NON CORRIGÉ | Jungkook et Léna n'avaient aucuns choix. Tourmentés par leurs parents, annuler leurs mariages forcés ne faisait pas partie des choix possible. Les tensions sont alors à leurs combles. D'autant plus que Jungkook ne semble pas être aussi...
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J'avais enfin pris ma décision. J'allais travailler à l'hôpital dans le domaine psychiatrique bien sûr. Après y avoir fermement réfléchi je me suis dit que ça pouvait vraiment être une bonne chose. Je n'ai jamais fait de stage et je n'y est jamais travaillé. Les stages de mes études se sont toujours déroulé dans des grands cabinets de psychologue encore une fois grâce à mes parents sans changer.
Ça pouvait apporter quelque chose de nouveau à ma vie qui commençait à dégringoler en ce moment. Comme un renouveau infime soit-il. Ça pouvait m'apporter du positif comme du négatif mais j'allais le faire quand même quoi qu'il arrive. J'allais quand même tenter le coup. Je ne voulais absolument pas regretter si je ne le fais pas.
J'ai donc fait beaucoup de recherches au niveau des hôpitaux des alentours. J'en est pas dormis de la nuit. J'essayais de me diriger si possible vers ceux où le personnel manquait ou ceux qui étaient en recherche de personnes dans le domaine de la psychiatrie plus précisément. Peu importe quel hôpital même s'il était à perpète j'allais travailler la bas. Je ne faisais ni de chichi ni de sélection trop restreinte.
J'ai cherché beaucoup avant de tomber sur une annonce de recherche à l'hôpital général de Séoul. Celle où tout le monde se rend généralement. Le plus grand. C'était une affiche publicitaire qui menait à la page de l'hôpital où il était marqué pleins d'informations sur les embauches et tout ce qui allait avec.
C'était sûr et certain j'allais travailler la bas et quoi qu'il arrive. Cette hôpital allait être ma dernière chance. Le dernier file qui me restait, le dernier rayon de soleil qui me restait dans l'ombre dans la qu'el je me trouvais. Sans ça je ne savais pas si j'allais longtemps survivre à la spirale d'ombre et d'onde négatifs dans lequel je me trouvait. Le temps s'écoulait et ça en devenait très grave.
Cette solution était la dernière. L'ultime si on veut utiliser les grand mots. Tout ce jouait sur ça et seulement ça. Le stress montait en même temps que la peur et l'excitation. J'avais vraiment hâte même si je ne savais pas ce que ce nouveau travaille pouvait m'apporter. Après tout, je n'avais plus rien à perdre donc autant foncer et ne pas y réfléchir du tout.
