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Abdel avait couru en furie vers moi et j'avais très rapidement compris ce qu'il tenait à faire. Il allait profité du faite que j'étais assis sur le rebord de sa pseudo fenêtre pour clairement me pousser afin que je tombe. Dès que j'avais compris ça je m'étais empresser de sauter vers lui et je m'étais pousser sur le coté pour tout simplement échapper à ça. Il s'était retourné vers moi et il continué à vouloir me taper du coup j'avais attraper la chaise et je l'avais mise devant moi pour qu'il y aille une certaine distance de sécurité entre nous deux. J'essayer comme je peux d'échapper aux coups qu'il voulait me mettre. Hassoul il avait prit sa batte et il m'avait mit un violent coup au niveau du torse rien qu'avec le bout de sa batte, tfou. J'avais du mal à respirer tellement il avait tapé fort, j'avais dû me stoppé un instant tellement j'avais du mal à reprendre ma respiration et dès qu'il avait comprit que j'étais mal et que j'étais en incapacité de pouvoir me défendre il en avait profiter pour me tapé d'autant plus, avec sa batte. Il me mettait des sales coups sur le côté du crâne, il s'acharner zahma normal, comme un mahboul inconscient. Plus il tapait plus il forçait à mettre des coups encore plus forts que les précédents. À force il avait fini par me faire saigner. Le sang couler dans le long de ma joue, du cou, le col de mon tee-shirt était devenu rouge. Je saigné de partout mais impossible de savoir d'où ça venait exactement, où c'était vraiment ouvert. Je ne savais pas quelle tête j'avais à ce moment là. Il était devenu fou Abdel, incontrôlable, très honnêtement c'était la première fois que je le voyais dans un état aussi fou que celui-ci. J'avais longtemps hésité à partir. Hassoul malgré que j'avais khaff de le voir comme ça j'avais pas perdu mes cojones et j'avais foncé dans le tas avec la chaise à la main. J'avais couru vers lui et je l'avais bloqué contre le mur. J'avais retiré la chaise et je l'avais maîtrisé au sol, fallait pas que je lui laisse le choix, il devait s'arrêter. Je m'étais assis sur lui de tout mon poids et je lui avais fait laché sa batte.

- Moi : Abdel arrête toi, regarde dans l'état où je suis.
- Abdel : Tu m'as mit le mort, j'ai pas fini.
- Moi : Fais pas quelque chose que tu pourrais regretter.
- Abdel : Le seul regret que je pourrais avoir c'est de ne pas réussir à te finir. Chahad Emir chahad.
- Moi : Mais qu'est-ce tu dis là ? Si tu réagis comme ça c'est que depuis le début tu voulais me voir à terre.
- Abdel : Je vais me vengé.
- Moi : C'est moi j'ai voulu me vengé. Tu me l'as fais à l'envers depuis.
- Abdel : Parle même plus !

J'étais tellement à fond dans ce que je lui disais parce que je tentais de lui faire comprendre les choses calmement que j'en avais oublier que j'étais assis sur lui. Je suis même sûr que lui aussi s'en était plus rendu compte tellement on était à fond dans notre discussion mais très vite c'était revenu aux coups. Il essayer de se débattre et moi j'essayer de le retenir par les bras mais il pesait le double de mon poids donc il est clair que je n'avais pas sa force. Hassoul d'un seul coup il avait eu un excès de colère, une rage venue de je sais pas où et il m'avait poussé sur le côté, il m'avait attrapé par les épaules et il m'avait mit un coup de genou dans le haut du dos. Je l'avais senti passé sec celui-ci. Ma respiration elle s'était coupée net un instant et cash il m'avait mit un coup de genou au niveau de la tempe. À ce moment là j'étais trop mal, j'étais naze, plus de force. Je recevais coup sur coup sans pouvoir rien faire tellement il choissisait bien les bons endroits où ça mettait bien KO. J'avais la tête lourde, des bourdonnements, des vertiges. J'avais essayé de me relevé mais à chaque fois que j'étais debout j'avais une impression de tombé tellement les vertiges étaient présent. Hassoul je m'étais allongé quelques instants mais je m'étais vite relevé pour pas qu'il en profite pour faire autre chose mais quand j'étais debout damn j'étais trop mal, je m'étais assis au sol et je fixé un point précis pour stoppé mes vertiges mais rien y faisait, ça continuait. Je gardé malgré tout toujours un œil sur Abdel qui ce soir là était devenu une autre personne, je n'avais jamais connu ce Abdel là malgré qu'il était déjà violent de base mais là ça avait passait un cap au dessus, tfou. Je me calmé petit à petit mais lui il bougeait partout et là je l'avais vu prendre son opinel.

Cause à effetOù les histoires vivent. Découvrez maintenant