Cause à effet

By Emirdzae

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En tant qu'homme, lorsqu'on est jeune et irréfléchi, mais surtout sans repère masculin, ça arrive que l'on pr... More

● Pourquoi
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By Emirdzae

La fois où Ines avait posé ce fameux problème en rapport avec sa famille et le fait qu'ils voulaient que l'on se rencontre pour me mettre à mal, j'avais éprouvé une forte haine pour eux et depuis, ce fort et sale sentiment s'était décuplé du fait qu'ils avaient eu des mots durs et des intentions très mauvaises envers moi, et même envers nous trois.

La vie aux côtés de Zaher et Ines peut parfois être difficile, mais nous sommes liés par une vraie force que nous ne pourrons jamais réellement décrire et donc, lorsque l'un de nous va mal les deux autres suivent instantanément dû à cette connexion particulièrement intense que nous avons et ça avait été pour ça que j'avais eu cette pensée-là.

J'avais estimé que leurs sales intentions avaient autant été envers Zaher et Ines que moi, puisque nos émotions sont toutes liées et indéniablement, il allait y avoir un impact assez amer sur eux si toute sa famille décidait de poursuivre dans la négativité par le fait que j'ai touché à Ines, cette femme qui est liée de manière forte à eux tous.

Ils avaient tous été très intrusifs et j'en avais été énormément brusqué, puisque jamais, je n'avais été confronté à une chose pareille. Je n'avais pas pu m'empêcher de comparer sa famille à la mienne, car les miens ne s'étaient jamais permis de faire pression tout en se posant comme des bourrins dans ma vie que je partageais avec Ines et Lylia.

Algérie, Émirats, Canada ou bien ailleurs où se trouve des membres de ma famille, il y avait eu de très violentes réactions sous fond de mauvaises paroles, mais suite à cette passe, ils avaient tous pris une décision qui avait été concordante avec nos façons de faire et ça avait été de me mettre amnèse au vu du mal qui en ressort de tout ça, fuck.

Il est évident que cette indifférence, je l'avais très mal reçu, mais en comparant les sales réactions de sa famille et la mienne, j'avais préféré de loin les miens, car nous n'avons jamais été réellement pour ce genre de choses sur ce qu'il en est de l'intrusivité abusive et ce désir de vengeance. Il y avait eu un très large fossé entre nos familles, ah.

J'avais ressenti une forte pression dû à tout ça et j'avais ressenti ce fort besoin d'être loin des galères qui m'avait opposé à sa famille, donc j'avais favorisé l'éloignement entre elle et moi sur ces quelques heures qui avaient suivi nos échanges en me rendant à la salle pour me perdre un peu et ainsi mettre pause sur ce qui avait salement pesé.

Je m'étais dépensé durant quelques heures, puis j'étais rentré me rafraîchir et j'étais aussitôt ressorti pour rejoindre les frérots du côté de Nouredy. J'avais rapidement repris mes habitudes avec eux tous et notamment la pratique en groupe qui m'avait énormément manqué, parce que la pratique groupée a un charme que la solo n'a pas, sah.

La pratique avait été sensible pour tous et en avait laissé des sensations tellement profondes que l'on avait gardé le silence tout en laissant nos regards s'exprimer à notre place. Je ne pourrais traduire cet effet qu'il y avait eu sur nous, mais ça avait été très marquant, ça nous avait tous déconnecté, mais la sensation avait été tellement bonne.

Ce soir-là, et malgré les galères qui s'étaient posées, j'avais été apaisé et donc, j'avais rejoint les frères sous lège et en fait, j'avais tellement été concentré sur moi-même que les sensations avaient été très folles. Ça faisait longtemps que je n'avais pas ressenti cette sensation de frissons émotionnels qui tire sur la moindre partie du corps, waw.

C'est rare que je me retrouve dans un état tel que celui-ci, mais lorsque cela me touche, je ressens ce besoin d'être seul, donc suite à cette passe, j'étais sorti et je m'étais posé lège sous une déconnexion tellement frappante et rapidement, mes pensées s'étaient comme agitées en s'entrechoquant entres elles et en partant toujours plus loin.

La vie insouciante, puis la décadence entre toutes ces prises de choix qui m'ont salement eu à l'usure et qui m'ont fait devenir cet homme que je suis à ce jour. Ce fort vécu familial et les sales relations de jeunesse qui ont facilité cette descente dans une vie des plus frénétiques rythmée par la drogue et ce besoin de contact physique, da shit.

Un contact si naturel, mais à la fois si impur de par ce sale contexte dans lequel ces deux rapports ont été pratiqués et pas seulement ces deux-là, mais ce sont ceux qui ont été les plus marquants et je dirais même, pas seulement, puisque comme j'ai déjà écrit, il y a énormément de choses que j'ai gardées tout au fond de moi. Ay, holy fackin shit.

La vie et ses sales jouissances, puis la mort et ses châtiments qui demeurent en elle pour tous. Ça fait peur et malhonnête est celui qui dira le contraire, car on n'a tous déjà commis quelque chose de plus ou moins raide, mais qui reste tout de même contraire à la religion, donc condamnable après la mort de chacun. C'est une dure réalité ça.

Sur cet instant, j'étais tellement parti loin que j'avais eu comme cette forte impression que tout avait cessé et que seules mes pensées avaient gardée vie. Ça avait été intense et surtout une fois que mes pensées s'étaient bloquées et que j'avais été sonné par le conscient. La façon dont j'étais revenu sur le conscient avait été assez fou, deh.

Être à un paquet de kilomètres sous la surface de la Terre et dans un dernier effort, revenir sur celle-ci en étant tapé par un épuisement des plus sévères pour reprendre son souffle. Quelle métaphore, oh, belle métaphore. Je m'étais senti oppressé et une fois revenu au conscient, j'avais repris mon souffle, comme si, que l'on m'en avait privé.

J'avais hésité à partir au vu de la descente assez raide dans laquelle j'avais été, mais mes frérots et ce que l'on avait vécu ce soir-là avait eu raison de moi et j'étais aussitôt remonté pour reprendre tout ce que l'on avait stoppé dû à cette forte déconnexion qui s'était posée après ça. Je m'étais installé avec mes frères sous ce vide qu'il y avait eu.

Lorsque Nouredy avait vu que j'étais revenu, il avait fait un signe pour que je le rejoigne dehors, donc j'étais sorti et on s'était posé un peu plus loin. Il avait remarqué un changement dans ma façon d'être et il me l'avait clairement dit, donc nos échanges étaient rapidement allés sur ça. Finalement, ça avait été assez dur toutes ces sensations.

- Nouredy : Je ne peux pas dire que je te sens plus touché que les autres, mais il y a quelque chose dans ton comportement que les autres n'ont pas.

- Moi : J'aime la pratique de la religion, parce que ça me transporte et me fait du bien, mais qu'est-ce que ça me déchire en même temps.

- Nouredy : Qu'est-ce qui te fait dire ça ?

- Moi : Je me sens sale de par tout ce que j'ai pu faire dans ma vie et vis-à-vis de ça, c'est difficile.

- Nouredy : Ce sont des choses passées sur lesquelles tu auras ta note certes, mais il ne faut plus que tu penses à ça, parce que sinon tu ne pourras jamais poursuivre dans l'effort du fait que tes pensées seront constamment prises.

- Moi : Tu ne sais pas toi, mais je ne peux pas être serein quand les envies sont toujours autant présentes et que je suis toujours à peu de faire du sale en m'enfonçant à nouveau dedans.

- Nouredy : Ça me prend la tête, parce que je n'arrive pas à comprendre ce qui te pousse à te faire du mal comme ça.

- Moi : Je suis assez partagé, parce que je sais que c'est mal, mais en même temps, je ne vois pas vraiment la chose comme ça. Je vois plus ça comme une habitude, mais pas seulement, puisque j'en ressens vraiment le besoin pour mon bien psychologique, enfin le bien selon moi.

- Nouredy : La seule chose que je vois, c'est que tu es accro à toutes ces mauvaises choses et que si tu continues, ça foirera sur le long terme.

- Moi : J'ai une très forte envie et un fort besoin, mais depuis la dernière défonce, je n'y ai pas retouché, parce que j'ai su me dire non sur toutes ces fois où j'avais été à peu de me mettre dans le brouillard, donc j'estime que je ne suis pas accro.

- Nouredy : Ça ne veut rien dire ça. Je remarque que tu te rends mal en parlant toujours de ça, donc si ça n'est pas être accro, explique-moi ce que ça peut être ?

- Moi : Un fort besoin de me perdre dans l'inconscient pour me sentir un peu plus lège au moins pour quelques heures.

- Nouredy : Pour que je retrouve mon frère dans un état pitoyable dû à ces sales prises et ces remords ?

- Moi : Ça reste psychologique et c'est une chose qui n'est vraiment pas facile, mais je fais un énorme travail sur ça pour ne pas retomber au plus bas de ce que j'ai pu atteindre à un moment dans ma vie.

- Nouredy : Je ne pourrais jamais véritablement comprendre tes ressentis par rapport à tout ça, puisque je n'ai jamais été dans ton cas, mais je le vois que ça n'est pas facile de par tes états et tes mots, donc ça ne sert à rien que je rentre dans un sujet que l'on a déjà abordé à plusieurs reprises. On est là et on restera présent pour toi aussi longtemps qu'on le pourra, donc il ne faut pas que tu sois honteux à l'idée de ça.

- Moi : Ça ira. Je saurai y faire.

- Nouredy : La fierté c'est bien, mais ça dépend à quel degré et surtout pour quoi, donc il faudrait que tu fasses un travail sur ça aussi, parce que c'est violent à ce stade.

- Moi : Là, il n'est pas question de fierté. Simplement, je ne ressens pas le besoin d'être aidé sur ça.

- Nouredy : C'est toi et ta fierté qui te fait dire ça. Je me rappelle encore de la dernière défonce où tu avais fait le fier en restant seul et que tu t'étais retrouvé au sol alors que l'on aurait pu intervenir bien avant. Si ça n'est pas de la fierté ça, je ne comprends pas.

- Moi : Le jour où tu l'avais su, j'avais reçu une sale humiliation de ta part, donc je me passerai de tes interventions sur ce qu'il en est de ça.

- Nouredy : Je l'avais très mal pris ce que tu avais fait, donc j'avais réagi sous un excès de colère, mais évidemment que demain, si tu me fais comprendre que la triste réalité te rattrape, je te rejoindrais aussitôt avec les frères pour que tu ais un soutien moral, parce que je ne veux pas que tu foires ta vie sur un point de vu santé, mais aussi religieux.

Plusieurs fois, depuis que l'on s'était connu, Nouredy avait tenu des propos comme ceux-là et sur lesquels, je ne m'étais jamais réellement questionné, mais cette nuit-là, j'avais enfin saisi la valeur de ses mots et ça m'avait laissé un peu dans le brouillard même si, je l'avais taclé à certaines reprises sur ce qu'il avait pu faire de déplaisant.

Cette nuit passée avait tellement été folle que j'avais décidé de repartir pour faire redescendre toute cette pression positive qui s'était installée en moi. En réalité, j'avais été partagé entre des sentiments positifs et négatifs, donc j'étais rentré pour mettre fin à toutes mes pensées ainsi que cette nervosité positive sous un sommeil raide, eh.

Une fois que je m'étais levé, je m'étais rafraîchi et j'avais rejoint mon frère à l'hôpital. Une fois, là-bas, je m'étais retrouvé face à lui alors qu'il avait été entouré de quelques frérots, son père et des gens de sa famille. Je m'étais demandé ce qu'il y avait eu, donc son père était venu à moi et il m'avait bien expliqué toutes les choses, yayy.

La phase finale avait été là, donc ensemble, la famille avait décidé de sa sortie, afin que sa fin se fasse auprès des siens et sans aucun inconvénient sur ce qu'il en avait été des salah et des récitations. Ça avait été amer, parce qu'il y avait eu une réelle odeur de fin. Je m'y étais préparé, mais quand même, ça avait été salement violent, wah.

Je m'étais installé auprès de Karim et sa famille ainsi que nos frérots que je n'avais pas revu depuis et ça avait été une magnifique image que je n'oublierai jamais tant ça avait été chargé. À vrai dire, sur la fin, les images avaient toutes été chargées en émotion, parce qu'on s'était constamment rappelé que le frère vivait ses derniers instants.

En soi, c'est pareil pour tout le monde. Il se peut que je sois en train de vivre mes derniers instants et tout comme toi qui est en train de me lire, mais il n'y a aucune certitude et Allahu 3alem, mais Karim, ça avait été flagrant de par son état qui s'était littéralement détérioré et les médecins qui avaient mis fin à tous ses traitements, normal.

J'avais échangé avec tout le monde et plus particulièrement son père qui m'avait bien prévenu que le lendemain, Karim allait être de sortie et que ceux qui seraient en capacité de prier et réciter allaient en balle être les bienvenus chez lui et notamment moi, donc j'avais été très touché et sur le moment, les frérots avaient tapé mes pensées.

J'avais pensé à Nouredy et aux frères que j'avais connus via lui. La seconde qui avait suivi ses mots, ils avaient été ma première pensée, car ce sont de bonnes personnes et sur le point religieux, ils sont les plus sérieux parmi tous les gars que j'ai pu connaître dans toute ma vie et leurs présences allaient être des plus évidentes, mais vraiment.

Suite à ces nombreux échanges, j'étais reparti, puisque le lendemain, lundi, une grosse journée au PC m'avait attendu vu que mon congé avait pris fin ce soir-là, donc j'étais rentré pour être lège. Il y avait eu Ines que je n'avais pas revu depuis notre discussion et Zaher que j'avais un peu oublié ces derniers temps, donc je l'avais pris en solo.

Je l'avais clairement laissé et il s'en était parfaitement rendu compte, car il y avait eu un changement flagrant sur son attitude envers-moi et j'en avais été brusqué. J'y étais allé doucement avec lui, parce que je n'avais pas eu envie qu'il me rejette avec violence de par ce besoin que j'avais eu de lui et tout ce qu'il avait eu comme force, ah.

Au fur et à mesure des minutes, il s'était lâché et très rapidement, j'avais retrouvé mon petit Zaher et j'avais enfin pu être dans le profit avec lui. J'avais eu un grand manque de sa toute petite personne et lorsqu'il avait repris toutes ses habitudes avec moi, j'avais été en folie. Il est ma dose, petite, mais oh, tellement violente. Il me met ko.

Je m'étais occupé de lui jusqu'à la dernière seconde avant qu'il tombe raide et lorsqu'il avait été loin, j'avais rejoint Ines au salon. Je m'étais posé et j'étais resté quelques minutes sans rien dire, puis à un moment, je m'étais décidé à dire quelque chose, puisque le blanc qu'il y avait eu avait été très glacial et j'avais voulu y mettre fin, yayy.

Ce qu'il faut savoir, c'est qu'à un moment, Ines et moi, nous nous étions littéralement perdus dans les sentiments que l'on partageait et donc, il y avait eu quelque chose de systématique entre nous, c'est que l'on utilisait toujours l'appellation hobi qui veut clairement dire mon amour pour s'appeler, mais ce soir-là, elle m'avait stoppé, eh.

La façon dont elle l'avait dit m'avait assez brusqué et je n'avais pas trop apprécié, car j'avais très bien compris qu'il y avait eu quelque chose qui l'avait poussé à me repousser de cette façon-là. J'avais été assez perturbé, mais j'avais voulu savoir la raison de ses mots, parce que sur le moment, ce flou avait été sale. Indifférence à outrance.

- Moi : Tous les jours, tu auras un comportement différent de la veille ou bien c'est comment ?

- Ines : Il n'y a pas de comportement différent, mais tu fais ce que tu veux avec qui tu veux, mais plus avec moi.

- Moi : Explique-toi. Qui a dit quoi encore ?

- Ines : Je ne suis personne pour te dire ce que tu as à faire ou non, mais simplement, je n'ai pas envie que toutes ces choses finissent par me faire du mal, donc il est préférable que l'on prenne nos distances et je ne parle pas de la relation que nous partageons avec Zaher, mais simplement celle que nous avons à deux.

- Moi : Tu me balances des bombes comme ça à croire que j'ai fait quelque chose.

- Ines : Je n'ai pas envie que ça parte trop loin dans les explications, mais à un moment, il faut savoir ce que tu veux. Ça me tue quand j'apprends que lorsque je ne suis pas là, tu te laisses vivre tranquille alors que par ta façon d'être avec moi, j'ai toujours cru qu'il était possible qu'il y aille quelque chose de beaucoup plus fort entre nous et bien plus que ce que tu m'offres actuellement.

Lorsque tous ses mots s'étaient posés, j'avais aussitôt pensé à Lylia et j'avais rapidement compris que tout étais revenu jusqu'à Ines et dans les moindres détails comme Lylia sait parfaitement le faire. J'avais été brusqué par ses mots et je n'avais pas su quoi lui dire ou du moins quoi lui répondre. Ça avait été l'incompréhension, mais la plus totale..

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