Cause à effet

By Emirdzae

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En tant qu'homme, lorsqu'on est jeune et irréfléchi, mais surtout sans repère masculin, ça arrive que l'on pr... More

● Pourquoi
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By Emirdzae

Les jours étaient passés et les habitudes s'étaient doucement posées. Je m'étais quelque peu habitué à ce nouveau rythme autant sur mon travail et les sanctions qu'il y avait eues que sur les nombreuses tâches qu'il y avait eues à faire sous mon toit et pour les enfants, même si ça avait été lourd sans Ines et son vrai sens de l'organisation.

Au travail, il n'y avait pas vraiment eu de changement. Depuis, il y avait eu quelques échanges avec le patron et ça avait été plutôt lège, donc j'étais resté sur cette bonne vibe, afin que les choses puissent évoluer positivement et qu'il en vienne à changer le sale regard méfiant qu'il avait eu sur moi. En fait, j'avais clairement sali mon image.

Avec les collègues, il n'y avait pas eu de changement. J'avais décidé de maintenir cette distance entre eux et moi, parce que je m'étais trouvé beaucoup plus productif ou disons efficace en étant focus sur moi-même et mon travail. Je ne me suis jamais vraiment mélangé à eux, mais là, j'avais mis une réelle barrière et ça avait été fructueux.

Ça n'avait pas été la seule raison qui m'avait poussé à maintenir la distance. J'avais vraiment cassé ce faux lien qu'il y avait eu entre nous, parce que certains s'étaient clairement sentis poussé des ailes et ils avaient souvent dit ou fait des choses envers-moi que même Zyam et tous mes frères de toute ma vie n'ont jamais osé dire ou faire.

Dès les premiers temps, ils avaient installé une certaine proximité entre eux et moi et tout avait été à base de blagues très gênantes qui avaient souvent été en rapport avec moi et ma vie un peu décalée, parce que depuis, certaines choses me concernant avaient fuitées au sein du PC, mais j'avais souvent gardé mon calme sur ces choses.

Ils m'avaient pris pour un bon pote, mais ils ne me connaissaient clairement pas en fait. Pour moi, les rapports que l'on entretenait et encore à ce jour, ils sont purement professionnels et ils s'arrêtent en dehors du PC. Ça ne va pas au-delà de notre travail, parce qu'ils ne m'intéressent pas et je ne me vois pas construire heja avec eux, eh.

Tous ces gars que j'ai connus en France et à travers le monde de par tous mes voyages et avec qui j'ai bien accroché et poursuivi, je les considère tous comme mes frères, puisque je n'ai jamais fonctionné à l'amicale et après tant d'année, j'ai l'impression qu'ils me suffisent et que des connaissances toutes fraîches ne m'apporteraient rien.

Depuis ma jeunesse, j'ai été trahi et déçu par beaucoup de personne et notamment des mectons que je considérais comme des frères et pour qui j'avais énormément de respect, donc il est vrai que je me fais prudence maintenant, parce que je réprouverai le fait que l'on puisse une énième fois jouer avec moi et la sympathie que je donne.

En tout cas, au travail, même si les choses avançaient tranquillement, la pression s'était énormément fait ressentir et l'ambiance avait vraiment pris un sale coup depuis l'altercation qui nous avait opposé Nouredy et moi, d'ailleurs ça faisait un petit moment que je ne l'avais pas vu et je m'étais demandé si ça avait été pour cette raison, ah.

Pour ma part, j'avais été en session de jour et au début, j'avais pensé que les horaires de Nouredy, ils avaient été changés pour de la garde de nuit et que ça avait été pour ça que je ne le voyais plus, mais un matin en signant la fiche de présence, j'avais vu toutes ses anciennes cases vides alors qu'il n'avait pas été noté sur celle des congés.

En soit, je n'en avais rien eu à faire de Nouredy et son planning, mais j'avouerai que ça avait été assez bizarre le fait qu'il ne s'était pas présenté au travail depuis une bonne semaine et surtout après notre altercation alors qu'il n'y avait eu aucune raison à ça. Un peu détaché, j'avais espéré qu'il n'y avait eu aucun lien avec notre altercation.

Je ne saurai pas dire pour quelle raison, mais j'étais resté sur l'idée qu'il ne s'était pas présenté au PC pour ça et à ce moment-là, mes pensées s'étaient mises à vriller, parce que mon intention n'avait pas été de lui faire du mal, mais juste lui faire comprendre que j'avais été froissé de tout ça. J'avais pensé à revenir vers lui, mais non deh.

J'avais pensé à reprendre contact avec lui et ainsi voir si tout allait bien de son côté, mais ça ne s'était pas passé comme prévu, parce que j'avais aussitôt abandonné cette idée de prendre de ses nouvelles pour la seule raison que je n'avais pas eue envie que ça me froisse et ma fierté également. Ça avait été très bad de ma part, je le conçois.

Pour ce qu'il en avait été de Lylia et bien ça avait été le vide. Suite à notre discussion concernant tout ce qu'elle avait pu dire à Ines, on ne s'était pas reparlé. J'avais poursuivi ma petite vie entre les petits et le travail, puis Lylia était restée chez moi à s'occuper de Junayd et rien d'autre. Concrètement, elle n'avait été d'aucune utilité, zeh.

Je ne sais pas si ça avait été de la rébellion du fait qu'elle avait été touchée par tout ce que je lui avais dit depuis, mais à force ça avait commencé à me prendre fortement la tête. J'avais eu cette très forte impression qu'elle avait fait exprès de réagir de cette façon pour que ça me froisse et que l'on vienne à salement se déchirer, ya shit.

Ça avait été de la provoque à chaque instant et ça m'avait déplu. Tout ce que je lui avais demandé de faire, ça n'avait été que de la logique en fait, c'est pour cette raison que je n'avais pas compris toutes ses réactions. Si j'avais été à sa place, j'aurai accepté les conditions qu'elle aurait mises en place sous son toit et sans rien dire sur ça.

Lorsque l'on vit chez quelqu'un, même si c'est pour un court temps, on s'adapte à son mode de vie et si ça ne nous plaît pas, on prend nos affaires et on s'en va, parce que ça n'est pas à elle de s'adapter à nous, mais bien à nous de s'adapter à elle, puisqu'on ne se trouve pas chez nous. C'est tellement une évidence ça, mais normal, yayy.

Pour ma part, chez moi, je suis tellement tranquille et lorsque des connaissances passent, je les laisse faire comme si, qu'ils étaient chez eux. Ils peuvent déplacer la table et le sedari, se prendre des doses et finir mout, regarder, écouter, boire et manger, sauf exception tout ce qu'ils veulent, mais tout doit revenir en ordre avant de partir.

C'est la raison pour laquelle j'avais été surpris du comportement de Lylia, parce que j'estime être bon sur ça. Je ne lui avais imposé aucune limite et de ce fait, je lui avais clairement laissé la liberté de tout faire, mais à la seule condition de toujours tout remettre en ordre et bien entendu se partager toutes les tâches des petits et le ménage.

Je lui avais imposé des choses qui restent tout à fait normales en colocation, mais elle avait décidé de me faire voir rouge, puisque quelques jours après, elle s'était arrêtée de faire sa part du ménage tout en faisant le désordre dans toutes les pièces où elle allait. Continuellement, j'avais dû passer derrière elle pour ranger tout son bordel.

Mais venant de sa part, ça n'avait pas été la chose la plus mauvaise. Ce qui m'avait le plus marqué, ça avait été le fait qu'elle avait arrêté de faire à manger à Zaher alors que je m'étais reposé sur elle pour ça, parce que même avec la meilleure volonté du monde, je n'arriverai jamais. Elle avait été l'une des seules à pouvoir le faire pour lui.

Personnellement, plus les années passent et moins je me nourris de choses dites cuisinées, parce que je ne ressens ni l'envie ni le besoin de toutes ces choses et lorsque Lylia et Ines cuisinent ça reste en partie pour les petits et elles, du coup je n'avais pas tout compris. En faisant ça, elle avait touché à Zaher bien plus qu'à moi en fait.

Elle s'était fait passer avant Zaher et encore ça avait été voulu de ne plus rien faire pour mon fils. Ça avait été très bas de sa part, puisqu'en cherchant à me faire réagir, elle avait causé du tort à Zaher. Je n'avais pas réussi à me contenir ce soir-là, parce que j'avais vraiment été brusqué. Clairement, jamais je n'aurai imaginé ça de sa part.

- Moi : Depuis quelques jours, je t'observe énormément et wAllah que tu me dégoûtes de plus en plus.

- Lylia : Mais tu as un problème toi. Pourquoi tu me dis des choses comme ça ?

- Moi : Je t'assure que si tu pouvais entendre les pensées que j'ai sur toi, ton gelb il s'arrêterait sur place tellement que c'est sombre. En tant que femme, tu es la pire que j'ai pu connaître et je pèse mes mots.

- Lylia : Tu te plains que je crache constamment sur toi alors que ce n'est pas vrai, mais tu as vu ce que tu te permets de me dire toi ?

- Moi : Tu craches derrière mon dos et moi je te dis en face ce que je pense de toi. Ce sont deux choses complètement différentes.

- Lylia : Tu me blâmes sans cesse et même lorsque je ne fais rien. Tu as vraiment un problème.

- Moi : Le temps passe et je commence à voir des aspects de toi que je ne connaissais pas, même après avoir passé toute notre jeunesse ensemble. Je ne retrouve plus toutes ces choses qui avaient retenu mon attention chez toi, je vois que du mauvais maintenant.

- Lylia : On est deux alors.

- Moi : Tu dis souvent que je suis mauvais, mais ta façon d'être et de faire les choses prouve bien que c'est toi qui es la plus mauvaise dans toute cette histoire. Tu ne penses qu'à toi et de ce fait, tu ne vois pas le tort que tu causes autour de toi, comme pour Zaher par exemple. Tu le prends comme cible pour m'atteindre et c'est vraiment puéril et vicieux de ta part ça.

- Lylia : Tu fais référence au fait que je ne fais plus rien pour lui ? Mais après tout, c'est ton fils, ton premier enfant comme tu me le balances assez souvent dans la face.

- Moi : Nous sommes en quelque sorte en colocation et ça reste normal que l'on se partage toutes les tâches quotidiennes surtout lorsqu'il y a des choses que l'un ou l'autre ne sait pas faire. Nourrir Zaher ça reste une tâche du quotidien et j'admets le fait que je ne sais pas faire ça, donc je comptais sur toi, mais tu en as décidé autrement.

- Lylia : Ce n'est pas toi qui disais que j'étais personne pour Zaher et donc que je ne devais rien faire pour lui.

- Moi : J'ai l'impression que lorsque je te parle, tu retiens seulement ce que tu as envie. Je n'ai jamais dit ça de cette façon, donc arrête-toi s'il te plaît.

- Lylia : Ce n'est pas toi qui disais que chacun s'occupe de son enfant ?

- Moi : Décidément, tu es la seule à ne rien comprendre. On s'est toujours dit que vous n'aviez pas à prendre des décisions seules pour l'enfant de l'autre sans le consentement de chacun, donc je ne vois pas le rapport avec le fait de nourrir Zaher, puisque ça reste une tâche du quotidien et tu as eu mon consentement pour ça. Tu ne fais rien à part te plaindre.

- Lylia : Et moi qu'est-ce que je devrais dire pour ton indifférence et ton manque d'implication envers Junayd ? Tu aurais pu être crédible si tu en faisais un minimum pour Junayd qui est aussi ton fils.

- Moi : Tu ne comprendras définitivement jamais rien, mais une chose est sûre c'est que je ne te laisserai plus dire des choses comme ça, puisque je m'investis tout de même pour lui.

- Lylia : Tu as osé dire que tu t'investis pour lui, mais à quel moment ?

- Moi : Après tout ce que j'ai vécu, j'ai un blocage envers-lui qui est tout à fait compréhensible, mais ce qu'il s'était passé l'autre jour, lorsque tu étais partie, ça reste une belle preuve, puisque je m'étais tracassé pour lui et j'étais allé jusque dans une pharmacie pour qu'il puisse avoir tous ses besoins à la journée.

- Lylia : Je le comprends tout à fait ça, mais bon une seule initiative depuis qu'il est né, ça reste assez bas.

- Moi : Non, tu ne le comprends pas sinon tu ne dirais pas ça. Par contre, je ne voudrais pas te mettre à terre, mais rien que les thunes, c'est déjà énorme, puisque c'est le moteur ça. Actuellement, entre toi et moi, je suis le seul à faire venir la maille et si je ne serais pas là pour ça, Junayd n'aurait rien.

- Lylia : Tu dis ça comme pour me blâmer, mais je te rappelle que j'ai accouché il y a peu de temps et que c'est moi qui a la garde exclusive, donc explique-moi comment je pourrais faire actuellement ?

- Moi : Est-ce qu'il faut que je te rappelle que lorsque j'ai été enfermé, Ines a subvenu aux besoins de Zaher et Zian seule ?

- Lylia : Tu as cette manie de nous comparer et de toujours mettre Ines en position de force.

- Moi : Tu cherches toujours le mot pour me mettre plus bas que terre, donc je te balance en pleine face des choses qui cognent. À quinze ans, Ines s'est donné les moyens de réussir en tapant dans le tas et c'est pour cette raison que financièrement elle a bien fait les choses pour deux bébés que ce soit sur les produits d'hygiènes, la nourriture, les vêtements, les soins pour Zian, le rapatriement du corps en Algérie, même si j'ai mis ma part pour Zian, donc ton «Comment je pourrais faire ?» Il n'a pas sa place dans notre conversation.

C'était devenu vraiment très tendu entre nous et il n'y avait eu aucune possibilité de se parler sans se mettre à terre avec les mots. J'avais été énormément surpris de Lylia, parce que j'avais découvert des aspects de sa personnalité que je n'avais encore jamais vue jusque-là et ils avaient été sales. Si j'avais su, jamais je ne l'aurai approché.

Suite au sale comportement dont elle avait fait preuve, j'avais eu cette envie de lui faire voir rouge et mettre ses nerfs en ébullition, mais sans trop en faire. Je le savais très bien que Lylia n'aimait pas être seule la nuit avec les petits, donc j'avais pensé à voir avec mon patron pour un changement d'horaire et un switch sur toutes les nuits.

J'avais également profité de sa présence pour le faire, parce que mon patron avait déjà émis l'idée de me mettre sur des sessions de nuit et avec Ines ça avait toujours bloqué par rapport à ses horaires de dépointes. J'allais en faire part à mon patron dès le lendemain, parce que j'avais eu envie d'avoir une place de nuit assez rapidement.

Le lendemain, je m'étais arrangé avec le patron. Je lui avais fait part de mes disponibilités au mois, vu que je l'avais voulu seulement pour cette période, puisqu'en fin de mois, Ines revenait sur Paris, donc il avait switch ma place avec d'autres collègues et j'avais été noté sur la garde de nuit. J'avais été ravi, parce que ça avait été accepté.

Après en avoir eu la confirmation de mon changement de planning, j'en avais parlé à Lylia et ça ne lui avait vraiment pas plu, mais les choses avaient été faites et sans possible retour en arrière. Ça n'avait été que sur un mois, et même un peu moins alors que j'aurai pu le faire sur deux mois, mais je n'avais pas été plus dur que ça, really.

Les jours étaient passés et des anciennes habitudes étaient venues se posées dans mon quotidien. Le soir ou du moins à dix-sept heures et quelques, je retournais à la crèche prendre Zaher et le déposais chez moi avant de reprendre la route pour le travail où j'y restais jusqu'à cinq heures du sbah ou bien un petit peu plus par moment.

À la dépointe, je rentrais aussitôt chez moi et je retrouvais toujours Zaher derrière la porte, tout beau et tout frais prêt à partir. Je le déposais à la crèche avant de me rendre à la salle où je restais toujours deux heures et demie voire trois heures, et même si j'avais été en manque de sommeil et que ça avait joué sur le moral et le physique.

Je n'avais pas été du genre à prendre la fatigue comme excuse pour ne rien faire. Je l'avais fortement ressenti de par les picotements qui me parcouraient sans cesse le corps et les moments où j'avais été à la limite de tourner de l'œil, mais je m'étais refusé de ne rien faire, donc je me dépensais lège avant de n3ess jusqu'à seize heures.

Ça avait été des journées et des nuits beaucoup plus dynamiques et avec une tout autre ambiance de ce que j'avais pu connaître, mais ça avait été plaisant et c'est tout ce que j'avais voulu pour bousculer un peu mon quotidien. J'avais constamment été en occupation hormis les quelques heures de repos et ça avait été un vrai kiffe, oh.

Les jours passaient et un matin à la dépointe de six heures, je m'étais retrouvé dans les vestiaires avec Nouredy alors que ça faisait un long moment que je ne l'avais pas vu. J'avais été assez surpris, mais je m'étais changé sans rien dire alors que lui était arrivé pour sa journée. Une fois prêt, j'avais quitté les vestiaires, mais il m'avait suivi.

Lorsque l'on s'était retrouvé dans les vestiaires, on ne s'était pas vraiment calculé du coup, j'avais été assez surpris qu'il me suive. Je m'étais posé pas mal de question et surtout celle de savoir la raison de sa longue absence au PC. J'avais continué mon chemin sans rien dire et j'avais attendu qu'il prenne la parole. Je n'allais pas le faire..

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