Cause à effet

By Emirdzae

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En tant qu'homme, lorsqu'on est jeune et irréfléchi, mais surtout sans repère masculin, ça arrive que l'on pr... More

● Pourquoi
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By Emirdzae

Au Qatar, Ines, elle y était allée pour affiner ses connaissances dans le milieu de la haute gastronomie et donc ses collègues et elle, ils avaient tous été retenus dans un Palace avec des grosses journées et nuits de travail, donc ça avait été compliqué de communiquer avec elle, puisque nos horaires avaient été très différents et frustrants ah.

Ce déplacement, il avait été professionnel et déterminant pour la suite de son long parcours, du coup durant ces deux mois, elle avait dû mettre sa vie entre parenthèses, afin de ne pas être distraite. Il est vrai que ça avait été assez difficile vis-à-vis de Zaher, puisqu'il avait souvent demandé après sa mère, mais je n'avais jamais su quoi dire.

Deux mois, ça reste assez court, donc ils avaient planifié leurs actions sur huit semaines en se laissant que le jeudi de repos, afin que les efforts se comptent un petit peu plus et de ce fait, Zaher et Ines, ils n'avaient pas pu être en contact direct, puisqu'elle quittait ses postes dans la nuit. J'avais eu du mal à lui faire comprendre tout ça, deh.

Lors de ses deux pauses qui ne duraient pas plus de dix minutes, elle en profitait pour m'envoyer des vidéos où elle s'adressait à Zaher au lieu de reprendre des forces pour tenir sur tout le reste, et même jusqu'à la dépointe. Le simple fait de savoir que le lendemain, elle avait une réponse de sa part, ça lui faisait du bien et ça la faisait tenir.

Par contre, elle et moi, on ne s'était pas parlé sur toutes les nuits, parce qu'elle était très épuisée des journées donc lorsqu'elle dépointait, elle rentrait, se lavait, rattrapait ses salah et tombait raide sur la minute. Cette nuit-là, elle m'avait appelé pour prendre des nouvelles de nous, mais pas seulement et ça m'avait surpris sur le moment.

- Ines : Les choses se passent ?

- Moi : Elles se passeraient encore mieux si tu serais présente à mes côtés, mais je gère bien les choses.

- Ines : Et ça se passe avec Junayd et Lylia ?

- Moi : Pourquoi tu me parles de Junayd et Lylia ? Reviens aux priorités et demande-moi, si ton fils va bien.

- Ines : Les nouvelles de Zaher ce sera pour après, surtout que je sais qu'il va bien, puisque j'ai eu les vidéos ce matin. Là, je veux savoir si ça se passe bien avec Junayd et Lylia, parce que j'ai eu des échos.

- Moi : Alors, je t'écoute !

- Ines : Je ne suis pas là, donc je ne peux pas réellement savoir ce qu'il se passe là-bas, mais je me suis fait une idée par rapport à ce que Lylia m'a dit.

- Moi : Je ne sais pas ce qu'elle a pu te dire, mais venant d'elle, j'imagine bien que ça ne doit pas être très glorieux. Tant qu'à faire dis-moi.

- Ines : Elle m'a dit que tu étais dur dans ta façon d'être avec elle et que tu prenais un malin plaisir à mettre Zaher en avant tout en délaissant Junayd sous son nez. Elle est touchée par tout ça et tu sais ce que j'en pense.

- Moi : Tu ne peux même pas savoir à quel point ça me rend nerveux tout ce que tu viens de me dire, parce qu'il n'en est rien de tout ça.

- Ines : Emir, j'aimerais que tu prennes sur toi et que tu traites Junayd et Lylia de la même manière que tu traites notre fils et moi, parce qu'on a rien de plus qu'eux. Je veux que tu comprennes que sur nous quatre, il n'y en a pas un au-dessus de l'autre, même si tu as plus d'affinité avec moi et que notre histoire est plus forte et marquante que celle que tu peux vivre avec Lylia et votre fils.

- Moi : Ce n'est pas question de ça, c'est surtout par rapport à tout ce que je ressens au fond de moi. Les choses sont difficiles pour vous, mais elles le sont autant pour moi, même si je ne dis rien. Peu importe, ne te prend pas la tête avec toutes ces choses et concentre-toi bien sur tes objectifs.

- Ines : Je n'aime pas te sentir dans le bad et je t'assure que ça me bloque sur tout le reste, parce que dans ces moments-là, je ne pense qu'à toi. Je n'ai pas envie que les choses dérapent au vu de ta nervosité.

- Moi : Je t'assure que tout va très bien pour moi, mais je n'apprécie pas la façon dont Lylia te traite, parce que j'ai l'impression qu'elle te prend pour son psychologue ou sa conseillère conjugale à te prendre constamment la tête avec ses états d'âme, alors que tu as autre chose à faire.

- Ines : Non ce n'est pas ça. C'est-à-dire qu'entre femme, on arrive à se comprendre et vu que je suis la seule à qui elle peut parler de toutes ces choses, elle en profite.

- Moi : Est-ce que toi et moi, lorsque l'on est dans le bad, on se permet de faire la même chose en allant prendre la tête aux gens en leur bourrant le crâne avec nos états d'âme ? Non, au contraire, on garde les choses tout au fond de nous et peu importe ce que ça engendre.

- Ines : Il faut que tu te fasses à l'idée qu'il y en a qui ne réagissent pas de la même façon que nous. Lylia a sa façon à elle de réagir et tu ne peux pas lui en vouloir sur ça.

- Moi : J'ai énormément de mal avec ça, parce que ça n'est pas dans mes habitudes et ni dans les tiennes d'ailleurs.

- Ines : Je le sais bien ça, je l'ai remarqué. Je me sens tellement impuissante, parce que je suis loin de vous et je ne peux rien faire.

- Moi : J'aimerai que tu arrêtes de répondre à Lylia, parce qu'elle est toujours en train de te mettre dans le bad inutilement. Ines, je t'assure que les choses se gèrent ici et tu as juste à te mettre en tête qu'avec moi, ton fils va bien et il ne manque de rien, donc respire et concentre-toi sur ton travail.

- Ines : Je ne doute pas de ça, parce que même si tu as traîné dans de sales affaires en faisant des choses pas très nettes et que tu as un comportement bouillant, tu restes une bonne personne avec un bon fond de par tout ce que j'ai pu voir et recevoir de ta part durant ces quelques années, donc je ne m'en fais plus pour Zaher, même si ça m'arrive d'être dans l'embarras avec toi.

- Moi : Je n'ai jamais nié avoir des comportements et des réactions strange, mais je ne pense pas que ça fasse de moi quelqu'un de mauvais.

- Ines : Tu n'es pas mauvais, juste un peu dingue, mais on va dire que j'ai eu de la chance de ne pas être tombé sur plus fou que toi.

- Moi : Je ne sais pas comment je suis censé prendre ces mots, mais je ne préfère pas y penser.

- Ines : Arrête de croire que c'est insultant quand je dis ça, parce que tu le sais très bien tout ce que je pense. Clairement, en y repensant et hormis le fait que l'acte en lui-même est haram, j'ai été très irréfléchie sur ce que j'ai fait avec toi, parce qu'on ne se connaissait pas plus que ça et que les seules choses que j'avais retenu de toi, ça avait été très extrêmes, mais bon l'essentiel est qu'à présent, les choses vont mieux, même si j'aimerais que tu revois certains de tes agissements.

- Moi : Je dirais même que l'essentiel est que ton fils ait la santé et qu'il ne manque de rien en plus d'être heureux enfin de ce que l'on voit de l'extérieur, donc ne te prend plus la tête avec des futilités, parce que le reste n'a aucune importance.

Le manque avait été présent, et même un peu plus que les premiers temps, donc je m'étais rattaché à ses mots autant les suaves que les amers et l'envie d'être à ses côtés, c'était un peu plus fait ressentir, mais rien n'avait pu y faire, surtout qu'il restait encore de nombreuses semaines à attendre. Après ce partage, j'étais parti ailleurs. Shit.

J'avais ressenti ce fort besoin d'être seul, donc j'étais descendu un peu plus loin et je m'étais posé sur une butte d'herbe. Je ne m'étais pas senti bien et mes pensées s'étaient aussitôt remises en marche alors que j'étais censé passer une nuit posée. Cette nuit-là avait été particulièrement plus sévère que toutes les nuits précédentes, ah.

Après tant de nuits que j'ai passées dans cet état et tant de parties où j'ai pu en faire part, je suppose que vous connaissez la suite de cette nuit-là. J'étais resté à l'écart de tous, puisque j'avais été pris par toutes ces pensées négativement habituelles et encore bien d'autres dont je n'ai jamais fait part, puis finalement tout s'était mélangé.

Que ce soient des choses dont j'ai fait part ou d'autres dont je n'ai jamais prononcé un seul mot, rien ne s'était oublié, tout s'était retracé et posé dans mes pensées, mais de l'année la plus reculée à celle de l'année ou plutôt de la nuit où j'avais vécu ce moment, puis finalement mes pensées s'étaient posées sur la religion et la pratique, eh.

Ça faisait déjà quelques semaines que j'avais une fois de plus faibli face à la drogue et que la pratique de la religion m'avait été compromise. Ça avait été difficile, parce que le manque s'était fait ressentir alors que je n'avais été qu'au début des quarante jours. Je n'aurai jamais pensé, un jour, avoir de tels ressentis et pourtant si. Fiuu ay.

J'avais eu un manque de toute cette pratique et sur le bien que ça me procurait sur la durée, et même si ça mettait toujours un peu de temps à se poser. Avant que je sombre à nouveau, j'étais en capacité de m'évader à travers la religion de par l'écoute et la lecture, mais surtout la salah et bien davantage, mais depuis, ça avait été le vide.

Je m'étais éloigné de Nouredy, parce que son comportement m'avait déplu, mais ça n'avait pas été la seule raison. J'avais également décidé de prendre mes distances avec les frères que j'avais connus via lui, puisque nos échanges sont en partis religieux et que ma pratique avait été compromise. En fait, je ne m'étais pas senti à ma place.

Cette période avait été lourde, mais j'avais essayé de prendre sur moi et mettre pause sur ces choses en me perdant sur des pensées qui concernaient mon Monsieur. J'avais repensé à nos échanges et je m'étais remis en tête qu'on allait possiblement se revoir. Je m'étais boosté avec ça, même si le moral n'avait pas été très présent, ah.

J'étais resté un bon moment à l'écart de tous, puis finalement, j'étais revenu avec les frérots, même si l'ambiance et les comportements avaient changés. Je m'étais posé et j'étais resté bloqué sur certains d'entre eux, parce qu'ils avaient été dans un sale état. J'avais été sobre de tout, donc ça avait été très marquant sur le moment, damn.

Lège ou sévère, tous ceux qui avaient consommé, ils avaient été dans un état pitoyable. J'avais été en plein dans la consternation, parce que je m'étais vu à travers eux. Je m'étais retrouvé dans cet état-là plus d'une fois et le fait que je l'avais vu sous tous les angles cette nuit-là, ça m'avait fait comprendre pas mal de choses, sincèrement.

Certains avaient retenus mon attention plus que d'autres, parce qu'ils s'étaient vraiment lâchés sur la consommation et ils avaient fini dans un sale état qui s'était apparenté à de la possession. Les choses avaient été très folles et dans ma tête, je m'étais répété «Lorsque je consomme, c'est donc à ça que je suis réduit ?» Ça m'avait dégoûté.

J'avouerai que tout en me disant ça, j'avais été attiré par le sale, parce que j'avais eu ce besoin d'être ailleurs, mais je m'étais rapidement stoppé en me disant «Ne pense pas que c'est ça qui arrangera les choses, mais pense juste que c'est ça qui a compromis ta pratique de la religion et c'est la raison pour laquelle tu es dans le mal.» Yay.

La tentation avait été grande, donc je ne m'étais pas plus éternisé sur ça et j'étais reparti sur Paris. Ça avait été une nuit de sommeil foiré pour que dalle, parce qu'il ne s'était rien passé de bien. En route, j'avais pensé à Zaher et j'avais ressenti le besoin d'être auprès de lui, donc j'avais dosé sur la route et j'étais aussitôt rentré chez moi.

Lorsque j'étais rentré, j'étais passé dans ma chambre et sur mon lit, j'avais vu Lylia et Junayd allongés à côté de Zaher. J'avais été déçu, parce que j'avais ressenti ce fort besoin de finir la nuit avec lui, mais les choses ne s'étaient pas passées comme je l'avais voulu. J'avais laissé, parce qu'au moins, elle avait été présente pour mes enfants.

Mon retour avait été fort en odeur, parce que sur ces quelques heures, le sale s'était collé à moi et ça avait donné un mélange assez fort dû aux fumées qui nous avaient entourés, donc je m'étais rafraichi et finalement, je m'étais posé au salon. J'avais fini la nuit seul, mais au moins je n'étais pas revenu en sale état de shoot, alhamdulillah.

Puis vous connaissez la suite des choses. Au sbah, je m'étais préparé et Zaher aussi, puis je l'avais mis à la crèche avant de me rendre au travail. Je m'étais donné à fond sur le travail et le soir, j'étais allé à la crèche récupérer Zaher et j'étais rentré. Je m'étais occupé de mon petit, puis je l'avais laissé à Lylia et je m'étais chargé de moi, eh.

Une fois que tout avait été fait, j'étais allé avec Zaher, afin qu'il tombe raide et j'avais laissé Lylia faire de même avec Junayd, puis une fois qu'ils étaient partis loin, j'avais demandé à Lylia de me rejoindre, parce que j'avais eu besoin de certaines explications par rapport à ce qu'Ines avait pu me dire dans la nuit. Ça n'était pas passé, zeh.

- Moi : En ce moment, je suis sur les nerfs, mais l'appel que j'ai eu avec Ines cette nuit m'a mis d'autant plus sous pression.

- Lylia : Tu n'as rien à dire sur ça, parce que ce sont des échanges que j'ai eu avec Ines, donc ça ne te regarde pas.

- Moi : Ça me regarde à partir du moment où tu parles avec elle, mais surtout à partir du moment où ça parle de moi. Tu te permets de dire des choses complètement absurdes, mais pas seulement en plus.

- Lylia : Avec Ines, je me sens comprise, parce qu'on a vécu à peu près les mêmes choses, donc tu ne peux pas te permettre de réagir de cette façon-là.

- Moi : Tu prends Ines pour ton psychologue, mais elle a autre chose à faire que de perdre son temps avec tes conneries. Tu lui plombes constamment le moral avec des choses qui ne reflète absolument pas ce que l'on vit alors qu'elle n'a pas besoin de ça putain.

- Lylia : Je t'ai dit que c'était la seule à qui je pouvais me confier, puisqu'on partage à peu près la même vie avec toi, donc pourquoi tu t'emportes ?

- Moi : Tu ne te confies pas, tu craches et ce sont deux choses très différentes. Tu ne sais faire que ça de salir mon image auprès d'elle, parce que tu as une certaine jalousie envers-elle, mais aussi envers notre fils Zaher.

- Lylia : Je ne porte aucune jalousie. Je n'apprécie juste pas la manière dont tu te comportes avec Junayd alors que c'est ton fils autant que Zaher. Tu n'as aucune gêne à me faire comprendre que Zaher est celui qui passe avant tout le monde et ça me fait mal pour Junayd.

- Moi : Tu zappes la jalousie que tu as envers Ines, mais peu importe.

- Lylia : Ça, c'est toi qui le penses. Je ne ressens aucune jalousie.

- Moi : Peu importe, je n'en ai rien à faire. En tout cas, sur ce qu'il en est de Zaher et ma façon d'être et de faire avec lui, ça n'est que le reflet de ce que je ressens au fond de moi et d'ailleurs, c'est la même chose pour Junayd.

- Lylia : En quoi c'est la même chose avec Junayd ? Il ne se passe absolument rien entre vous, parce que tu refuses toute approche avec lui. Tu l'évites comme si, qu'il n'était personne pour toi.

- Moi : Vous ne savez pas ce que je ressens par rapport à Junayd, parce que je ne suis pas du genre à me confier en face to face, mais si vous saviez les choses, vous arrêteriez de me prendre la tête avec tout ça et vous laisseriez les choses se faire tout doucement et comme je l'entends.

- Lylia : Tu te cherches toujours des excuses lorsqu'il s'agit de Junayd, parce que tu ne le considères même pas un petit peu, mais tu ne veux même pas l'admettre.

- Moi : Je te rappelle que j'ai perdu un enfant et même si je n'ai pas eu la réaction que certaines auraient voulues, ça m'a énormément marqué et plus les mois passent plus ça me bloque. Je vois Zaher grandir et je me dis que j'aurai dû voir double. Je suis encore bloqué sur ça et c'est pour cette raison que ma relation avec Zaher s'est renforcée et que j'ai un sale blocage avec Junayd, donc comprenez-le ça et arrêtez d'être brusques dans vos façons de faire. J'ai besoin de temps.

Mes derniers mots l'avaient laissée sans voix, mais à vrai dire ça avait été tant mieux. Ça m'avait mis un coup au moral et mes nerfs avaient atteint une limite très chaude, donc j'avais préféré mettre un terme à nos échanges avant que les choses partent trop loin, parce que je n'avais pas eu envie de ça pour elle, Ines, les petits et moi.

Je m'étais fait avoir, parce que j'avais voulu inversé les choses en la forçant à rester chez moi, afin de la mettre à bout, mais finalement tout m'étais revenu en pleine face, puisque pour moi, sa présence avait été de trop et je n'avais pas réussi à faire semblant avec elle. J'avais eu énormément de regret de l'avoir fait venir, Fackin shit..

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