Cause à effet

By Emirdzae

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En tant qu'homme, lorsqu'on est jeune et irréfléchi, mais surtout sans repère masculin, ça arrive que l'on pr... More

● Pourquoi
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By Emirdzae

Je n'avais pas eu envie qu'on perde de temps, aussitôt après la discussion que l'on avait eue, on s'était mis à chercher, et par la même occasion, j'avais commencé à faire des recherches pour moi, parce que le but était qu'on aille tous les trois notre toit. On avait basé nos recherches dans les secteurs qui nous convenaient le mieux.

Pour ma part, ça avait été Paris, parce que je ne me voyais pas, et je ne me verrai jamais vivre dans les banlieues alentours, impossible, et pour Ines, ça avait été Livry. Elle m'avait fait part de son envie de rester là-bas, et ça m'avait dérangé quand elle m'avait dit ça, parce qu'au fond de moi, j'avais quand même voulu qu'elle bouge de Livry.

Elle, qui n'avait cherché qu'à s'éloigner de ces bourbiers, ça allait être assez compliqué d'y parvenir, en restant sur Livry. Là, où elle allait se réinstaller, dans ce secteur, ça allait être impossible pour elle, de se faire discrète, même si elle faisait tout pour l'être. C'était toujours les mêmes têtes qu'on voyait, ça allait être pareil pour elle.

J'avais essayé de lui faire comprendre mon point de vue, et elle l'avait très bien compris, mais ça ne l'avait pas fait changer d'avis pour autant. Elle m'avait clairement fait comprendre, qu'elle souhaitait rester à Livry, sinon elle ne bougerait pas du Sévigné, donc je n'avais pas forcé les choses, et je l'avais laissé faire comme elle l'avait souhaité.

Je ne suis absolument pas du genre, à imposer des choses, non, vraiment pas. Je suis plus partisan de l'échange, à communiquer avec la personne, afin d'échanger nos points de vues, pour qu'après, on trouve des solutions, ensemble. Ines, avait voulu rester dans ce secteur, très bien, mais dans ce cas-là, on allait devoir faire plus attention.

Sincèrement, ça m'avait assez dérangé, parce que lorsque je lui en avais parlé, dans mon idée, ça avait été, pour qu'elle parte de ce secteur, mais j'avais tout de même respecté son choix. Le plus important, finalement, ça avait été, qu'elle parte du Sévigné, parce que c'est ce qui avait été le plus haar, le fait qu'ils savaient l'endroit exact.

À chaque fois, je prenais toujours plus conscience, que c'était entièrement de ma faute, s'il y avait des sales choses qui continuaient à me taper dessus, et à toucher mes enfants et les mères. Ça me foutait, et ça me fout toujours autant sous pression, lorsque je pense à tout ça, où qu'il se passe encore des fackin bourbiers, me concernant.

Dans ces moments-là, ça m'arrivait et ça m'arrive encore souvent de penser à mes frérots, et plus particulièrement Zyam et Houssam. Ça leur était déjà arrivé d'être mêlés à des bourbiers, mais ils avaient toujours fait en sorte de s'en éloigner le plus possible, même si, à la cité, ça reste assez compliqué de pouvoir échapper à ces choses.

La rue est vicieuse, et les gens qui y logent, encore plus, mais eux, ils avaient cherché à s'en éloigner, et plus particulièrement du milieu de la drogue, donc ils avaient été assez tranquilles à ce niveau-là. Personne n'avait cherché à les pister, jusqu'à les menacer de leur faire du sale, et quand j'y pense, je me dis. «La première fois, j'aurai dû tailler».

Je suis un homme, de nature, très tendu, et il y avait des soirs, où ça m'arrivait, et même encore à ce jour, de vouloir être seul, dans un calme plat, sans que personne ne vienne m'importuner, et forcément, dans ces moments-là, je cogite énormément, et à cette période, j'avais pensé à toutes ces années de dingues que j'avais passées.

J'en ai fait des choses, et plus particulièrement des sales choses, mais à cette période, je n'avais pensé qu'au fait, qu'il y avait pas mal de choses qui avaient changées depuis tout ce temps. J'avais repensé à tout ce que j'avais pu vivre, et puis, je m'étais vu sur l'instant présent, et je m'étais dit «Damn, j'en ai fait du chemin depuis».

Le temps passait à une allure de fou, et nous, on s'efforçait toujours à avancer tranquillement, en gardant la tête haute, même s'il y avait souvent eu des descentes à ne plus pouvoir se contrôler, mais les changements flagrants, nous avaient donnés un peu plus de force pour avancer, mais surtout, pour garder la tête haute.

Que ce soit les drogues, les trafics, les bourbiers ou les femmes, je m'étais éloigné des quatre choses qui m'avaient collé à la peau depuis quasiment, mes quinze ans. Le quotidien, plus ou moins tranquille, que j'avais commencé à avoir à cette période, ça avait été l'opposé, du sale quotidien que j'avais pu avoir depuis toutes ces années.

J'en avais eu aucune idée, de comment ça allait évoluer tout ça, si ces changements allaient rester en place, et même s'améliorer avec le temps, ou alors faire un total retour en arrière, mais je ne m'en étais pas préoccupé à cette période. Comme Nouredy, avait pu me dire, à l'époque «N'essaye pas de voir plus loin, concentre-toi sur le présent».

Les femmes, ça avait été du plaisir personnel, et je l'assume totalement. Je suis quelqu'un de beaucoup trop faible sur ce qu'il en est de ça, et je partais souvent en vrille, jusqu'à consommer l'acte, et j'en étais très mal après. Je m'en voulais énormément, et je me demandais à chaque acte, pourquoi j'étais aussi faible que ça. Ça me rendait dingue.

Mais une fois que je m'étais éloigné des femmes, en les évitant le plus possible, jusqu'à en détourner mon regard, wah, j'avais eu l'impression d'être plus léger. Je n'avais plus à culpabiliser, et à avoir des remords, pour un regard ou un geste de trop que j'aurai eu envers elles, ou inversement, jusqu'à faiblir, et cette sensation était juste folle.

Pour les trafics, ça avait été la même chose, du plaisir personnel. Ce que j'avais aimé, ça avait été le milieu en lui-même et les sensations très fortes que ça m'avait procuré, bien plus que l'argent, clairement. Tout comme les femmes, ça avait eu un goût de revenez-y, parce que c'est bien connu, l'interdit, ça attire toujours plus. C'est un fait.

Mais une fois que je m'étais éloigné de ce milieu, ça ne m'avait pas fait grand-chose, finalement. Parce qu'au fond de moi, dans ce milieu, je recherchais l'adrénaline, le choc, et la confrontation, ça avait clairement été voulu, donc après avoir arrêté, je n'avais rien ressenti de spécial, mais ça ne m'avait pas gêné pour autant d'avoir arrêté.

Et donc, pour ce qu'il en est des bourbiers, ça rejoint un peu ce que je viens de dire, finalement. Je m'étais éloigné de ce sale milieu d'hypocrite, profiteur et j'en passe, donc les bourbiers avaient diminués, indéniablement, parce que je n'étais plus à la rue, toutes les nuits, à être mêlé à des choses, qui me concernaient ou non.

Comme j'ai pu dire, après avoir arrêté, je n'avais pas ressenti grand-chose, mais c'est vrai que ça m'avait fait du bien quand même, de voir que je n'étais plus lié à des sales choses. Certes, j'avais encore des bourbiers qui me collaient à la peau, mais au moins, il n'y avait plus rien qui allait se rajouter par-dessus tout ce qu'il y avait déjà.

Puis après, sur ce qu'il en avait été de la consommation, ça avait été différent, ça. Le fait d'avoir arrêté, ça n'avait pu que me faire du bien, forcément, et je l'avais ressenti de toute façon, mais c'est vrai, que le manque s'était énormément fait ressentir aussi, mais ça avait été normal, parce qu'après le sevrage, viens le manque, et ça avait été dur.

J'avais été dans une phase de dépendance physique, à savoir que, mon corps s'était habitué à vivre avec ça quotidiennement, mais aussi une dépendance psychique, à savoir que, dans ma tête, je ne pensais plus qu'à ça, et limite, je m'étais mis à vivre que pour ça. Suite à l'arrêt, je m'étais confié à des personnes, et ils m'en avaient fait part.

Après mon dernier sevrage, que j'avais effectué seul, j'avais essayé de travailler à fond sur mon mental, pour ne pas retomber dedans, du moins, pas aussi vite. Un sevrage, c'est déconseiller de le faire seul, parce qu'il y a un très gros état de manque, qui vient juste après, mais je n'avais pas voulu d'aide de spécialistes, ce n'était pas pour moi.

Je n'avais pas eu envie de me prendre la tête, avec des gens qui allaient sûrement me contredire. Je peux être quelqu'un de très zen, et être en dahka de fou, mais je peux aussi bien être l'inverse, en une fraction de seconde, et à une puissance phénoménale, donc je n'avais pas voulu être suivi, pour ne pas avoir à péter les plombs devant eux.

Les jours passaient et la routine se poursuivait. On allait au travail, pour ramasser de l'argent, autrement que salement, le soir, on se posait ensemble avec le petit, de temps en temps, j'allais prendre des nouvelles de Lylia, et la nuit, quand j'avais le temps, je passais voir Nouredy et les autres, pour prier et partager du temps avec eux.

Intérieurement, on était toujours aussi mal, et ça avait été une chose inchangée, avec le temps, et on avait eu conscience, qu'il n'y aurait pas de changement, mais ça ne nous avait pas empêché d'avancer, même si, le gelb était touché, parce que malgré tout, ça allait toujours mieux qu'auparavant, et nous n'étions pas à plaindre.

Anyway, quelque temps après, Zyam avait repris contact avec moi, parce que ça faisait un moment qu'on ne s'était pas recontacté, et il m'avait proposé de passer chez lui, le lendemain, et qu'il y aurait Houssam, également. J'avais aussitôt accepté, parce que les deux, et plus particulièrement Houssam, ça faisait longtemps que je ne les avais pas revus.

Le lendemain, j'avais emmené Zaher, à la crèche, et j'avais débuté ma journée de boulot tranquillement. Mes habitudes et également, mes marques, s'étaient posées, et petit à petit, ils avaient commencé à me faire confiance sur les tâches à réaliser. Plus les jours passaient et plus ça allait de mieux en mieux. Il n'y avait rien à dire.

Je n'aurai jamais pensé ça, au départ, et même, je n'aurai jamais pensé trouver un quelconque travail, de par mes problèmes avec la justice, déjà pour commencer, et aussi parce que j'avais arrêté les études assez tôt, c'est pour cette raison, que j'ai remercié Nouredy, je ne sais combien de fois, et que je continue à le remercier, encore à ce jour.

Après ma journée de travail, j'avais aussitôt pris la route pour rejoindre Zyam et Houssam, chez lui. Il m'avait passé une adresse, et il m'avait dit de les rejoindre là-bas, donc sur le moment, j'avais supposé qu'il avait trouvé un toit, pour lui et sa future. C'était plus le Zyam, que j'avais connu à l'époque, il avait énormément changé, et en bien.

Une fois que j'étais arrivé, et que j'étais rentré à l'intérieur, ils m'avaient tous les deux attrapé et ils m'avaient serré jusqu'à plus d'air. Ça faisait tellement longtemps qu'on n'avait pas pris le temps de se voir tous les trois, ça avait été dingue. Le fait de nous être éloigné, et même embrouillé, ça n'avait rien cassé, malgré ce qu'on avait pu croire.

- Moi : wAllah, je n'ai aucun mot qui arrive à sortir. On se connaît depuis tout petit, mais malgré ça, je suis vraiment gêné actuellement.
- Houssam : Je le suis encore plus, en tout cas vis-à-vis de toi, parce que ça fait très longtemps qu'on ne s'est pas vu, contrairement à Zyam, où on ne s'est pas lâché.
- Moi : Je vous ai énormément amnése, en vous laissant sans réponse depuis, mais ce n'est vraiment pas voulu, et je m'en veux énormément.
- Houssam : On te comprend frérot. Tu sais, ce n'est plus comme à l'époque, quand on était un peu plus jeune, et que la seule chose qu'on avait à faire, c'était de galérer en bas des blocs. Zyam, il avance tranquillement dans sa petite vie, dans quelques jours, il va se marier in shâ Allah, toi, tu es parti un peu en freestyle, mais à présent, tu as une vie de famille, et un foyer à t'occuper, et pour ma part, même si je n'ai pas d'enfant, de femme, ou de future, actuellement, j'ai tout de même des projets en cours, et un travail qui demande du temps, donc on te comprend tout à fait.
- Moi : Ouais je sais bien, mais même en étant occupé, vous prenez le temps de m'envoyer des choses, et moi, je les lis, mais je n'y réponds pas, et en plus, à vrai dire, je ne sais même pas pourquoi je réagis comme ça. La moindre des choses, ce serait que je prenne de vos nouvelles, au moins, à chaque message que vous m'envoyer, mais je réagis comme un hmar à chaque fois, à vous laisser sans réponse.
- Zyam : Ne te prend vraiment pas la tête avec ça khey. Même si, au fond de toi, tu ne nous réponds pas, parce que tu n'en as pas envie, ou tout simplement parce que tu ne veux pas nous parler, ce n'est pas grave. On sait ce que tu traverses depuis quelques années, et on n'oublie pas le fait, qu'il y a des choses très marquantes qui vous ont tapé dessus à toi et Ines, donc on sait que moralement, tu es très atteint, du coup, on ne t'en veut même pas.
- Houssam : C'est clair ! On se connaît depuis tellement d'années maintenant, donc on sait comment tu fonctionnes. Tu restes en retrait, et toujours plus dans ces genres de moments, qui sont difficiles, tu as besoin de prendre du recul par rapport à tout ça, donc on ne te dira jamais rien à ce sujet, même si, on ressent un manque de toi, forcément.
- Moi : Quand je serai bien posé, prochainement in shâ Allah, ça va changer, mais vraiment. Je prendrai plus de temps pour moi, et pour prendre de vos nouvelles, mais surtout, pour venir vous voir, parce que je ne voudrais pas avoir de regrets, si jamais, il se passe quelque chose.
- Houssam : C'est sûr que c'est une chose à ne pas oublier. Il y a juste à repenser à nos frérots partis, et se dire, qu'on pourrait être les prochains, donc malgré tout, il ne faut pas se perdre de vue, mais fait ce que tu as à faire, pose tout comme il faut, et quand tu estimeras que tout est bien posé, tu reviendras nous voir in shâ Allah.
- Zyam : Sur ce qu'il en est des changements, on en avait déjà parlé il y a quelques semaines, avant que tu partes. On s'était dit qu'on se reverrait pour en reparler, à savoir où tu en es actuellement.
- Moi : Ça vaut pour vous aussi, j'aimerais bien savoir où vous en êtes. Vos projets m'intéressent et je voudrais savoir si tout va bien pour vous. Il n'y a pas que moi.

Zyam, il m'avait fait part de ses projets, dont j'étais déjà, plus ou moins au courant pour certains d'entre eux. Que ce soit dans ses projets professionnels, mais aussi relationnels, il y avait tout qui allait très bien alhamdulillah, et forcément, ça m'avait rendu farhan, de savoir que tout roulait bien pour lui, mais surtout, que lui, il allait bien.

Par la même occasion, ce jour-là, il m'avait annoncé que la date de son mariage avait été validée. J'avais été un peu brusqué, sur le moment, même si j'avais déjà été mis au courant depuis quelque temps, qu'il était fiancé, et qu'il allait prochainement se marier. Cette fois-ci, ça avait été bouclé, et ça n'avait été qu'une question de jour.

À l'époque, je n'aurai jamais pensé ça de lui. On avait souvent tapé sur ce genre de sujet, et on avait toujours été catégorique sur ça, le mariage n'était absolument pas dans nos projets, ni même nos envies, et du coup, pourquoi je n'aurai pas pensé ça de lui ? Parce qu'on en parlait assez souvent, et que peu de temps après il m'avait annoncé l'inverse.

C'est pour cette raison, que j'en avais été légèrement brusqué, mais très rapidement, ça avait fini par passer. Après qu'il m'ait annoncé ça, j'avais pu constater qu'il était vraiment très farhan, et c'était la seule chose que j'avais voulu, que je veux, et que je voudrai toujours pour lui. Le voir sourire, et être heureux dans sa vie, ça compte pour moi.

Pour Houssam, pareil, il m'avait fait part de ses projets. Bon, Zyam et Houssam, c'était et c'est tout comme Hûsin et Nourredin Allahi rahmo, mes sah, peu importe où se trouvent chacun d'eux à ce jour. Sur ce qu'il avait été des projets de Houssam, je n'en savais absolument rien, parce qu'on ne s'était pas revu depuis un bon moment.

C'était les seuls qui me restaient auprès de moi, mais il est vrai que, sur les dernières années, j'avais passé un peu plus de temps avec Zyam, que Houssam, donc forcément, j'en savais un peu plus sur Zyam, et inversement, que mon autre kheyou. Actuellement, on ne saurait même pas expliquer, pourquoi on s'est éloigné à ce point, nous deux.

Du coup, il m'avait fait part de ses projets et il m'avait rassuré, en me disant que tout roulait bien dans sa vie, et qu'il allait très bien également. Il avait délaissé toutes les choses, qui avaient été inutiles et qui le ralentissaient dans sa vie, d'après lui, en y incluant les gars qui voulaient le voir échoué, et les femmes qui le déconcentraient beaucoup.

Tout comme, pour Zyam, ça m'avait fait plaisir, de voir que ça avançait bien dans sa vie, surtout professionnelle, et qu'il était très confiant dans ses projets, mais aussi très épanoui et heureux, même sans compagnie, parce qu'en sah, on n'a pas besoin de ça pour avancer dans la vie, bien au contraire, après chacun voit ça comme il veut.

Ils avaient tous les deux parlé des changements qu'il y avait eus dans leur quotidien, et donc pour finir, ils avaient voulu savoir où j'en étais. Comme ils avaient pu me dire, à plusieurs reprises «Toi, c'est différent, ça a été compliqué durant tout le long, entre la drogue, les enfants et les trafics. On aimerait savoir où tout ça en est, actuellement»..

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