Cause à effet

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J'entendais un peu mieux ce qu'ils disaient, bon c'était pas encore tout à fait ça mais j'arrivais à comprendre certaines choses, je pourrais jamais réellement dire ce qu'ils se disaient parce que je raconterais des incohérences de fou étant donné que c'était que des petits mots que j'entendais et après leur discussion je m'étais fais ma propre déduction suite aux mots que j'avais retenu. J'avais mis tout les mots dans un sachet, j'avais secoué et je m'en étais fabriqué une phrase on va dire ça comme ça. En clair ils disaient qu'il fallait se méfier de moi, attends comment ont peut dire ça d'un frère, sérieux ? Ils étaient en train de lui montait la tête à lui dire que j'étais quelqu'un de dangereux avec des idées louches, que je volé les gens, que j'étais recherché et que ma soeur devait se méfier de moi parce que pour l'argent j'étais prêt à tout et au final ils avaient demandé à ma soeur si elle voulait faire partie de leur magouille pour m'avoir et me surveiller. Je pigé absolument rien à ce moment là, je comprenais pas pourquoi, je savais même pas qui ils étaient, comme je disais j'avais l'impression de les avoir déjà vu mais sans plus, j'étais perdu mais surtout dégoûté. Je m'étais rapproché pour entendre mieux, à ce moment là j'en avais rien à faire de si elle me voyait ou pas mais je voulais entendre le reste et savoir le fond de leurs pensées et en clair ils étaient déterminé, la raison je la savais pas mais ils étaient déterminé.

«On ne fait rien sans argent en retour nous, c'est comme ça qu'on gagne notre vie. Le monde est petit et faut pas croire mais de Paris aux banlieues alentours quasimment tout le monde se connait et à déjà été en contact pour diverses raisons et nous si ont fait ça à la base c'est pas notre idée c'est celle de Kalvin notre petit qui vous la fait tous bien à l'envers. Nous aussi on s'en bat les couilles de lui du moment que l'on ramasse notre maille le reste on pisse dessus. Notre classe sociale est celle de la hess tout comme toi, comme lui et comme ceux qui vivent ici et les alentours. On sait comment vous vivez, comment ils vivent et comment nous avant nous vivions avant qu'on décide de gagner de l'argent salement et là si tu acceptes d'être en lien avec nous c'est simple on te versera une remise assez importante. Nous le reste on s'en bat les couilles.»

En résumé ils pensez comme ça, ils parlez comme ça, ils l'a poussé à bout pour qu'elle accepte parce que à l'époque c'était tellement la hess pour tout le monde que là ils lui proposé une remise assez importante même si ils allez clairement pas lui donnez mais elle était naïve la petite à l'époque et en échange il fallait qu'elle m'espionne, qu'elle me surveille, qu'elle surveille tout mes faits et gestes et après elle avait juste à aller leur dire tout et c'était régler, ils auraient eu ce qu'ils cherchez et elle bah elle ce serait bien fait couiller. Personnellement je l'aurais moi même fait, peut-être pas envers quelqu'un de ma famille mais une personne quelconque à ma vie oui j'aurai pu accepté à l'époque. Mais là j'étais vraiment déçu de ma soeur, déçu qu'elle accepte, c'était clairement une trahison pour moi. Je peux comprendre actuellement, auparavant je le comprenais pas parce que ça me passait un peu au dessus mais actuellement je peux le comprendre c'était la hess, la grosse hess, elle était jeune et elle aussi elle voulait se faire plaisir à s'acheter des choses etc comme ses amies finalement mais malheureusement elle ne pouvait pas parce que l'argent servait à entretenir la casa donc c'était rare quand elle se faisait plaisir sur quelque chose donc là on lui disait je te donne une sacrée sommes d'argent à condition que tu pistes ton frère pour elle c'était comme être servit sur un plateau d'or, elle voyait pas les conséquences après, sur le moment elle avait entendue le mot maille et ça y est limite elle s'imaginait déjà faire des folies avec. Bon j'étais déçu mais j'écouté toujours et ils lui avait donnez rendez-vous le lendemain en fin d'après-midi à la Grande-Motte on l'appeler comme ça à l'époque, c'était comme un garage sous terrain et là-bas c'était aussi une grande plaque tournante du trafique de drogue, c'était calme, on pouvait faire nos affaires tranquillement, c'était à l'écart de tous donc je comprenais pourquoi ils voulez qu'elle aille là-bas. Ils voulez qu'elle vienne avec un sac et surtout il fallait qu'elle en parle à personne, tfou. J'étais déçu, déçu et aussi brusqué attends.. On parle de ma soeur là ? Bien de ma soeur ? Genre elle était prête à me trahir ah, ok bien. Je me prenais des coups de shlasse dans le dos tous les jours par des traîtres qui se disent proche mais encore j'en avais rien à faire de ça mais alors là la famille, la famille, je parle de la famille là, ah. Hassoul j'étais parti, j'avais fais le tour, j'avais laissé mes khey, il y en a qui été reparti et d'autre qui écouté encore, moi j'avais décidé de partir c'était déjà trop pour moi et j'avais déjà enregistré des choses qu'ils s'étaient dit et je savais le plus important le faite que Nina devait les rejoindre en fin d'après-midi et ça j'allais y être, c'était sûr. Bon j'étais remonté chez moi, j'avais essayé de faire le moins de bruit possible pour pas réveillé ma yemma qui dormait et qui aller pas tarder à se lever pour le travail meskina, ma petite mère à qui je causé beaucoup de tord malheureusement. Hassoul j'étais allé m'installé dans la cuisine, j'avais ouvert la fenêtre et je m'étais installé devant pour la surveillé, je la voyais au loin sah elle me dégoûté mais vraiment tfou, j'avais jamais ressenti autant de dégoût envers quelqu'un que elle à ce moment là. Je les voyais au loin sur le parking ils étaient en train de se dire des choses ah j'étais gavé de pas pouvoir entendre mais je m'en faisais pas étant donné que j'avais vu Hûsin allonger derrière une gova à écouté ce qu'ils se disaient par contre les autres ils étaient plus là. Je les regardais toujours et un bout d'un moment je les avais pris en photo, bon la qualité était pas des plus top mais au moins on voyait leur carrure etc et je me disais que je pourrais passé ça à Abdel pour qu'il essaye de savoir qui c'était. Hassoul j'attendais et un bout d'un moment ma mère était arrivé à la cuisine du coup j'étais vite descendu et j'avais refermé la fenêtre et je m'étais assis sur le comptoir. C'est la lumière du couloir qui l'avait réveillé, j'étais con, j'y avais pas pensé sur le coup. Elle arrivait plus à se rendormir du coup elle était resté à la cuisine à boire son café, j'étais resté avec elle, j'avais un peu khaff que ma soeur arrive, parce que là ça aurait été une scène epic. Nous trois à se regarder dans le blanc des yeux à pas savoir quoi dire, c'était chaud rien que d'y pensait. Ce même moment Abdel essayer de m'appeler mais j'avais pas la tête à lui répondre donc j'avais coupé mon portable et j'attendais à rien faire. Plusieurs minutes après on entendait du bruit à la porte, évidemment moi je savais que c'était Nina qui essayer d'ouvrir, ma mère meskina elle se demandait c'était qui. Elle arrêtait pas de me répété c'est qui ? Du coup j'y étais allé, j'avais ouvert la porte, dans un premier temps je l'avais pas brusqué, je l'avais laissé entrée sans rien dire mais j'allais prochainement l'attaquer sévère. Elle était allée à la cuisine et là j'avais enchaîner.

- Moi : Oh tu m'expliques tu fous quoi là ? Il est presque 6h du matin. Tu as foutue quoi pendant tout ce temps ?
- Nina : J'étais chez Soraya.
- La mama : Pourquoi tu as pas dormie là-bas ? Revenir à cette heure si pourquoi ?
- Nina : J'étais juste passée.
- Moi : Arrête de dire de la merde Nina, tu étais avec moi juste avant. On est sortis ensemble. Oh je te le dis commence pas à mentir parce que je vais te cassé ta bouche vraiment !
- La mama : Yeeeuh weldi, crie pas hambouk.
- Nina : Après être sortie j'avais rejoins Soraya chez elle.

Dès fois on a des paroles, des gestes qu'on contrôle pas et ce jour là je m'étais pas contrôlé et je l'avais giflé, devant notre mère mais je m'étais pas contrôlé, j'étais énervé, énervé de contasté que sans scrupule déjà elle trahissait son frère mais qu'en plus de ça elle mentait, à moi mais à notre mère le pire, pourquoi ? Assume, assume putain ! Assume tes actes, assumes tes paroles, putain assumez ! Je l'avais giflé parce que j'étais déçu d'elle mais aussi parce que j'étais frustré de ne rien pouvoir dire parce que je voulais pas qu'elle sache que j'étais au courant de ce qu'elle avait fait derrière mon dos parce que je comptais y aller en fin d'après-midi à la Grande-Motte pour la pisté. C'est moi qui allait la pisté et non elle. J'étais sur les nerfs déjà moi le sale con de la famille je causé du tord à ma mère jusqu'à la rendre malade et là ma soeur elle s'y mettait, genre la petite merdeuse de seize ans elle commencé à se mettre à joué la vieille thuguette de je sais pas où là. Hassoul j'avais attrapé ma soeur par l'épaule et je l'avais fait traversé tout le couloir tellement j'avais la haine. Elle disait plus rien et elle était partie dans sa chambre, à ce moment là j'espèrais juste que dans sa tête c'était tout calculer et qu'elle allait pas changé d'avis, qu'elle allait y aller à la Grande-Motte, je voulais voir ce qu'il allait se passait. Ma mère elle était brusquée, elle m'avait demandait de me calmé, d'arrêté d'être violent mais généralement elle me laissait géré étant donné que j'étais le seul homme. J'étais pas le seul homme de la famille disons que j'étais pas le premier homme de la famille, je n'aurais jamais pris la place de mon père même si il serait décédé mais disons que là j'étais le seul homme de la casa et c'est moi qui devait reprendre la tâche d'un homme dans une famille et je prenais cette tâche là à ma manière. Hassoul après ça j'étais allé n3ess et elle ma mère allait au travail, un boulot de misère où elle était payé misère, être payer misère à se cassé le dos, bsahtek, tfou. Et c'est ça qui me poussait à continué dans les trafiques, à m'enfoncé un peu plus dedans pour aidé ma mère, même si je faisais moitié et que je me gardé pas mal des revenus gagné dans les trafiques j'hésité pas à passé des grosses sommes à ma mère quand il le fallait. J'étais allé n3ess et je m'étais réveillé vers les coups de 13h comme à peu près toujours, je m'étais préparé au cas ou ma soeur partait un peu plus tôt ou quoi au moins j'étais prêt à l'avance et j'avais attendu devant la télé que l'heure arrive. Abdel lui il m'harceler toujours autant d'appels mais je compté pas y répondre de suite parce que j'allais allé le voir dans la nuit surtout pour lui faire écouter les conversations enregister et pour lui faire voir les photos que j'avais pris des petits cons qui parlez avec Nina. Elle Nina je la voyais elle allait partout, dans la cuisine, sa chambre, la salle de bain mais jamais dans le salon, elle m'évité mais elle se préparait et ça c'était le plus important. Les heures passaient et j'hésité vraiment à prévenir mes khey pour qu'ils viennent avec moi au cas ou ça partirait en kawkaw et qu'il faudrait intervenir, j'y pensais beaucoup et finalement je l'avais fais, je les avais appeler et je leur avais demander de venir avec moi. Nourredin, Hûsin et Zyam allez venir et ça c'était déjà bien. Vers les coups de 17h j'étais allé dans ma chambre et j'avais pris ma saccoche avec mon opinel, chose que j'oublié jamais en sortant. Je le prenais parce que je savais jamais ce qui m'attendait dehors et là je savais pas du tout comment j'allais faire, si on allait restait dans la gova à les pisté ou si on allait descendre et foncé dans le tas, je savais pas trop donc je prenais mes précautions au cas ou. Hassoul j'étais descendu et je m'étais installé à ma gova et j'avais attendu que mes khey arrivent, une fois tous dans la gova on avait attendus qu'elle descende et peu de temps après elle était descendu et on avait attendus un peu qu'elle marche parce que je voulais pas qu'elle reconnaisse ma gova donc je la laissait prendre de l'avance et juste après j'avais fais chauffé le moteur et j'y étais allé. Je conduisais doucement, je m'arrêtais de temps en temps pour qu'elle reprenne toujours plus d'avance et une fois à la Grande-Motte je m'étais garé..