Cause à effet

By Emirdzae

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En tant qu'homme, lorsqu'on est jeune et irréfléchi, mais surtout sans repère masculin, ça arrive que l'on pr... More

● Pourquoi
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By Emirdzae

Suite à cette tentative de rapprochement, j'avais été tapé par diverses pensées, autant négatives que positives. J'avais repensé à toutes ces choses que j'avais vécues avec Nouredy, depuis qu'il était venu à ma rencontre, à l'hôpital. En y pensant, ça ne faisait pas si longtemps que ça, mais depuis, qu'est-ce que ça avait été intense, putain.

J'avouerai que sur l'instant, j'avais été envahi par plusieurs sentiments, mais celui qui avait été le plus fort, ça avait été celui de la haine. Je n'avais toujours pas digéré les sales gestes qu'il avait eus envers-moi. Plus j'y avais pensé et plus la pression en moi, était montée. Très sincèrement, il n'avait plus rien eu du frère bienveillant, da shit.

En soit, ça n'avait pas vraiment été les gestes qui m'avaient mis dans cet état-là, du moins, ça n'avait pas été que ça. Ce qui m'avait réellement dérangé, ça avait été le fait, qu'il s'était permis de me faire ça devant tous les frères, parce que j'en reviens encore une fois à la fierté, mais ce jour-là, elle avait été littéralement froissée, yayy.

Durant les pauses, lorsque tous les autres vont se remplir le bide, je m'installe dans ma gova avec un peu de son et j'attends que l'heure passe. Ce jour-là, je n'avais pas changé mes habitudes et donc, je m'étais installé, puis une fois la pause terminée, j'étais revenu devant le bâtiment principal, là où tous les collègues s'étaient posés.

Lorsque je m'étais rapproché de l'entrée, Nouredy avait posé son regard sur moi, et il ne m'avait pas lâché une seule fois, mais je n'avais rien laissé transparaître et j'étais retourné aux vestiaires. J'avais un peu pressé le pas, parce que je n'avais pas eu envie d'être avec tous les autres, puisqu'ils avaient bien remarqué le fackin malaise.

J'y étais allé et j'avais posé mes affaires, puis j'étais aussitôt ressorti, parce que ça avait commencé à se remplir. J'avais poussé la porte, mais en sortant, j'avais aperçu Nouredy sur le côté. Ça m'avait mis sous tension, parce que j'avais compris son intention. Il était resté à l'extérieur, afin de m'avoir sur la sortie, mais ça n'était pas passé.

Lorsque, j'avais avancé, il m'avait suivi, puis il m'avait dit quelque chose du genre «Je ne comprends pas ce qui te pousse à être en confrontation constante avec les gens qui te veulent du bien.» Suite à ses mots, ma tension était aussitôt remontée, parce que je n'avais pas apprécié. Tout de lui, m'avait horripilé, mais d'une puissance.

Ce qu'il avait dit, ça n'avait fait qu'un tour dans ma tête. Selon lui, la sale ambiance avait été causée par moi, alors que ça avait été ses sales réactions excessives qui avaient été à l'origine de tout ça. En fait, j'avais été surpris de la mauvaise foi dont il avait fait preuve, parce que ça ne lui ressemblait pas du tout. Je n'avais pas tout suivi.

Je reconnais que je suis un homme vraiment incompréhensible et de ce fait, très difficile à vivre, mais il y a une chose parmi tant d'autres que je n'accepte pas, ce sont les personnes qui remettent toutes les fautes possibles et inimaginables sur moi, parce que ça reste une facilité réaliste, de par l'homme un peu dérangé que j'ai pu être.

Suite à ses mots et pour ne pas changer, j'avais été envahi par la colère, parce que je n'avais pas aimé cette facilité qu'il avait eue à me dire ça, en plus des sales réactions excessives qu'il avait eue, peu de temps avant, donc je l'avais salement attrapé et jeté contre le sol. J'avais été à la limite de lui mettre des coups, mais finalement non.

Lorsque, je m'étais retrouvé au-dessus de lui, prêt à y mettre les coups, j'avais eu un léger déclic, par rapport à tout ce que l'on avait déjà vécu et toutes ces bonnes intentions qu'il avait eu à mon égard depuis le début, donc je m'étais rapidement repris, afin que ça ne dérape pas, malgré toute la haine que j'avais pu avoir envers-lui.

J'étais resté au-dessus de lui, sans rien faire, mais toujours en le tenant fermement, pendant que lui, avait attendu de voir ce que j'allais bien pouvoir lui faire, après toutes ces choses qu'il avait fait pour moi, mais très rapidement, certains collègues étaient arrivés et m'avaient éloigné de Nouredy, mais d'une force à couper le souffle.

Ils s'étaient mis à brayer des choses et ça m'avait clairement mis sous pression, donc je m'étais aussitôt retiré et j'étais retourné sur ma section. Je ne m'étais pas préoccupé d'eux tous et encore moins de Nouredy, parce que tout ça m'avait vraiment rendu haineux et je n'avais pas eu envie que ça prenne des proportions énormes, deh.

La reprise de l'après-midi avait été longue et lourde, puisque je n'avais pas été dans une bonne vibe. J'étais resté seul sur ma section, jusqu'à que je dépointe et une fois la journée terminée, j'étais allé au centre récupérer Zaher. Je m'étais occupé de lui et je l'avais mis au lit, puis je m'étais occupé de moi et je m'étais enfin installé lège.

J'avais passé toute ma soirée à répondre à mes différents messages, notamment ceux d'Ines et Lylia, même si, l'ambiance était très différente d'une à l'autre. Les relations que je pouvais entretenir avec les deux, elles étaient complètement opposées, malgré quelques petites choses qui étaient tout de même assez similaires, yay.

J'avais prolongé tous ces échanges durant toute la nuit en esquivant tous les messages et appels que Nouredy avait pu me passer. Je n'avais absolument pas faibli face à tous ses mots et j'étais resté très indifférent, malgré qu'il les ait choisis de fonction à me secouer, mais ça n'était pas passé. J'avais été vide de bon sentiment, really.

Finalement, je m'étais un peu reposé et au sbah, j'avais déposé Zaher, puis j'étais parti au travail. Ça avait été différent de la veille, puisqu'en allant aux vestiaires, j'étais aussitôt tombé sur mon patron, et d'un air très tendu, il m'avait dit quelque chose du genre «Avant de te rendre à ta section, tu me rejoins dans le bureau.» Hell.

J'étais allé me changer, puis je l'avais rejoint dans son bureau. Lorsque, j'étais rentré, j'avais aussitôt senti cette tension qu'il y avait eue. Je m'étais posé face à lui, puis il n'avait pas perdu plus de temps que ça et il avait déballé tous plein de choses qu'il avait déjà imaginé me balancer en pleine face. Ça avait été une fackin avalanche.

J'avais trouvé tous ces échanges assez strange, parce que ça avait été partagé entre du reproche et de l'éloge. Je n'avais pas tout suivi, mais surtout venant de lui, parce que sur cette période, la relation qu'on avait, elle était vraiment différente de celle qu'on peut avoir à ce jour. Avant, il était seulement mon patron et moi, le nouveau.

Ces échanges avaient commencé par du reproche, dans le genre «Depuis, ton manque d'implication et tous tes sauts d'humeur qui frôlent la violence me laisse perplexe. Je me demande si tu es vraiment à la hauteur pour poursuivre et faire avancer ma boite. Je ne tiens pas à ce que tu me fasses perdre de l'argent. Je te renvoie s'il le faut.»

Puis sous mon silence, il avait aussitôt repris la parole avec des mots et un ton bien plus différent que les premiers, du genre «Tu es quelqu'un de vraiment déterminé et qui ne s'arrête pas seulement à du bla-bla. J'aime ce que tu dégages et c'est pour ça que tu es là avec nous, mais depuis quelque temps, tu déçois. Emir, reprends-toi.»

Je n'avais pas rétorqué et finalement, il m'avait libéré. J'étais allé sur ma section du matin, ça avait été un déplacement, mais ce jour-là, ça ne m'avait pas déplu, puisque ça m'avait permis d'être loin de la galère, mais surtout de Nouredy. À cette période, nous étions souvent sur les mêmes sections, mais l'entente n'avait pas été là, oh.

Une fois l'intervention terminée, nous étions rentrés. Ça avait été l'heure de la pause, donc j'étais allé aux vestiaires, puis j'étais parti me mettre au calme, mais encore une fois, Nouredy avait tenté de se rapprocher. Il m'avait rejoint et il avait fait le chemin avec moi, mais je l'avais laissé faire et je n'avais rien dit, malgré ce fort malaise.

J'avais avancé en direction de ma gova, puis une fois devant, je l'avais ouverte et je m'étais posé. Lui, il s'était mis devant la portière côté passager et il avait attendu que je lui ouvre. J'avais eu une petite hésitation, mais finalement, je lui avais ouvert. Lorsqu'il s'était installé à mes côtés, j'étais resté très indifférent. Ça avait été le vide.

Après quelques minutes, il n'avait toujours pas pris la parole, donc j'avouerai que ma nervosité, elle s'était mise à jouer avec moi. Je n'avais pas compris ses intentions, donc j'avais ouvert mes portières, afin de lui faire comprendre gentiment qu'il fallait qu'il parte, mais il était resté là, donc finalement, j'avais pris la parole semi-lège.

- Moi : Je n'ai pas envie de te voir, donc si tu es monté pour ne rien dire, autant que tu descendes.

- Nouredy : Je réfléchis sur la façon dont je vais pouvoir débuter cette discussion, parce que n'ai pas envie que tu t'emportes aux premiers échanges.

- Moi : J'ai la haine contre toi, parce que tu te comportes comme un enfoiré, puis après, tu te plains de ma façon d'être.

- Nouredy : Je ne sais plus quoi faire, parce que j'ai l'impression que peu importe ce que je ferais, ça ne mènera à rien de bon. Il n'y a aucune volonté de ta part, donc qu'est-ce que tu veux que je fasse maintenant ?

- Moi : C'est très déplacé ce que tu dis, sachant tout le chemin que j'ai parcouru depuis. Moi, j'ai l'impression que tu ne te rends pas compte de tous les efforts que j'ai déjà fait.

- Nouredy : Bien sûr que je m'en rends compte, mais j'aimerais que tout ça se poursuive.

- Moi : J'ai l'impression que tu cherches à ce que je devienne parfait, mais redescend Nouredy, parce que c'est faisable pour personne ça.

- Nouredy : Emir, ne dit pas ça. Je suis fier des efforts que tu as fait, mais j'aimerais que tu les pousses un petit peu plus loin, parce qu'il y a des choses sur lesquelles tu as encore du mal.

- Moi : Avec toi, c'est toujours tout et tout de suite, mais c'est impossible ça et surtout avec moi.

- Nouredy : Je te booste seulement, parce que tu es du genre à t'endormir sur des choses déjà acquises.

- Moi : C'est toi qui es endormi depuis le début, sinon tu n'aurais pas ce discours. Comment tu peux dire ça après tout le chemin que j'ai fait ? Actuellement, les seuls manquements que je peux avoir et ils sont rares, ce sont ceux liés à la drogue, mais ça reste évident, puisque ça a été la chose la plus présente et enivrante dans ma vie.

- Nouredy : Il faut que tu sois constamment en occupation, sinon tes pensées seront toujours en ébullition et ça t'enfoncera toujours plus dans le sombre et la consommation.

- Moi : Tu me dis ça, comme si, que je ne travaillais pas assez dessus. En fait, tu es constamment en train de me rappeler les sales choses dans lesquelles il m'arrive encore de sombrer au lieu de m'encourager à poursuivre mes efforts. Clairement, tu l'ouvres pour dire de la merde.

- Nouredy : Emir, je te parle seulement, sinon ça sert à quoi que je sois là. On ne s'y prend peut-être pas de la meilleure des manières, mais on est là pour toi et tout ce que l'on fait, c'est pour ton bien.

- Moi : Comment tu peux dire ça, après le comportement que tu as eu envers-moi, il y a quelques semaines. 

- Nouredy : Tout comme toi, ça m'arrive de perdre pied dans tout ce bordel et très sincèrement, si je t'ai froissé à un moment, je m'en excuse.

- Moi : Sérieusement, en poursuivant avec moi, tu savais très bien à quoi t'attendre, puisque les premiers temps, tu m'avais dit que peu importe ce qui pourrait se passer, tu resterais présent. J'encaisse suffisamment, donc ne force pas les choses.

- Nouredy : Emir, je t'assure que ça n'est pas voulu. Je suis tellement perdu dans tout ça et je t'avouerai que ça m'a énormément changé toutes ces choses, mais à un point dont tu n'as même pas idée.

- Moi : Je ne t'ai pas mis le couteau sous la gorge pour que tu restes à mes côtés, c'est toi qui as décidé de poursuivre avec moi, malgré les difficultés qu'on allait être susceptible de rencontrer, donc tu ne peux t'en prendre qu'à toi-même.

- Nouredy : Je n'ai jamais dit le contraire, seulement, il faut que tu me comprennes aussi. C'est aussi lourd pour toi que pour moi. 

- Moi : Je vois que tu satures et tout autant que moi, donc si tu veux partir, je ne te retiendrai pas.

- Nouredy : Je ne partirai jamais, parce que tu n'es pas seulement Emir, ce gars éprouvé et complètement perdu à qui j'ai proposé mon aide, non, tu restes un frère avant tout. Tu as cette particularité que je ne saurai expliquer, mais qui me pousse toujours plus vers toi.

- Moi : Tu le sais très bien ce que je pense de tout ça.

- Nouredy : Mais moi, je te le dis. En si peu de temps, tu as pris une très grande place dans ma vie, et même bien plus que certains frérots qui sont à mes côtés depuis plusieurs années. Tu es mystérieux et ça rejoint le fait que tu sois incompréhensible et intéressant, parce que ça nous donne toujours plus l'envie de savoir ce qu'il y a au fond de toi. Il y a tout ce dont tu m'as fait part, mais il n'y a pas que ça, parce que je sais que tu as vécu d'autres choses.

- Moi : Ce sont deux choses complètement différentes. Lorsque l'on se voit dans l'optique de partager un moment entre frères, ça se passe très bien, mais une fois que ça touche à mon histoire et tout ce bordel, ça ne va plus, donc je pense que ce serait plus judicieux que l'on mette une distance entre nous.

- Nouredy : Sur notre relation de frère ou bien sur l'aide que je t'apporte, puisque tu as dit que ce sont deux choses différentes ?

- Moi : Ce sont deux choses différentes, mais toute cette aide que tu m'apportes, j'ai l'impression que tu le prends trop à cœur et ça n'est pas bon. Si ça continue, notre relation ne tiendra pas. J'ai besoin de prendre du recul sur tout ça, mais je reviendrais vers toi et avec des bonnes nouvelles in shâ Allah.

- Nouredy : Je ne veux pas que tu finisses par avoir du dégoût et que tu décides de mettre un terme à tout ça, donc je respecte ton choix, mais sache que je n'ai jamais voulu être étouffant ou quoi que ce soit. J'ai simplement voulu être là pour toi, mais tu as raison, à force, j'ai sûrement pris ça trop à cœur.

Ce jour-là, je lui avais fait part de mes nombreuses pensées sur ce qu'il en avait été de tout ça. J'avais estimé qu'il avait été temps, au vu de notre relation qui était en train de prendre des coups. Je l'avais senti touché, mais ça avait été pour la bonne cause, parce qu'il avait vraiment fallu que je lui en fasse part, sinon ça allait se dégrader.

J'avais décidé de prendre mes distances avec lui, mais également avec tous les frères, parce que j'en avais vraiment ressenti le besoin, mais aussi parce qu'au fond de moi, je n'avais pas eu envie que les choses s'arrêtent par la mauvaise entente dues à ça, parce que j'avais une réelle attache avec lui, même si, je ne montrais jamais rien.

Comme tous, je ressens des choses pour tout, mais très rare sont les fois où j'exprime mes ressentis. Disons que les mauvaises choses, elles se ressentent sur ma façon d'être sans avoir à l'exprimer, puis les bonnes et y compris les sentiments, je n'en fais pas spécialement part, voire même pas du tout. Il est évident que c'est gênant, eh.

Peu importe, nos échanges s'étaient arrêtés et il était reparti. Je n'avais eu absolument aucun regret, parce que je n'avais pas eu l'impression de lui avoir fait du mal directement et puis, je n'avais pas mis un terme définitif à notre relation de frère à frère. Même si, ça l'avait brusqué, ça avait été pour du bon. On allait pouvoir souffler un peu.

J'étais retourné sur ma section, puis après le travail, j'étais rentré avec Zaher. Depuis le départ d'Ines, ça avait été la même routine. Je déposais Zaher au centre, j'allais au travail, puis je rentrais avec mon petit, afin de m'en occuper. Ça avait été très différent des fois où je m'étais retrouvé avec Ines, parce que, j'avais tout eu à faire là.

Depuis que je m'étais retrouvé seul avec mon petit, je n'avais pas été dans une bonne vibe. Ines avait laissé un réel vide et ça avait vraiment pesé sur mon moral, en plus du fait que Lylia m'avait vraiment froissé le nerf. Elle avait été très collante et désagréable, mais aussi son passe-temps avait été de me reprocher tout plein de choses.

Elle s'était mise à me parler de Junayd et d'une possible garde-partagée alors que c'était un nouveau-né qui avait encore eu des besoins que seule une femme qui a été enceinte et plus particulièrement la mère aurait pu lui apporter. Elle m'avait énormément pris la tête avec ça et beaucoup plus depuis qu'Ines était partie au Qatar.

Après le départ d'Ines, c'est là que Lylia avait commencé à faire du forcing par rapport à ça. J'avais eu ma petite idée sur la chose, mais je ne m'étais pas trop avancé dessus, parce que malgré les allusions lèges qu'elle avait faite sur ça, elle ne me l'avait jamais réellement dit en face. J'en avais simplement fait ma propre conclusion.

Il y avait eu énormément de jalousie de la part de Lylia, parce que les rapports que j'entretenais avec Ines, ils étaient vraiment piquants et dans tous les sens du terme, en plus du fait qu'elle vivait sous le même toit que moi. Ça l'avait énormément affecté tout ça, parce qu'elle s'était sentie mise à l'écart, du coup, elle s'en était pris à moi.

On avait déjà eu pas mal de discussion à ce sujet, mais ça n'avait jamais vraiment été plus loin que ça, puis quelque temps après, elle était passée chez moi, afin que l'on partage du temps ensemble, et de là, on s'était mis à parler, mais petit à petit, les choses avaient commencée à m'échapper et ça s'était mis à déraper, mais lège, oh..

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