoire. C'était une solution, infime soit-elle ça pouvait vraiment m'aider à sortir d'ici. Même si je ne suis pas encore arrivé au fin fond du trou noir j'étais quand même dans l'ombre. Dans l'ombre depuis bien trop longtemps. Le manque de soleil dans ma vie attirait la dépression qui avançait petit à petit.

Quitte à prendre un deuxième travaille et à être à fond et bien j'allais le faire. J'allais me mettre à chercher un deuxième travaille dans la médecine et j'allai faire de mon mieux pour que ça aille mieux. Et n'importe quoi même un travail des plus basique j'allais le faire.

Il fallait trouver une issue de secours c'était une obligation. J'en avais vraiment besoin. Besoin d'oublier tout et de me buter au travail quitte à être vraiment fatiguée j'en avais rien à faire et j'allais trouver ce travail et combler les trous de mon emploi du temps. Je n'avais pas d'autre issues.

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