Une fois sur place les trois gova elles avaient été ranger du coup j'avais posé la boite en fer où il y avait tout les cadenas au milieu et ils en prenaient tous pour fermer les garages. On avait mis la dose.

Après plusieurs semaines à y penser, plusieurs jours à en parler et plusieurs heures à se faire iech on avait enfin fini, ça y est. Je ne savais pas les retombées que tout ça aller avoir mais quand j'ai quelque chose dans la tête on peut pas me le retirer.

Maintenant je réfléchissais à comment j'allais pouvoir m'en débarasser.

- Moi : Je vous remercie tous plus ou moins selon l'utilité que vous avez étaient. Après c'est sûr qu'il y en a je les remercierai autrement par la suite.
- Houssam : T'as même pas à te justifié, nous on a était là, on l'a voulu et surtout parce qu'on sait que quoi qu'il arrive toi tu seras toujours là pour chacun de nous. On fait pas quelque chose en attendant en retour.
- Amin : De fou surtout qu'on a pas fait grand chose par apport à Zyam. Mon gars nous on veux savoir tout ce que vous avez fait chez lui !
- Krim : Em et Zyam on veux savoir.
- Zyam : Là on veux n3ess, on est naze. On vous dira la prochaine fois.
- Moi : De fou, sah je suis nerveux là tellement la fatigue elle tape le crâne.
- Houssam : Bah vas-y on va aller n3ess et on se rejoins demain in shâ Allah.
- Marwan : Vas-y demain on se pète au cgre.
- Houssam : In shâ Allah.

Houssam était reparti et nous tous on était un peu rester dehors à parler en vite fait. Tranquillement tout était rentrer dans l'ordre et j'étais soulager que c'était quasimment fini.

J'avais repris le bmx, Zyam était monté derrière et Krim sur le guidon et on était reparti ensemble jusqu'à devant notre bloc parce que Krim habitait dans la même que moi et Zyam était dans celle juste à côté.

Une fois devant j'avais salam Krim, il était reparti et à la fin il restait Zyam et moi.

Zeh ce qu'on avait vécu cette nuit là ça avait renforcer notre lien comme jamais, ça nous avait énormément rapprocher alors qu'il y a quelques semaines en arrière j'avais l'impression qu'on était à la limite de faire une dinguerie tellement il me supportait plus moi et mes conneries.

À ce moment là rien n'y personne aurait pu casser le lien qu'on avait, il tenait mais d'une puissance affolante. Il aurait fallu inventer un mot pour qualifier ce que Zyam représenter pour moi.

Je l'avais pudiquement pris dans mes bras et je l'avais encore une fois remercier. Il était clair que j'allais lui rendre bien plus que les autres parce qu'il avait été là jusqu'au bout, qu'il m'avait était utile et qu'il avait fait tout ça s'en se plaindre. C'était mon acolyte numéro uno.

Il m'avait rendu mes sacs et les boites et il était reparti. J'étais monté dans mon bloc, jusqu'à mon palier, j'avais baissée la poignée pour ouvrir la porte et elle était fermée, quoi de plus normal. Nina ou la mama avait refermé, à croire qu'une des deux avaient fait ça dans l'unique but de me montée la pression.

C'était impossible de les comprendre, j'essayer même plus de les résoudre ça me donner trop de maux.

J'avais pas eu le choix que de descendre toqué chez Krim. La fatigue accumulée depuis plus de trois jours me rendait fou. C'était quasimment le matin et j'avais toujours pas n3ess. C'était trop.

Finalement Nina était venue m'ouvrir la porte mais j'avais pas imaginer la situation comme ça.

- Nina : Sah tu nous prends pour qui ? Sincèrement t'as cru que tu étais où ?
- Moi : A preuve du contraire chez moi non ?
- Nina : Mais de quoi c'est chez toi ? Déjà moi même qui suis plus impliquer dans la vie de la baraque j'ai pas l'audace de dire que c'est chez moi
- Moi : Ok ça va c'est chez nous, c'est mieux comme ça ? - Nina : Non c'est ni chez toi ni chez moi. Ici on vit chez ima, on se plie à ses règles et à son fonctionnement. On fait pas ce qu'on veux.
- Moi : Ah oui c'est vrai toutes mes excuses.
- Nina Va dormir chez un de tes potes comme t'as l'habitude.

Cause à effetWhere stories live. Discover now