Cause à effet

By Emirdzae

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En tant qu'homme, lorsqu'on est jeune et irréfléchi, mais surtout sans repère masculin, ça arrive que l'on pr... More

● Pourquoi
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By Emirdzae

J'étais monté jusqu'à mon palier, et je m'étais assis sur les escaliers durant un bon moment, à cogiter sur pas mal de choses. J'avais fortement espéré qu'elles soient parties en Algérie ou aux Émirats, pour le mois de ramadhan, parce que je n'avais pas été prêt à les voir, et à être confronté à ces choses-là, même si, je voulais que ça change, sure.

Si j'en étais venu à bouger autant et à accepter la plupart des choses que Nouredy, me disait, c'était avant tout pour mes enfants, voire même, uniquement pour eux. Sur ce qu'il en était de ma famille, si j'avais accepté tout ça, ça avait été pour Zaher et Junayd, même si, j'avais été énormément froissé de la troisième naissance, forcément.

Le temps passait vraiment vite. Je m'étais rendu compte que rien n'avait bougé depuis ces dernières années, par rapport à ma famille. Zaher et Junayd, étaient en train de grandir seuls, dans le sens où, ils avaient que Lylia, Ines et moi, à leurs côtés, alors que j'ai une grande famille, qui est dispersée dans pas mal de pays. Il fallait que ça bouge.

J'étais resté très longtemps, assis sur les escaliers, à attendre que le temps passe, en cogitant sur ça. Sur tout ce temps-là, je m'étais répété à de nombreuses reprises «Allez ! Vas-y maintenant» Mais je ne m'étais pas levé une seule fois. À chaque fois, je pensais que c'était la bonne, mais vraiment pas. Il y avait toujours eu un fackin blocage.

La chose qui avait fini par me pousser, ça avait été Najib, parce qu'il était rentré dans le bloc. Sur le coup, c'était soit, je repartais à la gova, soit, je toquais, et forcément, je n'étais pas venu pour rien, donc sans réfléchir plus que ça, j'avais toqué. Suite à ça, s'était monté d'un coup en moi, parce que, je n'avais pas été prêt, tout simplement.

J'avais été comme un con, à attendre devant la porte, surtout que je ne savais pas ce que j'allais bien pouvoir dire à celles qui allaient ouvrir la porte. J'avais espéré que personne ne l'ouvre, mais malgré tout, à choisir entre les deux, j'avais espéré que ce soit Nina, parce que j'allais être moins tendu, sur le moment. Ça avait été vraiment long.

J'avais pensé à repartir, mais lorsque j'avais entendu du bruit derrière la porte, j'étais devenu raide. Je m'étais mis sur le côté, et j'avais attendu que l'une d'elles ouvrent la porte. Une fois qu'elle avait été ouverte, j'étais revenu devant, et là, j'avais aperçu la mama. La situation avait été très gênante. Ça m'avait crispé le gelb, d'une force.

J'avais posé mon regard sur elle, et une fois, qu'elle avait fait de même, elle avait refermé la porte. Je n'aurai même pas les mots, pour exprimer ce que j'avais véritablement ressenti sur l'instant, mais ça n'était clairement pas passé. Ça avait été un coup dur, et sur le coup, j'avais pensé à mon Monsieur, si ça avait été lui, j'aurai mout sur place.

J'étais resté quelques secondes devant la porte, tellement qu'elle m'avait brusqué, puis j'avais essayé de prendre sur moi. Sur l'instant, qui avait suivi, la porte s'était ouverte à nouveau et c'était Nina, qui était sortie. Ce qui venait de se passer, m'avait énormément froissé, donc je n'avais eu qu'une envie, ça avait été de repartir, mais vraiment.

- Moi : Pourquoi elle a refermé ?
- Nina : Elle ne s'y est pas attendue.
- Moi : Je prends sur moi, je froisse ma fierté pour venir jusqu'à vous, et vous réagissez comme ça ?
- Nina : Pourquoi vous ? J'ai toujours cherché à te voir et tes enfants par la même occasion, donc c'est un peu déplacé ce que tu dis, sachant tous les vents que tu m'as mis depuis.
- Moi : Je veux juste savoir si je dérange là, comme ça, je ne perdrai pas de temps.
- Nina : Pourquoi tu dis ça ?
- Moi : Je suis venu pour parler, donc si je dérange, dis-le moi maintenant, comme ça, je repars.
- Nina : Tu es venu pour parler avec yemma ou moi ?
- Moi : Avec yemma. Qu'est-ce tu veux qu'on se dise nous ?
- Nina : Je ne sais pas, parce qu'il y a quelques mois, on était quand même censé se voir, afin de parler de certaines choses.
- Moi : Je n'ai plus envie, ça va être un coup à ce que je m'emporte. Le fait, que je sois venu pour parler avec yemma, c'est déjà énorme.
- Nina : J'en étais sûr de toute façon. Bon, tu veux quoi là, du coup ?
- Moi : Je suis venu pour parler, donc va lui demander si c'est possible.

Elle était retournée à l'intérieur, en fermant derrière elle. Je n'avais vraiment pas compris pourquoi elles refermaient derrière elles, à croire que j'allais débarquer en furie pour les mettre à mal. J'avais été très tendu, parce qu'en vrai, je ne savais absolument pas ce que j'allais pouvoir lui dire. J'en avais plein la tête, mais jamais rien ne sortait.

J'avais attendu qu'elle revienne, afin de savoir si une discussion entre la mama et moi, était possible. Ça m'avait paru extrêmement long, et en attendant, j'avais réfléchi à ce que j'allais bien pouvoir dire. J'avais eu tellement de choses en tête, mais je savais qu'une fois devant elle, il allait y avoir très peu de chose qui allaient sortir, voire walou.

Une fois qu'elle était revenue, elle était ressortie en fermant la porte, encore une fois, et elle m'avait fait comprendre que la mama, acceptait cet échange, mais qu'elle était très émotive, parce qu'elle ne s'y était pas attendu, donc qu'il ne fallait pas que je m'emporte ou que je dise des choses blessantes, en plus du fait, que ça les avaient changé.

Depuis, que la mama et mon Monsieur, avaient appris que j'avais fauté et que j'étais devenu père de deux enfants, puis trois par la suite, ça les avaient assez marqué, et ça avait été un vrai coup dur pour eux, parce qu'ils n'auraient jamais imaginés ça, surtout mon Monsieur, qui était loin de tout ça, et qui n'avait eu aucune idée de ce que je foutais.

Mon Monsieur, avait poursuivi sa vie aux Émirats, en se retirant le plus possible de tout ça, même si, ça lui arrivait d'en reparler, surtout quand ils se voyaient. La mama, ça avait été assez différent, elle en parlait tous les jours, et ça l'avait énormément affaibli. Je n'aurai jamais pensé que ça les auraient touchés à ce point, et ça m'avait brusqué.

J'étais rentré et j'étais allé dans le salon, mais je n'avais pas su où me mettre. Elle était loin l'époque où je me posais tranquillement avec des frérots, pour jouer à la console, ça n'avait absolument plus rien à voir, et je ne m'étais clairement pas senti à ma place. J'étais allé m'asseoir sur le sedari, mais très clairement, j'avais été assez tendu.

J'avais lancé un regard à Nina, afin qu'elle se pose avec nous, comme ça, elle allait pouvoir prendre la parole au cas où, il allait y avoir des blancs entre la mama et moi. J'avais tellement eu la tension, que sur le moment, je n'avais pas su quoi dire pour engager la discussion, donc j'avais préféré parler des photos des petits, que j'avais envoyées.

- Moi : Tu as vu les photos que j'ai envoyées à Nina ?
- La mama : Je n'ai pas voulu les voir.
- Moi : Ça te ferait quoi si je te les fais voir ?
- La mama : Je n'ai pas envie que tu me montres ça. Demande-toi plutôt, quels sont nos ressentis et notre état d'esprit depuis qu'on a su tout ça.
- Moi : J'imagine très bien, donc ça ne sert à rien de réagir comme ça. Vous savez comment je suis, et là, c'est un très gros effort que j'ai fait, donc j'aimerais que ça aille plus loin que des reproches.
- La mama : Il faut laisser le temps, c'est tout.
- Moi : Ce n'est pas en faisant rien que ça va s'arranger. Je suis conscient de tout ce que j'ai pu faire, et notamment de la masse de personne que j'ai déçue, donc ça ne sert à rien de revenir dessus.
- La mama : C'est vraiment difficile, il faut nous comprendre.
- Moi : Ça l'est pour moi aussi. Depuis, je suis en tension constamment et ça m'a amené à faire des choses pas très nettes pour tenter de me calmer. Je peux comprendre vos réactions, mais je n'arrive pas à les accepter, surtout quand je pense à mon fils Zian, qui est décédé, et même après l'avoir su, vous êtes resté indifférents et je n'ai eu aucun retour de votre part, en plus du fait, que j'ai reçu pas mal de messages haineux de certains de la famille, mais j'ai préféré le garder pour moi, parce que je me suis senti humilié et rabaisser. J'ai foiré et vous en avez été touché, j'en suis totalement conscient, mais actuellement, je suis autant éprouvé que vous.
- La mama : On n'avait pas repris contact avec toi, mais ça ne nous avait pas empêché d'y aller. On était tous les trois allés en Algérie afin de voir où est-ce qui l'a été enterré, et par la même occasion, on avait remis des cailloux propres sur celle de Maamar.
- Moi : Nina, m'avait demandé où il avait été enterré, et j'avais demandé pourquoi elle demandait ça, elle m'avait dit qu'elle me tiendrait au courant, et elle ne m'a jamais rien dit.
- La mama : On parle énormément ensemble, et contrairement à nous, elle a toujours essayé de se rapprocher de toi, et tu as toujours eu des réactions très sèches, donc c'est compréhensible.
- Moi : Je suis comme ça et ça ne changera pas. Depuis quelque temps, j'ai du mal à avancer, parce que je me rends compte que mes enfants grandissent seuls et ça me fait quelque chose. Ils n'ont rien demandé msaken, mais j'ai l'impression qu'ils sont autant jugé que moi.
- La mama : Comme tu l'as dit, ils n'ont rien demandé, donc évidemment, on a absolument rien contre eux, c'est simplement qu'on n'accepte pas cette situation.
- Moi : Et vous l'accepterez quand cette situation ? Ils font partie de la famille, que vous le vouliez ou non. Même si c'est hram, je leur ai donné le nom de Ba, ils portent notre nom.
- La mama : Ne me pose même pas cette question.
- Moi : Je vais repartir, parce que ça me rend nerveux et je n'ai pas envie d'être insultant.

J'étais ressorti, parce que la situation m'avait fait monter en pression. Ça avait été très différent de la dernière fois, lorsque j'étais revenu chercher des papiers. Ce jour-là, elle n'avait fait que de chercher mon regard, et elle avait été à la limite de craquer, et là, ça avait été l'opposé, elle avait été distante, et elle n'avait fait que de fuir mon regard.

Ces échanges m'avaient vraiment déplu, parce que j'avais toujours eu cette très forte impression, que mes enfants étaient jugés, alors qu'encore une fois, ils n'y étaient absolument pour rien. Ils n'ont pas demandé à naître et surtout, ils n'ont pas demandé à être conçus dans ces sales conditions, donc ça me foutait vraiment en haine tout ça.

En sortant, Nina m'avait suivie, mais après ça, ça avait été fini, je n'avais plus eu envie de parler. Ça m'avait vraiment rendu très nerveux, parce qu'à chaque fois que j'essayais de faire des efforts, peu importe la chose, j'étais toujours autant blâmé. Quand je ne faisais rien, on me le reprochait, mais quand je faisais heja, on me le reprochait aussi.

Je ne l'avais pas calculé et j'étais retourné à la gova, mais elle m'avait suivi jusque là-bas. J'avais été très tendu, mais j'avais vraiment essayé de prendre sur moi, parce que Nouredy était installé juste à côté, en train de discuter. Je m'étais posé dans ma gova, et Nina avait demandé à monter elle aussi, parce qu'elle avait voulu me dire heja.

Je n'avais eu qu'une envie, c'était qu'elle reparte, mais malgré tout, j'avais quand même voulu savoir ce qu'elle voulait me dire. J'avais espéré qu'elle ne dise pas une dinguerie, parce que j'avais été à la limite de vriller. Je suis le fautif, et très clairement, je l'ai cherché tout ça, mais j'en étais également touché, voire plus. Je traînais la galère.

- Nina : Il faut que tu comprennes que c'est compliqué pour elle, mais également pour Ba. Tu ne peux même pas t'imaginer l'impact que ça a eu sur eux tout ça. Je suis bien plus avec yemma, puisqu'elle est à mes côtés, et donc on parle énormément ensemble, et crois-moi, elle ne parle que de toi.
- Moi : C'est censé me faire quoi ? Je suis venu pour échanger avec elle, et c'est à peine si elle m'a regardé. Ce sont des choses qui finissent par me bloquer et qui m'éloignent toujours plus. J'ai fait un effort là, il n'a pas été reçu comme je le voulais, et bien, c'était le premier, mais aussi le dernier.
- Nina : Ils sont perdus dans tout ça, mais surtout yemma. C'est énorme ce que tu as fait, donc tu ne peux pas t'étonner de leurs comportements.
- Moi : Ça c'est énorme pour vous ? Crois-moi, ce n'est rien à côté de certaines autres choses bien plus haar que j'ai pu faire avec des gars du 78, du 95 et les seuls cousins qu'on a ici, mais on a jamais rien dit à personnes, parce que si vous saviez, votre petit gelb il s'arrêterait now, donc arrêtez de toujours rabâcher les mêmes choses.
- Nina : Ça ne m'étonne vraiment pas de toi, vu les choses dont je suis au courant. Carrément, tu as réussi à engrener les cousins.
- Moi : Je n'ai rien engrené. Je suis là pour la famille, et ils m'appelaient souvent pour de l'aide, donc forcément, j'y allais.
- Nina : Les quelques hommes de la famille qui sont en France, ils ont tous fait du sale en fait ? C'est bien, c'est beau.
- Moi : Je n'ai pas de blabla à recevoir de toi, et eux non plus. Ce sont des choses qui se sont passées il y a un moment, donc ça ne sert à rien de parler. Je te faisais juste comprendre, que mes enfants, ne sont pas la chose la plus haar que j'ai pu faire, vraiment pas.
- Nina : Ce n'est rien pour toi, parce que tu vis comme ça depuis des années, et ça t'est devenu tout à fait banal, mais nous, non. Oui, les parents sont choqués que leur fils s'est amusé avec des femmes et qu'il en a mis enceinte deux d'entre elles, autant que je suis choqué que mon frère soit devenu père de famille, surtout dans ces conditions-là. J'ai accepté la situation, mais évidemment, je suis autant brusquée qu'eux. Tu ne peux pas nous en vouloir pour ça.
- Moi : Getlek tu vis comme ça depuis des années, à croire que j'ai encore le même mode de vie. Vous faites mal au crâne à toujours cracher sur mon dos, je ne préfère même pas imaginer tout le sale que vous avez dû dire sur moi, depuis que je suis parti.
- Nina : Tu crois vraiment qu'on cracherait sur toi ? Tu es leur fils et tu es mon frère, donc jamais on crachera sur toi, peu importe ce qu'il s'est passé. Ils parlent seulement de ce qu'ils ressentent et comment ils voient les choses depuis. Ce n'est pas parce qu'il y en a certains de la famille, qui se sont permis de te dire des sales choses, que c'est notre cas aussi.
- Moi : Ouais, je ne sais pas.
- Nina : On parle énormément ensemble yemma et moi, il n'y a pas une seule fois où elle ne pense pas à toi. La plupart de ses mots te sont destinés, et crois-moi, aucun de ces mots sont mauvais. Elle est perdue dans tout ça, forcément, et elle le montre et le fait savoir beaucoup plus que Ba, parce que tu connais comment il est, il garde tout pour lui.
- Moi : Quand je me suis installé au salon, je me suis senti comme un étranger face à elle, comme si, que j'étais du n'importe quoi.
- Nina : Je t'ai dit, elle est perdue, ça ira sûrement mieux avec le temps. Elle pense à toi, à chaque moment, et tout ça l'attriste énormément. Il y a des jours où, elle me dit, qu'elle aimerait que tu sois à ses côtés, parce que tu lui manques, et il y en a d'autres où, elle me dit, que tu lui as fait beaucoup trop de mal et qu'elle ne sait pas si elle arrivera à passer au-dessus de tout ça un jour.
- Moi : J'espère qu'il m'arrivera quelque chose entre-temps, comme ça, ils auront des remords jusqu'à mout.
- Nina : Arrête de dire ça. In shâ Allah, petit à petit, les choses rentreront dans l'ordre.

J'avais coupé court à la discussion et elle était remontée. Ces échanges n'avaient rien donné de bon, et je le savais qu'il n'allait y avoir aucun changement, mais j'étais quand même allé la voir, afin que Nouredy se rende compte par lui-même, que ça ne servait absolument à rien de faire tout ça. Ils ne voulaient pas, donc il ne fallait pas forcer.

J'avais klaxonné pour qu'il revienne, et dès qu'il était arrivé, il pensait trop que c'était positif, vu tout le temps que j'avais mis là-haut à attendre, et dans la gova avec Nina, mais absolument pas. Les échanges n'étaient pas montés en tension, mais il n'y avait absolument rien eu de plus qu'avant, donc en clair, ça n'avait servi à rien du tout.

Il s'était posé avec moi, et il avait essayé de savoir comment ça s'était passé, mais je l'avais aussitôt stoppé, parce que ça m'avait plombé le moral et je n'avais pas eu envie de parler. On avait repris la route pour aller chez le frère, mais moi, je n'avais attendu qu'une chose, ça avait été d'être seul. Ça m'avait vraiment mis le nerf à vif tout ça..

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