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- Moi : Je suis pas présent.. Ça fait longtemps que je suis pas passé te voir. J'ai conscience qu'une femme enceinte il faut en prendre soin et être à ses côtés pour l'accompagner durant 9 mois difficiles mais je me voyais pas faire ça pour toi. Tu assumes rien en plus..
- Ines : Pourquoi t'es venu alors ?
- Moi : Je prends simplement conscience que le temps passe vite et qu'on s'est toujours pas mis au point sur tout, pour le après.
- Ines : Et pourquoi tu arrêtes pas de dire que j'assume pas ? Tu n'assumes rien non plus alors..
- Moi : J'ai même plus envie de t'écouter tellement tu me gaves quand t'ouvres la bouche. L'hypocrisie elle coule sur toi carrément, c'est un qtru de malade. Moi j'assume, je profite et j'ai conscience que c'est peut-être pas la bonne manière de profiter mais contrairement à toi je sais assumer mes tords par la suite. Tu fais ce que t'as à faire et quand ça commence à rentrer dans le sérieux tu te mets en position de victime.
- Ines : Comment ça ?
- Moi : Tu sais y faire, tu sais comment il faut s'y prendre et ça je l'avais remarquer depuis le début à la pompe à essence à Marseille. Tout le monde étaient plutôt là pour la dahka sans prise de tête et il y avait que toi qui prenait tout ça au sérieux. Dis maintenant, avoue que t'as passée une mauvaise traversée ? Personne te calculée.
- Ines : Je me rappelle même pas de ça.
- Moi : Non mais moi je te le dit, on peut rien me faire oublier, j'oublie rien moi. Ne fais pas l'amnésique parce que je suis sûr que c'était la pire traversée que t'avais faite. Tout le monde parlaient entre eux, on cherchait tous à se revoir une fois sur Paname mais il y avait que toi sur le côté, inintéressante. Tu étais tellement à l'écart que tu avais cherchait à me revoir sur Paname après ça.
- Ines : Ça j'avoue, c'est vrai.
- Moi : Mais je sais que c'est vrai, tout est vrai. Je continuerai à te prendre le crâne jusqu'à que tu assumes tout.
- Ines : Il y a des choses sur lesquelles tu abuses, des choses fausses.
- Moi : On verra après si ce sera toujours faux. Hassoul j'ai pas fini mon histoire : Après tu m'avais envoyé des messages en prétextant des excuses juste pour me voir. J'avais accepté même si j'en avais rien à faire. Assume maintenant que c'était vrai !
- Ines : J'avoue, c'est vrai ça aussi.
- Moi : Après dans ma gova on avait bien rit, bien parlait, c'était bon délire. Tu m'avais plus l'air aussi conne que je le pensais au début, c'était bien. Là on rentre dans le sérieux. Je le jure mais ga3 je me met ma main à coupée et jamais je me rabaisserais face à toi. Tu étais devenue insistante, tu rigolais beaucoup et même beaucoup trop, tu faisais des manières que j'aimais pas, tes mains elles se baladaient beaucoup. Avoue ?
- Ines : Non.
- Moi : Très bien, tu continues à ne pas assume, bien. Va falloir de toute façon si tu veux que tout se passe bien par la suite. Sans remord je continuerai à te faire la misère sinon.
- Ines : J'estime que j'ai rien a prouvée parce que tu étais partant pour ça.
- Moi : Mais ce qu'il faut que tu comprennes c'est que j'en ai rien à faire que j'étais partant wela je sais pas quoi parce qu'au final j'assume. Je t'ai suivie dans tes gestes moi, khlas.
- Ines : Donc tu assumes ?
- Moi : Un bout d'un moment t'es plus crédible ma belle tu vois ? Depuis le début tu essayes de remettre la faute sur moi. Ça a vriller entre nous principalement à cause de ça après, je te le disais. Je ne peux pas être le seul fautif dans l'histoire, un enfant ça se fait à deux, j'ai pas à te l'apprendre ça normalement, à moins que tu aies toujours pas compris le concept.
- Ines : Me prends pas pour une conne j'ai compris.
- Moi : T'es conne c'est tout, il faut juste que tu t'habitues. Tu te sens toute blanche par apport à cette acte qu'on a fais tout les deux, pourquoi ? Tu es clairement en train de dire que c'est de ma faute si t'es enceinte. Moi la seule chose que j'ai à me reprocher c'est le faite d'avoir était trop faible devant une femme qui ce jour là me montrait clairement qu'elle n'avait pas l'intention de passée sa nuit qu'à parler. Oui ou non ?
- Ines : ...
- Moi : Question très simple : Oui ou non ?
- Ines : Laisse moi.
- Moi : Vas-y tu sers à rien comme meuf, tes réactions de merde qui me donne envie de te faire la misère. Je te confierai jamais un gosse tu le rendrais aussi perché que toi.
- Ines : Arrête Emir.
- Moi : Fais pas trop l'amnésique en tout cas parce que si je vrille en cognant tu vas comprendre c'est quoi perdre la mémoire.
- Ines : Je vais remonter.
- Moi : Non tu remontes pas, je t'ai dit qu'il faut qu'on parle. J'ai besoin qu'on mette tout au clair à savoir si ça vaut le coup que je continu à me casser le crâne avec toi ou si je te laisse toi et le futur marmot.
- Ines : Tu serais prêt à partir et me laisser avec tout ça ? Atta... Ça veut dire que maintenant tu assumes que t'es le père ?
- Moi : Évidemment que j'assume, je sais faire la part des choses contrairement à toi. Tu serais à la limite de te lever un matin et remettre en doute que t'es la future mère du gosse.
- Ines : Qu'est-ce t'es méchant ! J'écoute plus tes conneries. Bon maintenant réponds à ma question est-ce que tu serais prêt à laisser tomber un bébé ?
- Moi : Si j'en viens à bout de tout ça et que j'estime que ça me prends le crâne, oui je partirai.
- Ines : Il faut tout faire pour que ça se passe bien, un bébé à besoin de deux parents.
- Moi : Tu as khaff quand je dit ça, maintenant tu essayes de trouver les bons mots pour calmer le jeu.
- Ines : J'avoue que ça me ferait peur de devoir gérer seule l'éducation et tout le reste. Je suis encore qu'une petite étudiante, je gagne pas ma vie, je vis chez mes parents qui en plus de ça sont au courant de rien.
- Moi : Oh d'accord, tu as toujours pas prévenu ta famille ?
- Ines : Non et toi alors ?
- Moi : Non mais c'est pas un problème pour moi c'est pour toi que ça pose problème.
- Ines : Pourquoi ?
- Moi : Les premiers mois un bébé a plus besoin de la mère, pour le nourrir, le changer et rien que d'être au contact contrairement au père. Comment tu vas faire si ta famille le sait même pas ?
- Ines : Dans ce cas on se marie.
- Moi : T'as craquée toi.
- Ines : C'est pour éviter les problèmes.
- Moi : Que dalle.
- Ines : Emir...
- Moi : Même pas, tu veux me tué ? Vas-y trouve autre chose.
- Ines : Il devra rester chez Samia alors.
- Moi : Elle est d'accord pour ça au moins ?
- Ines : Ses parents sont au courant de la situation, je vais chez eux tous les jours, j'y passe quasimment tout mon temps. Ils m'ont dis qu'ils acceptent que je vienne chez eux.
- Moi : Ok très bien et tu auras l'argent pour t'en sortir ?
- Ines : Non pas vraiment et toi ?
- Moi : Je te le dit clairement, l'argent que j'ai elle est sale donc à toi de voir si tu compte utiliser de l'argent sale pour ça.
- Ines : Comment ça ?
- Moi : C'est l'argent des trafiques.
- Ines : Ah non j'en veux pas. Tu fais encore ça toi ? J'espère qu'après l'accouchement ça te fera réfléchir.
- Moi : Non vas-y parle pas de ça avec moi déjà. Bon sinon tu es allée voir le médecin ?
- Ines : Oui le premier jour.
- Moi : Ouais mais après ?
- Ines : Non j'y suis pas retournée
- Moi : Mais t'es conne toi, il faut que tu surveilles. Vas-y c'est pas un jeu ça putain, eh demain tu prends un rendez-vous. T'es folles toi, comment tu sais si il est encore vivant ?
- Ines : Il bouge..
- Moi : Vas-y tu prends quand même rendez-vous demain je m'en bat les klawi
- Ines : Oui je le ferais.

Cause à effetWhere stories live. Discover now