Cause à effet

By Emirdzae

259K 117K 3.2K

En tant qu'homme, lorsqu'on est jeune et irréfléchi, mais surtout sans repère masculin, ça arrive que l'on pr... More

● Pourquoi
● Présentation
● 001
● 002
● 003
● 004
● 005
● 006
● 007
● 008
● 009
● 010
● 011
● 012
● 013
● 014
● 015
● 016
● 017
● 018
● 019
● 020
● 021
● 022
● 023
● 024
● 025
● 026
● 027
● 028
● 029
● 030
● 031
● 032
● 033
● 034
● 035
● 036
● 037
● 038
● 039
● 040
● 041
● 042
● 043
● 044
● 045
● 046
● 047
● 048
● 049
● 050
● 051
● 052
● 053
● 054
● 056
● 057
● 058
● 059
● 060
● 061
● 062
● 063
● 064
● 065
● 066
● 067
● 068
● 069
● 070
● 071
● 072
● 073
● 074
● 075
● 076
● 077
● 078
● 079
● 080
● 081
● 082
● 083
● 084
● 085
● 086
● 087
● 088
● 089
● 090
● 091
● 092
● 093
● 094
● 095
● 096
● 097
● 098
● 099
● 100
● 101
● 102
● 103
● 104
● 105
● 106
● 107
● 108
● 109
● 110
● 111
● 112
● 113
● 114
● 115
● 116
● 117
● 118
● 119
● 120
● 121
● 122
● 123
● 124
● 125
● 126
● 127
● 128
● 129
● 130
● 131
● 132
● 133
● 134
● 135
● 136
● 137
● 138
● 139
● 140
● 141

● 055

1.4K 815 14
By Emirdzae

Le lendemain comme d'habitude on était posé au squatte, ça allait faire des ventes sur place et ailleurs. Moi j'étais parti me posé chez moi, grosse song à fond.

J'avais profité que les femmes de la casa soient pas là pour faire le ménage. Le ménage de ma chambre évidemment. J'avais tellement de choses qu'il fallait que je cache, jette et j'en passe. Il y avait pas eu meilleur moment que là pour le faire, il y avait eu personne pour me dire heja sur ci ou sur ça.

J'avais tout sortie de la chambre, absolument tout et j'avais tout lavé à l'intérieur. Il fallait que je retire cette odeur forte de weed et autres qui avaient ga3 imprégner les murs et le sol. J'avais tout lavé à fond et j'avais tout remis au fur et à mesure. Lit, armoire, commode et mes affaires.

Pour ce qui en était de la marchandise parce que j'en avais énormément et ça j'avais oublier, j'avais même ressorti des choses dont j'ignorais que je possédais encore. J'avais mis dans des sacs et j'allais les rassembler avec le reste au squatte.

Les couteaux et tout ce qui était arme je les avais ranger dans le trou qu'il y avait au sol sous le tapis et tout le reste j'avais jeté.

Les lettres qu'on m'avait faites, les papiers que j'avais accumulé pour rien, les numéros, tout. Je m'étais débarrassé de tout, c'est la mama que ça allait soulager là.

Une fois fini j'étais allé à la cuisine, j'avais ouvert la fenêtre et j'avais posé sur le plan de travail tout ce dont je voulais me débarrassé. Il y avait plein de papiers c'était fou. J'avais fait un petit tas et au fur et à mesure je brûlais les papiers, je m'étais de l'eau et ainsi de suite. C'était des papiers qui fallait faire disparaître. Fallait pas que quelqu'un tombe dessus.

Suite à ça j'étais descendu avec les sacs de marchandise et j'étais allé au squatte pour tout rassembler. J'avais tout mis ensemble et parmi tout ce qu'il y avait je m'étais fais un gros sac pour ma consommation personnelle.

J'étais resté au squatte avec les khey et par la suite il y en avaient de la cité qui avaient voulu rentré, ils avaient forcé à fond et ça nous avait chauffé. Ça voulait pas se calmer donc finalement ça en était venu aux coups, un grand groupe qui s'était formé devant le squatte, les gens essayaient de passé par derrière, ils se tapaient dessus. Ça s'arrachait sévère entre nous.

Une fois que ça s'était à peu près calmé, tout le monde étaient repartis et nous on avait repris ce qu'on faisait. J'étais repartis chez moi caché ma consommation et j'avais passé ma fin d'après-midi à la cité, posé dehors avec les khey et Lylia.

Par la suite j'avais reçu un appel de Samia et sincèrement ça m'avait brusqué. Sur le moment je pouvais pas être sûr que c'était elle étant donné qu'elle était pour la plupart de son temps avec Ines. Belek ça allait être Ines au bout du fil, je l'espérais en tout cas parce que j'avais aucune envie de lui parler à Samia.

- Moi : Ouais ?
- Samia : Ça va ?
- Moi : Bien hein.
- Samia : T'es où là ?
- Moi : À la cité.
- Samia : Ça te dit qu'on se voit ?
- Moi : Pour quoi faire ?
- Samia : Ça fait un moment que j'y pense et j'aimerai qu'on parle.
- Moi : Bah vas-y passe à la cité.

J'étais pas plus étonné que ça finalement, je m'y attendais un peu en fait, ça se voyait depuis un moment qu'elle cherchait mon regard pour me faire comprendre qu'elle voulait qu'on se voit et qu'on aille une discussion mais je faisais juste l'aveugle face à elle parce que je voulais pas.

Je me doutais qu'elle voulait qu'on se parle mais encore une fois je ne savais pas ce qu'elle allait bien pouvoir me dire. Est-ce qu'elle allait me faire des reproches par rapport à mon comportement envers Ines et les petits ? Est-ce qu'elle allait parler que de Ines ? Est-ce qu'elle allait parler de elle, de moi ou de nous ? Sincèrement j'attendais juste le moment.

Une fois qu'elle était arrivée j'avais mis le reste de côté, j'y avais mis du mien, j'avais essayé de pas tiré la gueule et j'y étais allé posément. On s'étais mis dans la gova de Nourredin et j'avais attendu, c'était tendu enfin plutôt froid on va dire. Je parlais pas, je la regardais juste et j'avoue que j'avais assez forcé sur mon regard ce jour là.

Tout les gestes qu'elle faisait je suivais du regard, ses mains, sa tête, quand elle se tournait, quand elle me regardait. J'avais forcé à fond, je l'avais senti gênée même très gênée et elle avait pas osée parler.

En sah quand j'y repense je ne sais même pas pourquoi j'avais fais ça, je l'avais vraiment mise mal à l'aise mais ça n'avait pas été mon but, j'avais juste rien à dire moi, je la regardais simplement faire étant donné qu'elle ne parlait pas. Finalement elle avait fini par l'ouvrir.

- Samia : Je pense que tu te doutes de pourquoi j'ai voulu qu'on se revoit ?
- Moi : Tu veux que je te dise sincèrement ? Non je ne sais pas, je ne sais absolument pas de quoi tu veux me parler.
- Samia : Notre relation elle a changé et du jour au lendemain ça s'est fait, je t'avoue que je comprends pas. Je disais rien jusque là parce que tu étais assez sur les nerfs par rapport à la grossesse de Ines et tout le reste mais maintenant qu'ils sont nés et que la pression est un peu redescendu j'aimerai savoir pourquoi.
- Moi : Il y pas d'explication à donné, à un moment j'avais senti que tu étais beaucoup trop proche de moi, tu me disais des choses qu'en temps normal j'ai pas l'habitude d'entendre ou du moins que je n'accepte pas d'entendre et ça m'a squébru donc j'ai ressenti le besoin de m'éloigné.
- Samia : Je le savais que c'était pour ça parce que tu avais fuis juste après ce que je t'avais dis.
- Moi : Eh ouais ma belle, tu me connais un minimum maintenant. Tu le sais que tout ce qui touche au gelb j'aime pas. Le hob, l'amitié fusionnelle ou tout simplement le fait d'être très proche d'une personne j'accepte pas, j'aime pas ça et c'est clairement pas pour moi.
- Samia : Il suffisait de me le dire, ça m'aurait fait mal un temps mais au moins j'aurais compris et j'aurais pas perdu le lien que j'avais avec toi et que j'aimais beaucoup.
- Moi : Je sais pas Samia.
- Samia : Parce que là clairement ça m'a plus fait mal comme ça, de la façon dont t'as réagis que si tu me l'aurais dis avec des mots qui cognent comme tu aimes bien le faire à chaque fois.
- Moi : Je sais pas quoi dire
- Samia : Tu passes devant moi c'est comme si tu me connaissais pas, tu me dis même plus ne serait-ce qu'un salam, quand tu descends de chez moi le soir et que moi je rentre du boulot et qu'on se croise à l'accueil tu tournes le regard comme si tu m'avais pas vu..
- Moi : Je ne sais vraiment pas quoi te dire. Je pense qu'on a rien à faire ensemble, on est pas sur les mêmes délires.
- Samia : Ça me fait vraiment mal surtout que tu disais pas ça avant.
- Moi : Je pense plus la même chose c'est tout.
- Samia : Les naissances ça t'a fait changer.
- Moi : Vous me dites toujours la même chose et moi je reste toujours aussi indifférent.
- Samia : Bah c'est bien alors. En tout cas je te remercie d'être parti avant que j'arrive le jour de votre départ. Je voulais vous dire au revoir et voilà que j'apprends le décès de Nourredin. Même pas pu lui dire au revoir une dernière fois Allahi rahmo.
- Moi : T'es qu'une connasse Samia je te jure, tu m'as fais monté les nerfs là. Je suis déjà mal que mon khey il soit mort dans mes bras et en plus tu ouvres ta gueule. Barre ta sale gueule de là.

C'était la pire chose que j'avais eu à entendre sur le moment. Depuis le décès de Nourredin j'étais vraiment mal. Je ne le montrais que très peu, je n'en parlais quasiment pas voir jamais, je n'avais jamais fait couler les larmes à ce sujet mais j'étais vraiment mal intérieurement.

Plus les semaines passaient plus je pensais à lui c'était fou, il remplissait toutes mes pensées même plus que mes enfants et Ines. Je passais des nuits entière solo à me retourner le crâne en pensant à lui jusqu'à m'en rendre nerveux. Je faisais vriller mes nerfs clairement.

Nourredin faisait partie du petit groupe qu'on avait formé. C'était Nourredin, Hûsin, Zyam, Houssam et moi. On était soudé malgré quelques embrouilles et Nourredin faisait partie de ceux qui était logé tout près de mon gelb, il avait sa place et il l'aura jusqu'au dernier battement de celui-ci.

Quand Maamar nous avait quitté Allahi rahmo il m'avait laissé un gouffre énorme au gelb, tellement énorme que j'avais fini par ne plus ressentir grand-chose, je ressentais juste une très grosse douleur suite à sa perte, j'étais au plus bas d'autant plus que j'étais relativement jeune à l'époque de sa mort.

Ça ne s'était jamais refermé, je n'en parlais juste jamais parce que ça me faisait très mal de repenser que j'allais plus le revoir et surtout de la façon dont on lui avait retiré la vie. Ça n'avait jamais réellement guérit et la mort de mon acolyte qui s'était rajouter à ça n'avait fait qu'agrandir ce gouffre que Maamar m'avait laissé.

La mort de Nourredin m'avait vraiment affecté et m'affecte toujours énormément d'une part parce qu'il comptait, qu'il compte et qu'il comptera toujours pour moi mais j'étais aussi très affecté sur le faite que j'avais vécu ça de près. Je l'avais vu devant moi, je l'avais porté, je lui avais parlé, je l'avais rassuré sans me douter qu'il était déjà plus des nôtres.

C'était bien loin de mes pensées tout ça et jamais j'aurai pensé ça un jour, vivre ça, voir mon frérot de toujours perdre la vie devant moi. C'était dur et ça reste dur même six ans et quelques après.

Suite à ça, quand elle avait vu que j'étais en train de vraiment m'énervé et que mes gestes commençaient à être violent elle était sortie de la gova et elle était repartie. Elle m'avait vraiment laissé sur les nerfs, elle avait dit quelque chose qu'il ne fallait pas. Rien que pour ça c'était fini, même pas fallait qu'elle me regarde. Ça avait définitivement casser le peu qu'il restait.

Je m'étais empressé de prendre la route pour aller voir Ines étant donné que Samia avait tous les transports à se faire avant d'arrivé chez elle, je me disais que j'avais encore le temps de passé voir Ines sans croiser Samia. Une fois sur place j'avais profité un peu avec elle, je lui demandais si elle avait besoin de quoi que ce soit et j'étais rester avec elle histoire qu'elle ne soit pas seule.

Quelque temps après Samia était revenue du coup j'étais redescendu pour partir mais au moment où j'avais voulu quitté la résidence il y avait la femme de l'accueil qui m'avait appelé pour que je vienne dans son bureau.

- Gardienne : Je peux savoir ce que vous faite ici ?
- Moi : Je passe voir une connaissance.
- Gardienne : Je me permets de posé la question parce que mes collègues et moi-même nous surveillons les caméras et on vous voit à plusieurs reprises rentrer et sortir et être présent ici jusqu'à des quatre heures du matin par moment hors que vous n'avez pas le droit.
- Moi : Je savais pas, je pensais qu'on pouvait à condition de ne pas déranger les autres.
- Gardienne : Dans des résidences absolument pas, à minuit les visites sont plus autorisées et ça fait déjà plusieurs fois qu'on vous voit monté jusqu'au studio 662. On va devoir poser les avertissements.
- Moi : Faites-le, c'est votre boulot je peux rien y faire.

Je m'y attendais à ce qu'on m'interpelle pour ça, ça paraissait évident que je me fasse voir à un bout d'un moment où à un autre. Je venais ici quasiment tous les jours, j'y restais pas mal de temps, les caméras je jouais avec elles carrément, je passais devant dix fois d'affilé donc ça paraissait tout à fait normal.

Ce qui posait problème suite à ce qu'elle m'avait dit c'est que Ines allait être en galère donc il fallait qu'elle se presse pour les appartements. Là Samia allait avoir un avertissement et elle allait donc être surveillé par les gardiens de la résidence du coup ça allait être chaud pour Ines de rentrée et sortir sans se faire voir.

J'étais remonté les voir et très rapidement j'avais eu une idée qui m'étais passé en tête, ça allait être bon pour un certain temps étant donné qu'il fallait que je me fasse oublier de la résidence quelques temps. Elles ne s'attendaient pas à me revoir quand j'étais remonté.

- Moi : Je viens de me faire redresser par la gardienne.
- Samia : Merde, elle a dit quoi ?
- Moi : Tu vas être surveillée, tes visites vont être surveillées et tu vas avoir un avertissement.
- Samia : Pf fallait s'y attendre de toute façon. J'ai pas de regret, j'ai fait ça pour Ines. Si je me fais virée mahlich ça devait se passer.
- Moi : Ines tu vas venir avec moi.
- Ines : Où ça ?
- Moi : Chez moi.
- Ines : T'es malade toi, jamais.
- Moi : Il y a personne chez moi, elles sont toutes parties. Tu vas y restée jusqu'à qu'elles reviennent
- Ines : Je sens la merde arrivée.
- Moi : Il va rien avoir du tout. Laisse-moi passer un appel et je reviens.

J'étais parti dans le couloir et j'avais appelé un cousin du bled pour qu'il me passe le numéro de la mama. J'avais fini par l'appelé et lui demandé quand est-ce qu'elles revenaient et histoire que ça passe mieux je leur avais demandé si elles allaient bien, zahma je m'intéresse.

Elles allaient bien al hamdûlilah malgré tout et elles m'avaient dit qu'elles revenaient fin août, comme d'habitude finalement mais j'avais juste appelé pour être sûr. Là j'allais être relax et au moins Ines et Zaher seraient près de moi et sans tracas j'allais pouvoir les voir tous les jours.

- Moi : Elles reviennent fin août mais elles m'ont pas dit quand exactement mais il faut qu'on se fasse oublier de la résidence donc tu vas venir chez moi.
- Ines : Si quelqu'un de ta cité te voit avec moi et un bébé.
- Moi : J'en ai rien à foutre.
- Ines : Bah vas-y alors.

Elle n'avait pas été sereine mais moi je l'étais, ça allait être mieux et en attendant elle allait pouvoir chercher encore pour les appartements. J'allais pu être dans l'obligation de toujours devoir aller la voir à la résidence, ça me gavais ça. Là ils allaient être devant moi, si elle avait quelque chose j'avais juste à monter chez moi. C'était parfait.

Le jour même sans tracas, elle avait pris ses affaires et ceux des petits et on était allez à la cité elle était restée dans la gova avec le petit et moi j'étais monté déposer les sacs à la casa. J'étais redescendu et j'avais pris le petit dans mes bras et je l'avais caché sous sa couverture et j'étais monté avec lui et Ines elle avait refermé la gova et elle était monté seule pour pas que ça fasse trop.

Si je me faisais voir ne serait-ce qu'une seule fois ça allait se savoir directement. Tout le monde le savait très bien que moi et ma famille c'était pas l'amour fou, disons qu'à l'époque je n'étais pas très famille et surtout en France nous n'avons pas vraiment de famille, seulement chwiya à Marseille et Montpellier mais sans plus du coup ça allait se poser des questions si on me voyait avec un bébé et une femme.

Heureusement que j'avais lavé toute ma chambre et que je m'étais débarrassé de tout et surtout de la drogue parce que je les avais installé dans ma chambre. C'était beaucoup plus grand que chez Samia et là elle allait être à l'aise, elle allait être pour la plupart du temps qu'avec le petit ou avec moi donc ça allait

«Je vais passer en très rapide ce qu'il y avait eu ces derniers jours.»

Je continuais de vendre avec Krim et les autres gars. On s'entendait vraiment bien et les thunes arrivaient en masse, c'était fou. Ce qui était bien c'est qu'ils étaient très à l'écoute. Ils faisaient jamais heja sans nous demander. Une fois l'oseille entre leurs mains ils rangeaient et se servaient sous notre accord. Tout allait bien à ce niveau.

Avec les khey ça allait bien mais on était toujours très mal de la perte de Nourredin, ça faisait à peine trois mois et c'était difficile de remonter la pente. On s'entraidait comme on pouvait malgré les grosses tensions qu'il y avait par moment entre nous tous.

Il y avait eu pas mal d'embrouilles avec les quartiers voisins. C'était toujours en rapport avec les vengeances Bilal, Amin, Zinedine et Hasan. Il y avait eu des touchés des deux côtés mais al hamdûlilah nos états étaient pas préoccupants.

Je n'avais plus eu de contact avec la mama et Nina après le dernier appel que je leur avais passé et je n'attendais rien venant d'elles. Mais mon Grand Monsieur m'avait appelé à plusieurs reprises, ça m'avait assez brusqué sachant qu'on s'appelle toujours une à deux fois par mois pas plus.

Avec Ines ça allait bien, elle était toujours chez moi et c'était beaucoup mieux. Je les voyais tous les jours et dès qu'elle avait besoin de moi j'avais juste à monté. Malgré tout il y avait toujours ces tensions entre nous deux du fait de ma nervosité incontrôlable. Elle cherchait toujours un appartement et ça avait l'air de bien rouler pour elle.

Les deux petits allaient bien. Zaher grandissait bien mais je m'y attardais pas trop sur ça parce que j'étais encore froissé évidemment et Zian allait mieux, il était toujours à l'hôpital mais les médecins avaient dit que sa sortie allait pas tarder à arrivée. Il était toujours en mauvaise santé et toujours aussi petit mais son état c'était quand même améliorer.

J'avais fini par poser un œil sur eux, chose que je n'avais pas vraiment fait depuis leur naissance. Il y a rien d'autre à dire juste ma shâ Allah. Leurs yeux verts, leurs cheveux qui bouclaient légèrement, leur peau douce et tout waw. Je commençais à me rendre compte de ce que c'était et de ce qu'on avait conçu et c'était fou soubhan'Allah.

J'étais rester très discret sur ça d'autant plus depuis que Ines était chez moi, je me faisais encore plus petit parce que je voulais vraiment que ça se sache pas. Personne n'avait été mis au courant, le seul qui savait c'était Zyam et khlass.

Avec Lylia ça avançait pas mal, on s'était rapprocher sans aucune arrière-pensées. J'avais juste petit à petit retrouvé celle avec qui j'aimais passé du temps à l'époque. On s'était confier sur beaucoup de chose mais je n'avais jamais fait sortir ne serait-ce qu'un mot de ce qui nous liais Ines et moi malgré que j'avais confiance en elle..

Continue Reading

You'll Also Like

2.4M 199K 36
Dua, une fille turque ayant une vie banale, essaye de vivre dans le hlel en s'approchant du mieux qu'elle peut d'Allah. Mais comme chaque être, elle...
3.6M 140K 57
Lien de l'album de la chronique sur facebook : https://www.facebook.com/media/set/?set=a.352614821498393.84288.352610491498826&type=3 JE PRECISE QUE...
116K 10K 197
Issue d'une des familles les plus bourgeoise des Émirats Arabe 🌴 Nesrine-Nûr, une louve solitaire emirati blessé par un passé des plus sombre qu'ell...
1.7M 185K 50
C'est l'histoire d'une jeune fille assez naïve, qui a eu à faire beaucoup de choix regrettables. Je n'en dirais pas plus.... Follow me... ;)