Cause à effet

De Emirdzae

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En tant qu'homme, lorsqu'on est jeune et irréfléchi, mais surtout sans repère masculin, ça arrive que l'on pr... Mai multe

● Pourquoi
● Présentation
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De Emirdzae

Ça m'avait vraiment sembler long mais je pense que c'est la situation dans laquelle j'étais qui me faisait cet effet là, un effet que j'aimais pas du tout. J'étais toujours pas bien et sur les nerfs à fond.

Quand elle était revenue c'était un soulagement, sah j'avais jamais été aussi heureux de la revoir qu'à ce moment là. Elle était montée et elle m'avait expliqué.

- Ines : Ils m'ont tout donner pour le faire, je vais les appeler.
- Moi : Je vais te déposer chez Samia et je repartirai. Tu feras ça au calme.
- Ines : Tu repars aussitôt ?
- Moi : Oui.
- Ines : Em reste un peu avec moi non ?
- Moi : Bwah je sais pas, j'ai envie de rentré là.
- Ines : Fait comme tu veux !

Elle s'était braquée quand je lui avais dis que je voulais pas resté mais putain c'était chaud et même si on me payerait pour revivre ça j'accepterai pas tellement j'avais été froissé de tout ça.

On était retourner chez Samia, je l'avais aidé à monté avec le petit, j'étais resté posé avec elle quelques minutes et j'allais repartir.

- Ines : Ah ouais donc tu repars vraiment ?
- Moi : Oui pourquoi ?
- Ines : Je veux que tu restes un peu plus avec moi.
- Moi : Ines comprends moi que j'arrive pas, tu vas me faire lâché les nerfs là.
- Ines : Non Em c'est pas mon but mais j'ai besoin de ton soutien.
- Moi : Tu l'as mon soutien, ça y est je te lâche plus.
- Ines : Oui mais arrête de faire la gueule alors, ça me fait mal je te jure.
- Moi : Je fais pas la gueule.
- Ines : Alors pourquoi depuis que tu viens me voir tu tires une tête de défoncé ?
- Moi : Parce que je suis défoncé.
- Ines : Arrête tes conneries !
- Moi : Bon t'as fini, je peux y aller maintenant ?
- Ines : Non reste Em, arrête de fuir comme ça.
- Moi : J'ai besoin d'être solo là, Samia elle va pas tardé à venir in shâ Allah.
- Ines : Ok c'est bien.

J'étais reparti, j'aurai servi à rien de toute façon. J'étais retourné à la cité et j'avais rejoins mes khey en bas des blocs. Il y avait Krim que j'avais pas revu depuis le départ en Algérie parce qu'il avait pas pu venir à la mise sous terre de notre frérot Nourredin.

Je lui avais fait signe de venir parce que je voulais resté en solo avec lui, j'avais des choses à lui dire.

- Moi : Ça va ?
- Krim : On fait avec frère ! Le Em d'avant il manque, le Em fou dans sa tête. Je t'ai pas revu depuis mais wAllah que rien que là en trente secondes j'ai capté que tu étais pas le Em qu'on a l'habitude de côtoyer.
- Moi : Il reviendra sûrement.
- Krim : On fera tout pour qu'il revienne.
- Moi : Hassoul je voulais te parler avant le départ en Algérie.
- Krim : Ouais j'y pensais beaucoup à ça.
- Moi : Ça concerne les trafiques.
- Krim : Dit !
- Moi : Tu accepterais qu'on vende ensemble ?
- Krim : Pourquoi ? Où ? Comment ?
- Moi : Parce que je fais plus partie du groupe où j'étais et qu'il faut se faire des sous frérot.
- Krim : On se poserait où ?
- Moi : Le seul endroit où j'ai pensé c'est le squatte derrière. On retape tout à l'intérieur, on creuse un trou, on met de la moquette, des sedari, une TV comme si c'était un lieu de retrouvaille.
- Krim : Ah ouais je vois, c'est pas con ce que tu dis là. Pourquoi on y a jamais penser ?
- Moi : Je sais même pas, j'avais penser à ça avant de partir.
- Krim : Wah mais c'est trop bon cette idée. Viens on va dans le squatte voir.

Il était à fond. On était aller au squatte et il avait commençais à sortir tout ce qu'il y avait à l'intérieur. C'était un fou, je lui avais fait part de ce que je voulais faire et lui il avait voulu attaquer direct. Il été prêt à retapé le squatte.

Je l'avais aidé à tout sortir et on avait tout mis dans la cave de notre bloc et une fois qu'il était vide on y était retourner et on était en train de s'imaginer les emplacements.

«On mettera trois sedari, deux en largeur comme ça et le troisième en longueur du côté de l'entrée. Le trou on pourrait le creuser au fond où il y aura le sedari comme ça personne le verra. On recouvrira le sol de moquette comme ça le trou sera recouvert et seulement nous deux on pourra y aller. La TV on la posera et la table au milieu..»

Il m'avait donner des maux à la tête tellement il en disait trop, tout ce qu'il disait c'est ce que je comptais faire depuis le début avant même que je lui en parle.

- Moi : Bah vas-y creuse.
- Krim : Tu vas m'aidé.
- Moi : J'ai pas la force là.
- Krim : Réveille toi frère.
- Moi : On fera ça demain quand ils seront au boulot comme ça il y aura personne pour jacter.
- Krim : Vas-y on fait ça comme ça.

J'étais resté un peu avec lui et les autres et finalement j'étais remonté à la casa, j'avais plus aucun plaisir à être avec eux, je voulais constamment être solo même si ça me rendait plus mal parce que ça me faisait cogiter beaucoup plus.

Je m'étais posé dans ma chambre et je répondais à mes messages. À ceux de Ines, à quelques kheyou et je répondais aussi à Célia même si j'avais rien à lui dire.

- Célia : Mais sincèrement pourquoi tu avais mis autant de temps à répondre à mon message ? T'as vu j'ai quand même repris contact avec toi malgré que tu y croyais pas.
- Moi : Je cours après personne moi, je t'avais passé mon numéro tu m'as envoyé un message c'est bien tu m'aurais rien envoyé ça aurait été pareil.
- Célia : T'as quoi là ? Malgré qu'on se connaisse pas de fou j'arrive pas à te reconnaitre dans la façon dont tu me réponds.
- Moi : Je ne sais pas, dis moi il y a quoi qui a changer ?
- Célia : T'es plat, discussion sans intérêt, tu ris pas. Clairement j'ai l'impression de te faire chier.
- Moi : C'est qu'une impression.
- Célia : Sincèrement ?
- Moi : Sincèrement !
- Célia : Donc tu as dis que je te fais pas chier là ? Du coup si je te propose qu'on se voit tu acceptes ?
- Moi : J'accepte.
- Célia : Dis pas j'accepte pour faire plaisir hein !
- Moi : T'as cru je disais oui pour faire plaisir ? Jamais !
- Célia : Laisse ça sert à quoi qu'on se voit si tu es autant sur les nerfs ?
- Moi : Bah vas-y on se voit pas alors !
- Célia : C'est sérieux là comment t'es ?
- Moi : Bah vas-y on se voit alors ! C'est toi je sais pas à quoi tu joues là.
- Célia : Bon laisse, on se reparlera une prochaine fois.
- Moi : Non on va se voir, t'as voulu qu'on se voit donc on va se voir.
- Célia : Quand ça ?
- Moi : Maintenant, dis moi où t'es et je viens.
- Célia : Je suis chez moi mais on va se mettre ailleurs.
- Moi : Vas-y envoie ton adresse et je viens.

Sur le moment je n'arrivais pas à savoir si c'était moi qui était bizarre ou si c'était elle mais après quelques temps de réflexion j'en avais conclu qu'on avait été tout les deux bizarres ce jour là.

Moi j'étais sur les nerfs et prêt à casser des bouches toutes les trente secondes et elle c'était l'opposé de ce qu'elle m'avait montré d'elle quelques semaines avant. C'était une autre femme, littéralement.

Elle m'avait passée son adresse et je l'avais rejoins en bas de chez elle, elle était descendu et on s'était mis à une terrasse de café, genre le qtru que je fais jamais.

Quand j'y repense je ne sais même pas pourquoi je donnais toujours mon numéro pour que dalle, heureusement maintenant je le passe que pour le professionnel ou la famille.

Très rapidement j'avais compris qu'entre elle et moi c'était plat mais vraiment plat. Je crois que ça n'avait jamais été aussi plat avec une femme qu'elle. On avait tellement rien à se dire, tellement rien à faire ensemble.

Elle était gentille, mignonne, adorable et tout les adjectifs qualificatifs de ce genre mais qu'est-ce qu'elle était sans intérêt, c'était fou. Fallait mieux qu'elle retourne soigner ses patients parce c'était plus possible.

Mais malgré ça on avait poursuivi la soirée et d'ailleurs je ne savais même pas pourquoi je m'infliger ça alors qu'au fond de moi j'avais qu'une envie c'était de repartir.

On avait écouté du son dans la gova de Nourredin et on parlait ensemble mais toujours des qtru à s'endormir sur place et par la suite on était monté chez elle.

On avait regardé un film et les choses avaient fini par déraper, je m'en rappelerai toujours que juste après elle voulait que je reparte mais j'étais tellement naze, tellement fatigué que j'avais fini par n3ess chez elle.

Le lendemain j'étais reparti le plus tôt possible et j'avais fini ma nuit chez moi et je m'étais fait réveillé par Krim qui était venu toquer à ma porte pour qu'on s'occupe du squatte.

Je m'étais préparé et je l'avais rejoins au squatte. Directement il avait commencé à me dire tout pleins de choses. Il était déterminé et il voulait absolument creusé le trou.

- Moi : Je pense que c'est mieux qu'on aille au magasin acheter tout ce dont on aura besoin comme ça il y aura ça de fait déjà.
- Krim : Tu vas les prendre avec quoi ?
- Moi : Avec l'oseille qu'on a récupérer chez Abdel.
- Krim : Bien bien, on aura besoin de quoi ?
- Moi : On va prendre une moquette noir, de la peinture noir et des gros marteaux pour faire le trou au sol. Comme ça on fait le moins de bruit possible.
- Krim : Mais on commence lyoum ?
- Moi : Oui.

J'avais vraiment pas la tête à tout ça, j'avais qu'une envie c'était d'être solo et c'était dur mais malgré tout je le faisais parce que je me disais qu'au moins ça serait ça de fait et que je serais bien content quand je verrais que ce serait fini.

Le squatte je voulais le faire tout en noir c'est pour ça que je voulais tout prendre en noir. C'était vraiment stratégique quand j'avais pensé ça.

Dans ma tête ça avait été très rapide, je m'étais dis : des murs noirs, un sol noir, une lumière tamisée c'est sobre et ça attire pas l'œil du coup ça permettrait de caché pas mal de choses et les gens qui viendraient ne serait pas attirer par les choses qui serait à l'intérieur.

J'étais allé avec Krim au magasin, on avait pris les peitures, la moquette et on avait aussi pris toutes sortes de marteaux, du plus gros au plus petits. On allait faire le trou avec ça.

Une fois revenu au squatte on s'était enfermé et on avait commencé à tapé au sol dans le fond du squatte. Ça nous avait pris pas mal de temps, on était jamais satisfait de la profondeur du trou, on voulait toujours plus.

Ça nous avait pris toute la journée ça, j'avais pensé qu'en tapant tout les deux ça aurait été plus rapide et que ça nous aurait pris maximum une heure et demi mais en fin de compte pas du tout. J'étais dégoûté parce que j'aurais voulu qu'on finisse tout en une journée.

- Krim : On reprendra demain.
- Moi : Je pense mais tracasse déjà là le plus gros il est fait.
- Krim : Ouais tant mieux, je pensais pas que ça allait prendre toute la journée mais au moins demain on attaque la peinture et la moquette et ce sera bon.
- Moi : Ouais je pense que demain on aura tout fini.
- Krim : Bah vas-y à demain frère.

Le lendemain on allait faire la peinture et la moquette mais aussi j'allais trouvé un moyen de changer la porte. J'espérais qu'on finisse tout le lendemain.

J'étais reparti à la casa, il y avait la mama et Nina, depuis que Zaher et Zian étaient nés je les avais pas revu et j'étais pas vraiment heureux de les voir. À chaque fois que je les voyais ça me froissais parce que je voyais le visage des deux petits et c'était horrible comme sensation.

J'étais ressorti sans les salam et j'étais parti mangé et en revenant à la cité je m'étais posé avec Zyam et Houssam. C'était chaud eux aussi de les regarder en pensant ce que je cachais au plus profond de moi.

Des fois j'avais envie de tout leur dire à mes deux sah mais ça sortait jamais, ça avait jamais la force de sortir d'entre mes lèvres.

- Houssam : Comment tu te sens frère depuis ?
- Moi : Toujours pareil hein ça change pas, j'ai envie de casser des bouches tellement j'ai mal mais je me retiens.
- Houssam : Faut pas frérot, garde la tête haute. Nourr il aurait préféré qu'on souris.
- Moi : Je souris à ma manière.
- Houssam : On se soutiendra quoi qu'il arrive.
- Moi : Pourquoi c'est pas moi qu'est à sa place ? J'aurais tout fait pour y être. Il avait encore tellement de belles choses à vivre contrairement à moi.
- Zyam : Dis pas ça akhy t'es malade, je ferais quoi sans toi ? C'était son heure frérot.
- Moi : J'en ai rien à faire, c'est moi qu'aurait du être à sa place.
- Zyam : wAllah tu me fais mal au gelb frère arrête.
- Houssam : Tes mots ça a toujours été des coups de shlass frère, tes mots sont trop durs à entendre.
- Moi : C'est ma façon de parler et ma façon de voir les choses j'y peux rien. Vas-y je vous laisse.

Même quand on me parlait je m'emportais, j'étais toujours sur les nerfs, même mes deux frérots de toujours je m'emportais contre eux et je parlais toujours séchement. J'accepté plus rien de ce qu'on me disait.

J'étais reparti chez moi et je m'étais posé dans ma chambre, je m'étais mis la tête à l'envers et je pensais plus à rien. Quand je me défoncé à l'illicite je ressentais plus les mêmes sensations.

Une fois khabat j'avais toujours envie de pleurer, c'était chaud. J'ai une grosse carapace et j'ai jamais fait couler les larmes, j'ai toujours eu les yeux rougis par la haine mais jamais une seule larme est sortie mais je sais pas depuis le décès de Nourredin et les naissances de Zaher et Zian j'avais toujours cette sensation.

J'étais solo à me donner mal au crâne et par la suite Nina était venue me voir.

- Nina : Ça va khouya ?
- Moi : On fait avec.
- Nina : Tu veux que je te laisse.
- Moi : J'ai rien dis.
- Nina : Je sais mais si tu veux que je te laisse seul dis moi.
- Moi : Ouais mais moi je te réponds j'ai rien dis.
- Nina : Bien je te laisse alors.

Je me rendais compte en faite que je voulais plus que personne me parle, je voulais plus entendre leurs voix, je voulais plus les voir. Je voulais être solo mais à fond, j'allais faire comme si elles existaient plus et ça allait être très bien.

J'avais fini par n3ess sous la khabta et le lendemain je m'étais une nouvelle fois fait réveillé par Krim qui était toujours aussi déterminé. Je m'étais préparé et je l'avais rejoins.

- Moi : Krim tu peux pas commencé seul. Je vais faire quelque chose et je reviens dans pas longtemps.
- Krim : Fait comme tu le sens frérot juste m'oublie pas et reviens.
- Moi : On fait comme ça tracasse.

Je l'avais laisser commencé seul, il était en train de faire la peinture et moi j'étais parti voir Ines. Je l'avais pas prévenu, j'allais y aller directement.

Une fois devant la résidence j'avais attendu que quelqu'un rentre ou sorte pour pouvoir passer parce que j'allais pas faire déranger Ines qui était avec le petit.

Quelqu'un avait fini par sortir du coup j'étais entré en furtif et j'avais rejoins Ines, elle était surprise de me voir parce que j'avoue que je m'éloignais légérement. Depuis les naissances c'était vraiment difficile.

Elle était posé sur le lit avec Zaher, il était en train de n3ess. C'était trop la situation dans laquelle j'étais. J'arrivais pas à croire que le petit qui était devant moi était le mien.

Je m'étais allonger à côté d'elle et j'avais attendu un bon moment sans parler. Je cogité trop.

- Moi : Je peux te parler ?
- Ines : Je t'écoute hein.
- Moi : Tu réagirais comment si je te laissais seule pendant au moins deux semaines ?
- Ines : Je le prendrais mal.
- Moi : Ok.
- Ines : ...
- Moi : ...
- Ines : Mais pourquoi tu dis ça en faite ?
- Moi : J'ai besoin de quitté frança encore.
- Ines : Pour aller où ?
- Moi : J'ai besoin d'être avec mon Grand Monsieur.
- Ines : Fait comme tu veux.
- Moi : Je suis désolé, je te jure quand je reviendrais je prendrais de mon temps que pour vous.
- Ines : Je m'en fou, le moment où j'ai le plus besoin de toi tu décides de repartir.
- Moi : Si je reste je vais te servir à rien, je te jure Ines je suis naze, j'ai pas la tête à tout ça. J'ai besoin d'être auprès du mien pour revenir encore plus fort.
- Ines : Bah fait comme tu veux je t'ai dis
- Moi : Eh regarde moi.
- Ines : Non.
- Moi : Bah me regarde pas alors.

Elle s'était encore une fois braquée, à chaque fois que je lui parlais c'était des bombes que je lui lançais. Elle en pouvait plus. Mais là je servais à rien, dans ma tête j'avais trop de choses.

Entre Maamar, Nourredin, tout les absents à qui je pensais, les incarcérés et plus particulièrement Hûsin, j'en avait trop dans la tête. Je pensais plus à tout ça qu'à elle et les petits. Partir ça allait que me faire du bien..

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