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- Moi : Par apport à pleins de choses khey.
- Krim : Vas-y dit frère.
- Moi : Non je vais pas tout dire là tu vois je veux être sûr avant de t'en parler.
- Krim : Elle est stressante la situation, dit frère.
- Moi : Non pas maintenant juste oublie pas ce que je te dis là.
- Krim : Ouais t'inquiète je vais y réfléchir mais ça casse les klawi khey. Je doit penser quoi ?
- Moi : Pose toi juste les bonnes questions et surtout celle de savoir si tu auras les épaules pour ça.
- Krim : Pourquoi ?
- Moi : Tu verras.
- Krim : T'es chaud lyoum, sah dit.
- Moi : Non zeh, réfléchi et khlass.
- Krim : Pourquoi t'as demandé je faisais quoi ce soir ?
- Moi : Je vais pas t'expliqué, j'ai pas le temps mais juste dit moi oui ou non.
- Krim : Vas-y oui mais dit maintenant on va faire quoi ?
- Moi : Je t'expliquerai bien un jour.
- Krim : Mais dit on va faire quoi ?
- Moi : On m'a prit ma gova il y a plusieurs semaines et je vais poser mes traces chez le gars.
- Krim : C'est qui ?
- Moi : Je t'expliquerai plus tard.
- Krim : C'est stressant mais tranquille j'accepte mais donc tu vas faire quoi chez lui ?
- Moi : Il vend des gova de collection et je vais tenter de les prendre, ça va être chaud mais mahlich.
- Krim : Ok donc si tu tombes je tombe aussi ?
- Moi : Si ça foire et que je tombe ouais vous avez des chances de tomber aussi.
- Krim : T'es un fou ma parole, une chance ? Mais tranquille je viens, c'est quand ? Mais il y aura qui ?
- Moi : Cette nuit, bah là je vais descendre rejoindre Karim, Amin, Zyam et tous les autres en bas des tours pour s'expliquer avant d'y aller.
- Krim : Vas-y je me change et je vous rejoins.

Je voulais pas lui dire maintenant pourquoi je voulais de son aide sur un long terme parce que j'étais encore sûr de rien et j'avais encore des choses à régler. Il fallait que je réfléchisse bien à tout avant de parler.

Je m'étais posé chez moi un peu et quelques temps après j'étais redescendu toqué chez Krim pour le prendre au passage et c'était encore une fois Asra qui avait ouvert.

- Asra : Tu veux quoi encore ?
- Moi : Eh reste tranquille, il est là Abd ?
- Asra : Ah reste tranquille, reste tranquille arrête on dirait Krim qui me parle.
- Moi : Vas-y dit moi juste si il est là Krim et khlass.
- Asra : Il est parti déjà.
- Moi : Vas-y bien, salam.
- Asra : Vous allez faire quoi ensemble ?
- Moi : Vas-y t'occupe.
- Asra : Dit, t'embarque mon frère dans je sais pas quoi.
- Moi : Mais qu'est-ce tu pètes ta bouche toi ?

Elle parlait sans savoir, elle affirmer des choses juste pour au final savoir ce que j'allais faire avec Krim vu qu'elle avait vite fait entendu notre discussion un peu plus tôt. Tfou je lui répondais même plus tellement elle donner des maux au crâne.

J'étais descendu jusqu'à la dernière cage d'escalier et elle s'était pencher sur la rembarde du premier étage et j'avais appuyer sur le bouton pour sortir et elle m'avait suivi en courant et j'avais refermer. Elle s'était graille la porte j'étais mout, à chaque fois qu'elle appuyer pour ouvrir moi j'appuyer pour fermer.

Elle était en train de se zehef en même temps de dahak, elle était pas crédible la follasse.

J'avais pas de temps à perdre du coup j'avais lâcher la porte et j'étais parti rejoindre mes khey et elle était sortie en speede, elle m'avait sauté sur le dos et elle s'était accrocher à moi. Ehaaay on fait pas ça avec moi, je l'avais attraper et je l'avais jeté au sol cash.

- Moi : Casse toi, qu'est-ce tu prends une confiance là ?
- Asra : Wah t'es violent, je rigolais. T'es sah Emir ?
- Moi : Bah ouais je suis sah casse toi, t'es là tu fais la folle.
- Asra : Non mais je comprends pas ta réaction, tu étais en train de dahak avec moi il y a trente secondes.
- Moi : Et alors il est où le rapport ?
- Asra : Ouais ok c'est bien, mais je t'explique là tu m'as fais mal mais vraiment.
- Moi : C'est moi belek ?
- Asra : Oui c'est toi, tu te rends pas compte la force que tu as et la violence de ce que tu as fais.
- Moi : Fallait pas faire ça.
- Asra : T'es vraiment con putain, on peut même plus rire. Je te dit que tu m'as vraiment fait mal et tu en as rien à foutre ?
- Moi : Oh tu aurais vraiment mal tu parlerais pas.
- Asra : Et alors, je t'explique que tu m'as fais mal. Si tu m'as casser quelque chose c'est toi qui payera les soins peut-être ?
- Moi : Ouais c'est moi, vas-y bouge.

Cause à effetWhere stories live. Discover now