Cause à effet

By Emirdzae

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En tant qu'homme, lorsqu'on est jeune et irréfléchi, mais surtout sans repère masculin, ça arrive que l'on pr... More

● Pourquoi
● Présentation
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By Emirdzae

Elle allait vers les parkings, je savais très bien qu'elle allait rejoindre quelqu'un pour revenir à la cité et j'étais quasimment sûr que c'était Azhar autrement je voyais pas qui ça allait être. Si c'était quelqu'un d'autre j'aurais été froissé là. Déjà fallait que je calme les pulsions de Azhar sur ma sœur.

Elle était allée jusqu'à une gova noir, j'avais reconnu c'était celle de Azhar, il y avait plein de papiers bulles et de scotch à l'arrière vu qu'il avait plus de vitre.

J'avais fait le tour avec le compète, sah j'étais en train de chauffer à ce moment là. Nina elle me mettait les nerfs. ça se voyait elle était déterminée à le rejoindre, elle avait trop des réactions de naze touché par le hob, ga3 elle y allait en sautillant tfou.

A ce moment là je me cachais même plus, j'y étais allé a fond. Elle m'avait remarqué mais elle voyait pas que c'était moi, j'avais encore le casque et il faisait noir. Je m'étais mis pas loin, j'avais fait zahma j'avais pris une place pour me garé.

Azhar il était sortie de la gova, il l'avait pris dans ses bras et bwaah non je veux pas ça pour ma sœur, la voir embrasser un gars, non c'est impossible. J'étais ga3 en train de perdre la vue à ce moment là, j'étais dégoûté, j'avais le peu de cœur qui me restait qui saignait là. Ils s'étaient mis dans la gova.

Je voyais pas ce qu'ils faisaient à l'intérieur parce que ses vitres elles étaient teintées mais j'imaginais le délire et ça avait fait un tour complet dans mon crâne.

J'avais pas perdu plus de temps j'y était allé, j'avais khaff pour elle. En deux secondes un homme il peut retourner le cerveau d'une femme, c'est d'une facilité affolante et je voulais pas ça pour elle sinon elle allait avoir la misère jusqu'à la fin de sa vie avec moi.

J'étais allé jusqu'à sa portière et j'avais voulu l'ouvrir mais il avait mis la sécurité mais là ils m'avaient vu, ils savaient que c'était moi donc il y avait que deux solutions. Soit il ouvrait sa portière soit il ouvrait sa portière il y en avait pas trente six milles.

Il avait retirée la sécurité et Nina était sortie, elle était mal ça se voyait, ça se ressentait. Elle était venue se mettre à côté de moi comme une meskina et lui il s'était mis devant sa portière.

- Azhar : Faudrait que tu m'expliques ce que tu cherches avec nous ?
- Moi : Nina c'est ma sœur t'as bien entendu, c'est ma sœur, c'est pas ma kahba comme t'as pu le croire l'autre jour petit con. Je vais juste te dire une chose, rien qu'une seule. Tu retouches à Nina, tu reposes ta sale bouche sur elle et je te shlass jusqu'à lmawt. Ça va ?
- Azhar : Qu'est-ce qui m'empêcherai de l'approcher ?
- Moi : Al mawt, la mort c'est tout. Ma petite sœur c'est pas la tienne, si tu veux heja va voir ta sœur.
- Azhar : Tu sais c'est quoi être couple ?
- Moi : Tfou il y a pas de ça avec moi, ça existe pas.
- Azhar : Ça m'empêchera pas de la voir.
- Moi : Je te fais rien là parce qu'il y a ma sœur et elle est déjà brusquée de la dernière fois mais si je revois des choses et que tu joues la provocation je mets toute ma haine accumulée sur toi et uniquement toi.
- Azhar : Ça fonctionne plutôt comme ça avec toi ?
- Moi : Tu sais pas tout toi ! Je te le redis approche la par n'importe quel moyen et je te fini.

J'avais la haine, je voulais tellement le finir. Déjà que je suis un sanguin de base, un nerveux comme pas possible alors là c'est le genre de chose qui me font vrillé à fond. J'avais besoin de déchargé ma haine sur lui mais j'avais rien fait parce que je voulais pas que Nina mout sur place.

Déjà qu'elle avait fait des dingueries derrière mon dos avec Massinissa, Luka et compagnie quelques mois avant où elle avait fait sa révolte zahma elle voulait quitté son quotidien pour partir avec eux, ah toz.

Là elle faisait encore ses conneries, je comprenais pas ce qu'elle chercher à faire à part me voir vrillé sévère. Des bonnes tarcha j'avais envie de lui mettre mais je me contentais de garder ma rage à l'intérieur.

Je lui avais fait comprendre que si il continuait j'allais trouver un moyen de se voir en solo et qu'on aller casser nos têtes à deux. Je lui avais craché au visage. C'était le crachat de la haine, il avait était trop longtenps coincé à l'intérieur il fallait qu'il sorte.

Je voulais que ma sœur comprenne la frustration que j'avais.

En retour il m'avait lui aussi craché dessus mais j'en avait tellement rien à faire, c'était plus pour lui que c'était humiliant, devant sa meuf soit disant.

J'avais préféré partir, je voulais pas que la situation finisse mal au point de ne plus pouvoir me contrôler devant ma sœur. Surtout que dans ce genre de situation je contrôle pas mes gestes.

J'avais attraper Nina par le bras, ga3 je lui avais broyer les os mais je trouvais que j'étais encore gentil avec elle au vu de ce que j'aurais pu vraiment lui faire sur le coup mais je resté calme et je me contenais malgré qu'elle était en pleure.

Je lui avais tendu le casque pour qu'elle le mette parce que peu importe si elle était avec moi j'allais pas changer la vitesse que je m'étais quand j'étais sur un compète et entre elle et moi je préféré qu'elle soit sécurisé si il nous arrivait quelque chose.

On s'était posé et j'avais même pas capté Azhar, je lui avais même pas porté un peu d'importance à ce moment là. J'étais directement parti à la cité.

Nina il fallait que je lui parle, il fallait que je lui balance des mots qui cognent. Je voulais qu'elle réagisse bordel.

À la cité je m'étais garé et elle était descendu du compète pour remonté mais je l'avais cash stoppé en l'attrapant par le bras.

- Moi : Reste là !
- Nina : Je monte n3ess.
- Moi : Reste là je t'ai dis !
- Nina : J'ai besoin de n3ess là.
- Moi : Soit on parle ici et tu me déballes tout ce que tu as à me dire soit on monte et on va parler tout les trois. Ima, toi et moi.
- Nina : ...

Je suis violent dans mes paroles, je pèse pas le poids de mes paroles et c'est sûrement la même chose avec mes gestes. J'utilise sûrement pas les bons moyens mais c'est celui que je préfère. Rentrer dans le tas et parler avec des mots qui cognent bien pour faire réagir la personne positivement. Je ne fais jamais ce genre de chose pour faire du mal à la personne en face de moi, au contraire.

On m'a toujours dis que j'étais un nerveux violent dans mes dires mais je le remarque pas sûrement parce que je suis habituer à ça.

C'est pour faire réagir les gens, que ça leur fasse un éléctrochoc, j'estime que c'est pour le bien de mes proches de faire ça.

Nina m'avait suivi jusqu'au terrain d'herbe, on s'était posé ensemble. Si elle avait quelque chose à me dire c'était maintenant.

- Moi : Tu pourras jamais me la faire à l'envers à inventé des choses. Je sais tout et tout se sait donc si tu as quelque chose à me dire c'est maintenant.
- Nina : J'ai même pas la force de parler tellement je
suis choquée.
- Moi : Mais en choque de quoi putain Nina ? Je fais ça pour toi bordel ! T'as envie que les gens ils disent Nina c'est une kahba ? Moi wAllah mon gelb il s'arrête si j'entends la sœur à Emir c'est une kahba.
- Nina : Il y a rien qui justifierait ça, pourquoi quelqu'un irait dire ça ?
- Moi : Nina une meuf quand elle flirt avec un gars on l'assimile tout de suite à heja. Vous vous êtes galoche Nina putain, non Nina je veux pas ça pour toi, te salit pas. Azhar cherche rien avec toi. Je vais commençais à te sortir des mots qui vont te faire trembler pour que tu comprennes.
- Nina : J'ai compris.
- Moi : Non t'as pas compris, me dit pas ça pour me faire plaisir ça me fait encore plus câblé. Je comprends pas ce que t'as, tu parles de moi et de ce que je fais mais toi tu fais des choses incompréhensibles. Nina t'es une petite femme et il faut pas. Déjà que tu me l'avais fait à l'envers avec Massinissa et les autres, à partir de là la confiance tu l'as tuée.
- Nina : Je me suis excusé plusieurs fois pour ça, même moi j'avais pas compris. Tu me l'as assez répété qu'en quelques paroles les gens arrivent à retourner la tête des autres.
- Moi : Ce qui est fait est fait, toi tu vois des gars te parler bizarrement dans la rue pour te mettre contre ton frère de même sang et ça te fait rien.
- Nina : Je les connais depuis un petit moment.
- Moi : Aaaah comment ça ?
- Nina : Non j'ai pas envie de parler après tu vas croire je fais des choses derrière ton dos.
- Moi : Dis là, t'as parler tu finis.
- Nina : Non mais c'était cet été avec Amina je suis allais à la soirée de Kalvin et ils m'avaient parler.
- Moi : Tfou tu dégoûtes, tu t'enfonces toute seule dans ta khra Nina.
- Nina : J'ai plus aucun contact avec eux, ils passent même plus ici depuis et j'ai plus leurs numéros.
- Moi : Je m'en quart mais à un point que tu peux même pas imaginé sah.
- Nina : Alors me demande pas.
- Moi : Comme je t'ai déjà dis je vais te surveillé à fond maintenant.
- Nina : ...
- Moi : Mais joue avec le feu Nina joue et là je l'attiserai comme jamais.
- Nina : Ça sert à rien de me faire khaff à chaque fois.
- Moi : De toute façon j'en ai rien à faire, à la base je t'ai dis de venir c'est même pas pour parler d'eux.
- Nina : Pourtant quand tu me vois c'est un peu la seule chose dont tu me parles.
- Moi : Remet toi en question alors. Bon là je vais te parler en sah de Azhar et tes autres petits copains là que ga3 tu mout pour eux. Sah Nina je te dis si je te vois encore avec Azhar ou un autre connard de ce genre je te fracasse et je t'envoie aux Émirats mais pas les Émirats de la belle vie non les Émirats au côté de Ba avec un boulon au pied. Ça va ?
- Nina : J'ai compris ce que tu me dis sans vraiment comprendre la raison mais je vais dire oui.
- Moi : Tu comprendras un jour. Mais ça sert à rien que tu pleures wela heja comme ça, tu sais que je déteste ça et que je compatie pas pour les gens.
- Nina : J'ai plus rien à répondre si tu me parles comme ça.
- Moi : Moi si, donne ton portable.
- Nina : Oh non, je comprends pas pourquoi tu fais ça. Mon portable j'en ai besoin.

Je commençais à devenir nerveux de fou, je me contenais trop c'était chaud. Je touche pas à ma sœur du moins j'essayais de me contrôler un maximum face à elle quand elle était insupportable et qu'elle me rendait fou. Là je comprenais pas pourquoi elle se mettait dans cet état là.

Elle pleurait, elle me tenait tête et elle avait pas l'air de vouloir comprendre ce que je lui disais. J'avais perdu patience ce jour là et je lui avais arracher le portable des mains. Elle avait été surprise, elle s'était pas attendu à ce que je perde autant patience.

- Moi : C'est bon tu m'as casser les klawi, on dirait une frustrée putain. Normalement tu t'en bats les couilles de ça, pourquoi t'es tellement en chien sur ton portable ? Sah Nina je sais que tu me caches heja mais cache le bien parce que si je le sais je te fini.
- Nina : ...
- Moi : Ouais c'est bien toujours rien à répondre à ça comme une conne, vas-y bouge maintenant.

C'est frustrant quand on surveille sa sœur, qu'on essaye de faire en sorte qu'elle ne vrille pas, quand on fait tout pour qu'elle s'attarde sur ses études et son boulot en s'occupant de rien d'autre et qu'elle fait tout le contraire.

Ça retourne le crâne quand on a l'impression que les petites sœurs font des choses bizarres derrière notre dos.

Sûrement que je me faisais de la matrix et qu'elle faisait rien de tout ça mais ses réactions me paraissaient bizarres et c'est pour cette raison que je me permettais de réagir comme ça face à elle.

Elle était remonté et moi j'étais un peu rester en bas des blocs. Je regardais dans le portable de Nina. Comme d'habitude elle avait toujours des messages à la chaîne je comprenais pas pourquoi, ça me rendait fou de pas savoir qui c'était. Des prénoms de gars en voilà mais c'était impossible de savoir qui ils étaient du coup excès de colère j'avais éteint le portable de Nina, j'avais craqué sa puce, je l'avais jeté et j'avais réinitialisé son portable.

C'était chien ce que j'avais fais, le faire sans la prévenir c'était pas bien de ma part mais peu importe j'aurais fini par le faire dans tous les cas.

J'étais remonté la voir dans sa chambre.

- Moi : Oh ?
- Nina : Quoi ?
- Moi : J'ai craqué ta puce et je l'ai jeté. Tout à l'heure je t'en commande une.
- Nina : Pourquoi t'as fais ça ?
- Moi : Il y avait trop de chose à faire dessus et j'ai pas le temps pour le ménage. Avec un peu de chance tu te rappeleras plus de tout les numéros de bâtards que t'avais.
- Nina : Je vais prévenir ima c'est devenu trop.
- Moi : Remercie moi au lieu de dire je sais pas quoi là et sah entre toi et moi on sait très bien que tu préviendras jamais ima, oublie pas ukhty diali.

J'avais pas plus perdu mon temps avec elle, je lui avais dis ce que j'avais à dire, je l'avais prévenu des conséquences qu'il y allaient avoir si elle continuait ses merdes. J'estimais avoir fait ma part du boulot maintenant c'était à elle de faire le reste si elle voulait pas que je rentre le padre dedans.

Il fait pas partie de notre quotidien, il est loin mais malgré qu'il soit pas là quotidiennement il reste quand même présent à sa manière, une manière très pudique mais c'est ce qui fait le charme de ce grand monsieur.

En tout cas peu importe si il y avait heja il avait juste à prendre le premier avion ou inversement et c'était réglé khlass on en parle plus.

Le lendemain j'avais commandé la puce de Nina, je voulais pas qu'elle me prenne le crâne avec ça.

Les derniers jours avant le départ je faisais plus rien. Je restais à la dar, je voyais des meufs, je restais en bas des blocs avec les khey, c'était la routine.

Nourredin et moi on préparait notre départ, les derniers jours il y avait rien eu qui mériterait que j'en parle posément hormis des grosses embrouilles mais hamdulilah personne avait été touché.

Avec Nina et la mama ça ne s'arrangeait pas voir même ça s'empirait de jours en jours. On se parlait plus ni même un salam ou un regard pour se faire comprendre qu'on s'oubliait pas. Nina c'était un peu tendu parce qu'elle était jeune, inconsciente et qu'elle me chercher beaucoup trop du coup je vrillé automatiquement.

Je faisais la meilleure chose qu'il y a à faire dans ce genre de situation : Le no calculage. C'était comme si elles étaient plus là, quand je passais près d'eux c'est comme si je les voyais pas.

Nourredin et moi on profitait beaucoup de nos khey, ça sentait le départ à fond. Je parlais beaucoup avec Zyam et lui me parlait beaucoup de Samia, elle passait souvent à la cité les après-midi mais j'étais jamais là.

Un soir Ines m'avait appeler l'air un peu déconnecté par le zdeh, elle me disait qu'elle était pressée que ça se finisse, qu'elle avait khaff surtout. D'ailleurs elle me disait qu'elle était de moins en moins à l'aise chez elle vu que son ventre en deux semaines avait beaucoup changeait et qu'il se voyait beaucoup plus.

Quelques jours après elle m'avait rappeler pour me dire qu'elle avait été virée de chez elle et que c'était la guerre chez elle quand il l'avait appris. Ça m'avait mis un coup de stresse.

Au début la situation je la prenais à la cool mais depuis quelques temps je commençais à ressentir la grosse pression qui se posait sur mes épaules. Mes pensées elles étaient ailleurs, c'était chaud, j'essayais de la rassurée mais je ne sais pas rassurer les gens, limite je les stresse encore plus.

Abdel lui j'avais eu aucune nouvelle, il était pas encore revenu et c'était tant mieux ça me permettait d'être relax avant le départ.

La veille du départ j'avais aperçu Samia à la cité, j'étais directement reparti. Elle m'avait vu du coup je savais pas trop comment elle avait pris la situation.

Dans la nuit j'avais appeler Zyam pour se voir en bas des blocs avant le départ.

- Zyam : Tu vas me manqué frère.
- Moi : Toi aussi kheyou, in shâ Allah on se revois avec Nourredin à notre retour ou même venez nous voir, même trois jours sah.
- Zyam : In shâ Allah on essayera.
- Moi : Frère je voulais te dire, fais très attention aux gova, tous les jours tu viendras voir les garages si ils sont bien fermé, tu regardes tout. Je vais te laisser les clés si jamais il y a heja mais je te fais confiance khey. Tu préviendras Houssam
- Zyam : Je vais surveiller ça fais moi confiance. Dès que vous arriver en Algérie vous activer votre puce et tu me bipera comme ça j'aurais le numéro si il y a heja.
- Moi : Pas de soucis. Autre chose mon frérot, surveille Nina à fond hambouk ga3 tu l'as déconcentre sinon elle va faire sa folle.
- Zyam : Je vais la surveiller t'en fais pas. Si tu veux les soirs où je quitterai tôt j'irai la chercher à son travail.
- Moi : Ah je dis pas non pour ça parce que l'autre jour je lui ai dis que si elle s'approchait encore du gars j'allais lui faire la misère et j'ai khaff qu'elle fasse heja en mon absence. De toute façon si il y a heja tu m'appeleras.
- Zyam : Aucun soucis mon frère, Houssam et moi on va surveiller ça de près.
- Moi : Bien puis comme d'habitude si il y a heja à la cité, si il y a des nôtres qui tombent de toutes les manières possibles vous nous appeler et on rentre direct.
- Zyam : Ça change pas ça, si il y a quoi que ce soit on vous appelle directement, j'attendrai même pas. Vous serez prévenu avant tout les autres.
- Moi : Saha. Ah ouais le plus important si Abdel passe à la cité et qu'il demande après moi vous dites que je suis au bled depuis plus de trois semaines comme ça on zappe l'histoire des sms.
- Zyam : Compte sur moi mon frère.
- Moi : Vas-y je vais n3ess un peu, on se capte tous en bas vers 4h avant de partir in shâ Allah.
- Moi : In shâ Allah.

J'étais remonté me reposé avant de partir. À trois heure et quelques je m'étais levé, lavé, habillé et j'avais sortie mes valises et mes sacs de marchandises, mailles, armes dans le salon j'allais les passer à Zyam en mon absence. J'avais refermé ma chambre et j'étais sorti.

La mama et Nina dormaient et elles savaient que je partais lyoum mais elles avaient eu aucune intention de se levé pour me salam mais mahlich ça m'avait pas dérangeait. Si il arriverait quelque chose à l'uns de nous on aurait juste à fermé nos bouches parce qu'on aurait jouer les fier.

J'avais rejoins mes khey en bas des blocs, Nourredin était là, il était aussi prêt que moi mon kheyou même si la fatigue tapait le crâne.

Il y avait les frères, des meufs on savait même pas pourquoi elles étaient venues et Asra la sœur à Krim je savais pas pourquoi non plus mais sah j'essayais plus de comprendre.

On avait salam tout le monde, on parlait, on rangeait nos valises, on faisait chauffer le moteur et on allait s'apprêter à partir du coup j'avais pris Zyam à part.

- Moi : Je te passe tout les sacs, tu les ranges et tu fais voir à personne. Je les reprendrais à mon retour.
- Zyam : Ça va ok et si il y a heja je t'appelle. Sah mon frère profite à fond, profite avec Nourredin. Décompresser et revenez nous en force prêt à tout casser.
- Moi : In shâ Allah.
- Zyam : Tu peux pas attendre genre une dizaine de minutes et si il y a welou vous partez ?
- Moi : Pourquoi ?

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