Cause à effet

By Emirdzae

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En tant qu'homme, lorsqu'on est jeune et irréfléchi, mais surtout sans repère masculin, ça arrive que l'on pr... More

● Pourquoi
● Présentation
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By Emirdzae

Après avoir bien craché comme des frustrés ils étaient rentré et Zyam et moi on allait reprendre ce qu'on faisait mais j'étais en train de penser que ça faisait longtemps qu'on avait pas eu des nouvelles des autres, ils étaient pas venu et nous on avait pas chercher à avoir de nouvelle. Si ça se trouve ils étaient repartis ou ils s'étaient fait prendre. À ce moment là il y avait que Zyam, moi et la fenêtre il y avait plus rien d'autre.

- Zyam : Yeuh j'espère qu'ils sont encore là.
- Moi : Ehaay t'espère ? Je veux tous les revoir en descendant sinon je casse une tête. Qu'ils assument.
- Zyam : Je pari qu'ils sont encore là, tracasse frère.
- Moi : Vas-y on est pas des hlouf frère, on s'en bat les couilles de la deuxième planche. Moi je dis on va passer entres les planches tranquille. Tape dans la main kheeeeey.
- Zyam : Ouaaaaaais on passe frère.
- Moi : On va passer et je vais appeler Nourredin quand on sera à l'intérieur.

J'étais monté et j'avais passé ma tête entres les planches, tfou rien que ça puait à l'intérieur c'était fou, toutes les odeurs les plus nocives concentrées dans une même pièce beeeh.

Je m'étais fait glisser entre la planche et le mur et c'était passait crème, je m'étais retenu comme un pro jusqu'au sol. Directement je m'étais relevé et pour pas perdre de temps j'avais tiré la planche vers moi pour la faire claquer et elle avait fini par se casser en deux. Je m'étais tué en tombant, il y a tout qui avait pris cher.

Zyam il m'avait rejoins tranquille. À l'intérieur c'était mieux, maintenant il y avait plus aucune raison de se faire repérer. On était caché à l'intérieur. Si vraiment on se faisait repérer c'est parce qu'un proche de Abdel serait montait sur l'arbre.

J'avais appeler Nourredin.

- Moi : Vous êtes où ?
- Nourredin : On est pas partis mais on est plus devant.
- Moi : Essaye pas de trouver des excuses, dis les choses cash.
- Nourredin : On est plus devant le squatte, on s'est tous regrouper devant le pavillon parce qu'on avait entendu du bruit tout à l'heure et les voisins étaient sortis.
- Moi : Bon ça va. Rapprochez-vous parce que là on est dans le squatte.
- Nourredin : Ok bah on reviens là.
- Moi : Mais dis à Houssam qu'il garde son portable dans sa main parce que je vais le rappeler.
- Nourredin : Je lui dis.
- Moi : Vas-y salam.

J'avais raccroché et j'étais satisfait de mon équipe, de mes acolytes, j'avais une entière confiance en eux dans ce genre de situation. déjà ils avaient pas perdus leurs cojones et ils étaient pas repartis, ils nous avaient pas laisser en chien et en plus de ça ils avaient su gérer la situation quand il y avait eu cafouillage.

Si j'étais amené à revivre une telle chose j'aurai repris les mêmes.

- Moi : Ça va ils sont encore là. Ils se sont juste mis à l'entrée du pavillon.
- Zyam : Ah tu vois je te l'avais dis frérot, on te lâche pas et tu sais pourquoi ?
- Moi : Dit !
- Zyam : T'as vécu trop de chose et c'est pas pour te faire la lèche mais t'as khaff de welou, tu fonces toujours peu importe les retombées, t'as trop vécu des qtru par apport à la drogue et tu connais le milieu des petites mouilles, tu connais les dessous de ce milieu difficile et tu repères la merde à des kilomètre, tu sais te défendre comme un rajel si il y a heja, tu as tapé fort dans un groupe de deal du 93 et tu sais gérer ces situations et c'est à toi qu'on fera appelle si jamais ils nous arrivent cafouillage donc non jamais on te laissera.
- Moi : Ouais je vois, hassoul.
- Zyam : Putaaain frère t'es trop pudique. T'aimes pas quand on te dis des bonnes choses. Aucune émotion, aucun sentiment frère.
- Moi : Non j'ai pas ! Hassoul là je crois ça va être chaud.
- Zyam : Pourquoi ?
- Moi : On s'est déjà vite fait, fait repérer tout à l'heure et ils doivent être chaud lyoum les chibani de la rue et si on prends les gova de dedans je vais devoir foncer dans le portail et on va betom bêtement comme ça.
- Zyam : Au pire les khey ils nous rejoignent ici, on fait tous chauffer les moteurs des gova et toi tu fonces dans le portail, il y en a un il nous attends dehors et il vire le portail et après on accélère pour sortir du pavillon et on repart sur Paname par des chemins différents.
- Moi : C'est pas con, j'y ai penser mais ça va quand même être chaud. Vas-y viens on descends au garage vite fait.
- Zyam : Vas-y je te suis, tu t'y connais mieux que moi. C'est presque chez toi ici.

On avait trop d'idées, on tenait plus en place mais à chaque fois on se disait non laisse ça va pas le faire. On s'était tellement fait repérer au début qu'on voulait pas qu'ils ressortent, le moindre mouvement on craignait de faire trop de bruit c'était chaud.

On était descendu au garage, j'avais allumer la lumière et wah ça donnait des vertiges de malade tellement c'était magnifique à voir, tellement ça faisait du bien à la vue. Il y avait quelques gova toutes très belles mais parmi toutes celles qu'il y avait j'avais pas la mienne, c'était possible qu'il l'aille revendu sachant qu'à la base il me l'avais demandait pour la revendre donc c'était possible qu'elle faisait déjà plus partie de sa collection tah khra.

J'étais aller jusqu'au portail et je tapais un peu dessus et je touchais pour voir si ça allait être chaud de passait par là et ouais ça allait être impossible. J'avais appeler Houssam

- Moi : Vous êtes où ?
- Houssam : On est dans la rue en face.
- Moi : Ok frérot, t'es déjà venu avec moi chez Abd ?
- Houssam : Oui il y a quelques temps.
- Moi : Tu te souviens les styles de gova qu'il vends ?
- Houssam : Mais oui il y a que lui qui vends ça ici et puis il y a son patch à l'arrière qui différencies des autres.
- Moi : Ah voilà tu connais. Viens vers le squatte et tu te mets dos à lui, côté droit c'est là qu'il gare toutes les gova qu'il a pas la place de rentrer dans son garage. Va avec Nourredin et vous me dites combien il y en a dehors et si elles donnent la trique.
- Houssam : Ahaha frère tu parles de gova là, calma
- Moi : Ahaha vas-y perds pas de temps.

J'étais en appel avec lui ça avait été principalement pour voir si les gova qui étaient garer dehors valaient le coup et que je laissais celles à l'intérieur.

Ils regardaient toutes les gova, celles qui été certifiées par Abdel avec son patch tah khra.

- Houssam : Sah déjà il y en a plus de cinq et au niveau du visuel c'est la même khey, il y a les mêmes que j'avais vu chez lui.
- Moi : Ok vas-y retournez avec les khey. Zyam et moi on fini quelque chose.
- Houssam : Vous allez faire quoi ?
- Moi : On fini heja et on vous rappelle donc approchez-vous parce qu'on va prendre des gova de dehors.
- Houssam : Ok je les préviens.

On s'était préparer à prendre des gova dehors parce qu'on voulait pas forcer avec celles à l'intérieur sinon c'était mout notre place en jail nous attendait chaudement.

Je m'étais concentré sur ce qu'il y avait de minime à prendre chez lui, comme le restant de marchandise qu'il avait pas encore vendu ou même de la maille qu'il aurait rangeait, j'espérais.

On était remontait à l'étage et on avait tout retourner pour trouver la moindre chose à prendre, sous son matelas virusé, sous son lit on regardait partout mais il y avait rien du tout, c'était vide de partout.

Il y avait aussi son casier en longueur, j'avais essayer de l'ouvrir mais il était fermé à clés, c'était chaud en plus le casier il était en fer donc la moindre tape dessus et ça résonnait partout.

- Moi : Vas-y doux tu m'aides à posé le casier au sol. Tu le tiens vers le bas.
- Zyam : Bascule et je l'attrape, on pose tranquillement.

On avait pris l'armoire sur les côtés et on l'avait posé. Sah on était trop farhan, on se regardait comme des cons en train de sauté et dahak.

Dans ma saccoche j'avais pris ma lame simple de cuteur et avec ça j'avais essayer de torde la portière en tirant vers moi. J'étais à fond dans ce que je faisais et tellement je l'étais j'avais forcé et je m'étais ouvert les doigts avec la lame. Sur le coup je m'en étais pas rendu compte c'est après quand j'avais vu la portière plein de sang tfou.

Mahlich j'avais pas de temps à perdre, je forçais encore pour ouvrir la portière, je continuais avec le cuteur et en forçant trop fort la lame elle s'était cassée. Je voyais rouge. J'avais continuais avec les mains, en rentrant mes doigts pour tirer mais ça changeait rien. Ça se tordait un peu mais on pouvait rien faire d'autre.

Je commençais à devenir nerveux, c'était chaud. J'avais la haine qui venait là.

- Moi : Putain frère je sais pas fait quelque chose, met toute ta rage et force dessus zeh. La fatigue elle me rends nerveux je vais câblé bêtement là.
- Zyam : Non frère, on est ensemble tranquille. En détente.
- Moi : Non pas détente frère, c'est trop là. Ça fait quasimment trois heures.
- Zyam : Je sais frère, vas-y on le fait.
- Moi : Prends tes clés si il le faut et tu forces avec. Tu les rentre à l'intérieur et tu ramènes vers toi.

J'avais pris mes clés et j'avais refais la même chose en tirant vers moi, je montrais à Zyam comment faire comme ça il pouvait reproduire les mêmes gestes.

Mon côté était beaucoup plus ouvert que le sien vu que je m'acharner dessus depuis le début. Le bas avait fini par se tordre heja de normal.

Ça aurait pu être plus rapide parce que c'était un simple casier en fer et qu'avec un simple coup on aurait pu le casser mais on avait préféré utiliser la méthode plus douce pour éviter de faire trop de bruit.

Le bas avait claquer du coup j'avais passais ma main à l'intérieur et j'avais tiré en balle sur le loquet par l'intérieur et le casier s'était ouvert.

On se regardait comme des cons tellement on était farhan de notre coup.

- Moi : Ehaaay frérot !
- Zyam : Putaaain ! Sah c'est la rage qui parle là.
- Moi : La rageeeee, je suis en rage lyoum.
- Zyam : Sah frère on a vécu un truc de fou ensemble.
- Moi : C'était évident que je le fasse avec toi. Au début je voulais le faire avec Krim et toi mais finalement je regrette pas mon choix.
- Zyam : De fou et puis comment on aurait fait à trois sur l'arbre.
- Moi : C'est vrai en plus.
- Zyam : Ahaaaaaaaa !
- Moi : Ahaaaaaaaaaa ! Il y a que nous pour faire des qtru de tarés khey.
- Zyam : Ahaha on va remettre ça sur la fatigue.
- Moi : T'as compris frère ! Vas-y on prends les sacs.

On était à trois heure du matin dans un squatte délabré qui nous appartenait même pas, comme l'impression d'être dans un lieu d'élevage de kebch. On était au sol défoncé de fou comme si on avait shité toute la nuit alors que c'était tout simplement la fatigue qui nous mettait dans cet état, on avait pas passé une vraie nuit depuis longtime. À ce moment là on voulait juste n3ess.

On avait sorti les sacs qu'il y avait à l'intérieur, il y en a avait deux et on avait refermé la portière du casier. Je m'étais levé et j'avais mis un gros coup sur le bas pour que ça s'enfonce. Ça avait résonné partout, Zyam et moi s'était regarder sévère, on était repartis dans un délire. Au sol gros cassage de barre et le pire c'est que nous même on savait pas pourquoi.

On s'était relevé et on allait remettre le casier à sa place mais il y avait plein de sang sur le côté, j'avais même pas vu. Bah pas le choix hein j'avais retiré mon maillot pour nettoyer avec. C'était soit ça soit on laisser le sang.

On l'avais remis à sa place et juste après Zyam il m'avait pris dans ses bras, c'était je sais pas en faite, enfin c'était pas mon habitude.

- Moi : Bien joué mon frère.
- Zyam : Bien joué à toi oui, sans toi j'aurais pas fait ça. J'y connais pas grand chose chez lui.
- Moi : Bah voilà, raison de plus, avec le peu que tu connaissais t'as fait un boulot de monstre mon frère.
- Zyam : C'est toi, t'es au top pour ça.
- Moi : Bon on va pas se passer les éloges toute la nuit, c'est toi iya khlass.

J'étais fier de mon khey, il était resté toute la nuit et il s'en était pas plaint, il avait mis les mains fkhra avec moi, il avait fait le boulot sans rien dire donc j'avais juste à le remercier comme il fallait.

On s'était assis devant les sacs et on les avait ouvert. Dans le premier sac il y avait un grand sachet ou dedans il y avait pleins de petits sachets de poudre et tout. Ça pété pas le score non plus parce que c'était des restes finalement, en une estimation très vite calculé avec tout les sachets il y avait à peu près quatre cent euros à se faire.

Abdel m'avait déjà parler de ses prix et de comment il gérer tout ça donc je l'avais conclus comme ça.

On avait bien refermé le sac et on avait ouvert le deuxième et dedans il y avait plusieurs petits paquets de dix billets de cent à chaque fois. Il y avait pas de quoi se sentir mal, il y avait pas grand chose en sah, pas de quoi s'affoler.

J'avais bien ranger les petits paquets et j'avais sortie les deux grandes boites en fer qu'il y avait dans le sac. Et Abdel nous avait facilité la tâche à croire qu'il savait qu'on allait passé, il avait laisser les clés dans les serrures des boites en fer. L'erreur d'un amateur.

J'avais ouvert et dedans il y avait toutes les clés des gova, à ce moment là il y avait pas plus beau. J'avais directement appeler Houssam.

- Moi : Va où il y a les gova et cite moi des marques.
- Houssam : Attends j'y vais.
- Moi : Tu t'attardes pas sur celles qui pètent pas le score, cash tu me dis la marque des gova qui donnent le vertige frère.
- Houssam : Vous avez fini là ?
- Moi : Ouais bientôt, eh attends là je vais te passer Zyam tu vas lui dire à lui.
- Houssam : Vas-y passe.
- Moi : Ok et commencez à tous vous rapprocher des gova que tu vas cité parce que c'est celles qu'on prendra.
- Houssam : Ok je les fait venir.

On allait bientôt partir, on avait bientôt fini mais avant de partir je voulais faire une dernière chose. J'avais passé l'appel à Zyam pour que Houssam lui dise les marques des gova et lui allait prendre les clés pour qu'on les démarre. Ce bête il avait raccroché l'appel hm.

- Moi : Zeh t'as fait quoi frère !
- Zyam : Smeh khey, vas-y je rappelle.
- Moi : Il va te cité des marques et tu retrouveras la clé de la gova dans les boites en fer. Pas plus de quatre parce que sinon après c'est trop et ça sert à rien, trois c'est suffisant parce que de toute façon je vais rien faire avec les gova. Je finirai par m'en débarrasser c'est juste pour lui faire perdre de la maille.

Houssam avait rappeler donc ils avaient fait ce qu'il y avait à faire et moi pour le moment j'étais descendu au garage et j'avais sorti mon couteau. Hm quand j'y repense j'avais vraiment la rage envers lui, j'avais crevé une roue de devant et une roue de derrière sur chaque gova qu'il y avait.

J'avais seulement toucher aux roues et pas à la carroserie en elle même parce que c'était quand même des gros bolides et surtout c'était pas mon but de casser une gova. Les roues c'était pas grand chose, il pouvait les changer après mais de toute façon j'espérais que son business prenne fin.

Abîmer les roues c'était déjà énorme parce qu'il devrait dépensé des sous pour les changer et mon but était de le ralentir dans ses gains. Dépenser de l'argent sur quelque chose ou normalement tu es censé gagner le jackpot ça fait mal au ass un peu.

J'étais remonté et Zyam et Houssam étaient encore en appel, ils avaient pris trois clés de gova et Houssam en proposait encore mais j'avais fait signe qu'il arrête parce que sinon ça allait être trop, déjà que je savais pas ce que j'allais en faire.

- Moi : Alors ?
- Zyam : On en a trois, il en proposait une autre mais comme tu as dis ça sert à rien parce que tu les utilisera jamais. Tu veux que Abdel prenne un coup dans sa fierté.
- Moi : C'est pour ça, je cherche pas à avoir d'emmerde par apport à ça, je sais même pas comment je vais faire pour m'en débarrasser. Il va falloir que je trouve quelqu'un qui travaille dans l'auto ou heja comme ça. Je verrais le moment venu. On va aller jusqu'à la cité comme ça et on les rangera dans les garages derrières. On fermera à dix cadenas chacuns si il le faut.
- Zyam : T'as raison, je trouve ça bien que tu penses comme ça et que tu profites pas pour t'en prendre.
- Moi : C'est pas mon but, si il y aurait eu ma petite mustang je l'aurais reprise c'est sûr mais là j'ai aucune raison de m'en prendre une autre. Je préfère vendre du sale et m'acheter une gova, un monstre au lieu de jouer le petit joueur à m'en prendre une. Vas-y on y va.
- Zyam : Les boites avec les clés tu les poses où ?
- Moi : Pose les sur le matelas ! Ah non tu sais quoi ? On va les prendre comme ça il aura plus de clés pour les démarrer. Dans la merde jusqu'au bout.
- Zyam : Ahaha t'as vu mon frérot quand je te dis que toi quand tu fais quelque chose c'est jusqu'au bout. Tu me le prouves encore.
- Moi : Quand il y a moyen frère il faut pas se privé.
- Zyam : Complètement !
- Moi : On va sortir par la fenêtre jusqu'au jardin et on va aller chez l'autre voisin pour sortir par le portail.

J'avais laisser Zyam passer par la fenêtre et descendre et je lui avais fait tombé les sacs et après je m'étais tourner et j'avais retourner tout son squatte, ça allait être un délire invivable pour lui.

J'étais passé par la fenêtre et je m'étais laisser glissé le long de l'arbre comme un mahboul alors que j'étais torse nu. Baaah je m'étais tué, les frissons tfou.

J'avais rejoins Zyam..

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