Cause à effet

By Emirdzae

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En tant qu'homme, lorsqu'on est jeune et irréfléchi, mais surtout sans repère masculin, ça arrive que l'on pr... More

● Pourquoi
● Présentation
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By Emirdzae

Hûsin s'était installé avec nous, il avait passait le salam à Zyam et Houssam mais moi il ne m'avait même pas adresser ne serait-ce qu'un regard. Sincèrement ça me faisait câblé de fou de voir comment il se comporter avec moi, comme si il ne me connaissait pas alors qu'on se connaissait tout les quatres depuis gamin. On avait traverser plein de chose ensemble que ce soit bon ou mauvais. Déjà tout gamin on partager les mêmes terrains junior au foot, nos premières petites embrouilles parce que untel n'avait pas fait la passe à l'autre durant le match ou même quand on partager nos sorties au futuroscope, parc astérix etc quand on était inscrit au centre aéré pendant les grandes vacances parce que c'était la hess et que les parents n'avaient pas de quoi payez des billets pour partir, nous c'était fou quand on entendait nos parents dire que leurs économies ils allaient les mettre dans ces petites sorties là juste pour nous faire plaisir, c'est fou mais on avait du mal à le réaliser à l'époque parce qu'on était encore gamin et que pour nous le plus important était d'être heureux soit même, c'est egoïste mais on était des petits et puis après ça a grandit et on s'était pas séparer pour autant, on continuer à étudier dans les mêmes écoles, on fréquenter les mêmes salles de sport pour se buter à la muscul, ah je m'en rappelle c'était à celui qui allait devenir le plus sec, on se lançait des défis zahma. Je me rapelle de tout, tout ce qu'on avait fait ensemble. Dans les cités on se chauffe un peu, il y a des embrouilles c'est évident parce que vivre tous ensemble enfermer entre quatre murs depuis petit ça fini toujours par chauffer à un bout d'un moment mais généralement c'est très vite oublier parce qu'on est comme une famille. Les seuls qu'on déteste ce sont les quartiers voisins, les cités voisines, les quartiers alentours mais sans quoi entre nous on est liés et on se comporte ensemble comme des frères et soeurs qu'on veut voir évoluer de la meilleure manière qu'il soit. Hûsin faisait partie de ceux que j'aimais beaucoup, que j'aimais comme un frère de même famille. Zyam, Houssam et Hûsin j'aurai tout fait pour eux et cet enfoiré de Hûsin c'était un kiffe de dingue et il me rendait fou quand je voyais qu'il était comme ça.

- Moi : Déjà tu viens tu dis salam à tous le monde enfoiré ! Je vais pas rire je te le dis, ça commence déjà à me casser les couilles là.
- Hûsin : Je parle même pas avec toi, déjà apprends à respecter les autres et pense à changer aussi.
- Moi : Tu acceptes pas ma façon d'être, de pensé et de réagir c'est ton problème tu vois, donc commence pas à faire ça avec moi. Je suis là je t'appelle pour qu'on parle et la moindre des choses c'est de me passer le salam.
- Hûsin : Oh sérieux tu as cru j'étais qui là ? Juste explique, tu as cru quoi ?
- Moi : Hûsin la vérité là tu vas me chauffer de fou à être comme ça avec moi. Vous êtes toujours en train de dire que je suis le sale chien qui est toujours dans les embrouilles mais là tout de suite c'est toi qui fait le gamin à te mettre mal avec ton kheyou.
- Hûsin : Je me met pas mal avec toi et j'ai mes raisons de réagir comme ça face à toi et à ta connerie.
- Moi : Mais quelles raisons ? Il y a aucune raison, j'ai juste un parano en face de moi.
- Hûsin : Tu me rentres dans tes histoires de drogue, déjà que je vendais en soum-soum avec toi.
- Houssam : T'es sah Emir, depuis quand tu fais ça toi ?
- Zyam : Commence pas à rentré les autres dans tes délires de drogues etc enfoiré, encore moins le sang Hûsin.
- Moi : Ce qu'il oublie de vous dire c'est qu'il était bien content de vendre parce que après les ventes c'était pas deux, trois billets de 100€ qu'il rafler non mais plus dans les alentours d'une quarantaine de billets de 100€ donc pourquoi tu me l'as fait à l'envers comme ça enfoiré ?
- Hûsin : ....
- Moi : Tu sais Hûsin je t'aime de fou, t'es la famille mais commence pas à faire des choses comme ça car je peux aussi très vite détesté les gens !
- Hûsin : Vas-y nique ta mère.
- Houssam : T'es sah Hûsin, eh calme aussi tu vois quand tu as raison on te soutien mais commence pas à faire le con à insulté les mères ok ? Il a fait la connerie de le faire lui l'autre jour mais il s'en veut et j'en suis sûr donc fait pas la même connerie.

J'avais fais la connerie d'insulté sa mère quelques jours auparavant Allahi rahma et je m'en voulais de fou de l'avoir fait parce que les mères, arh on a dit jamais les mères putain, jamais, ça y est on commencez tous à vriller là, une fois qu'on toucher aux mères c'était la merde. Je m'en voulais d'avoir dis ces paroles là à l'égard de la sienne et j'avais présenté mes excuses devant Zyam et Houssam pour qu'eux ils puissent allez le dire à Hûsin étant donné qu'à ce moment là Hûsin ne voulait pas me voir ni me parler donc je devais souvent passais par Zyam et Houssam pour lui toucher un mot. Et là j'étais tellement deçu qu'il aille fait ça, certes j'avais pas grand chose à pouvoir dire face à ça car j'avais fais exactement la même chose mais je m'en voulais, je lui avais fais mes excuses et pour moi tout ça voulait dire que c'était fini, que les mères plus jamais on les rentrerait dans nos histoires de gamins mais Hûsin avait, je pense la haine contre moi. J'avais moi aussi tellement une haine contre lui accumuler depuis plusieurs jours que je m'étais levé et je l'avais giflé, la grosse gifle de cow-boy que jamais j'aurai pu pensé pouvoir lui mettre un jour. J'étais à bout, cette gifle, juste celle-ci avait suffit à l'humilier et c'était la chose que je recherché parce qu'il me descendais devant nos khey sans scrupule et moi j'aimais pas ça. Je cherché clairement pas à lui faire du mal mais c'était juste pour le faire réfléchir, peut-être que j'étais à côté de la plaque, que c'était moi qui merdé mais à l'époque j'en avais pas l'impression. Hassoul finalement ce regroupement entre nous quatre n'avait rien donner à part rajouter une couche supplémentaire de haine donc tout le monde était retournait à son bloc. Je vais passais les derniers jours qui me restais à Paris, durant ces jours là j'avais rien fais, je restais à la casa auprès de la yemma et de la reuseu à rien faire, enfin si, juste à me mettre khabat. Hassoul la veille avant de partir j'avais attendu que ma mère rentre du travail pour quand même lui dire que le lendemain je partais, je m'y prenais un peu tard mais c'était sans importance pour moi.

- Moi : Yemma je vais partir.
- La mama : Non weldi, dit pas n'importe quoi.
- Moi : Ga3 n'importe quoi, pourquoi tu dis ça ?
- La mama : Weldi tu restes avec moi.
- Moi : Yemma j'ai pris le billet pour aller voir bba.
- La mama : Ah tu vas aux Émirats, aya saha weldi.
- Moi : C'est tout ? Tu as que ça a dire ?
- La mama : Je suis contente pour toi.

Elle avait pas trop envie de polémiquer sur ça, j'avais l'impression. Je m'étais pas pris la tête plus que ça, j'étais allais finir ma valise et j'étais directement allais n3ess après ça. Le vol était très tôt. Hassoul le lendemain je m'étais levé, ma soeur dormait encore et ma mère était partie au travail du coup j'étais allé dire bslama à ma soeur et j'étais allé prendre le taxi pour allé à l'aéroport. Les sept heures et quelques d'avion passées, j'étais enfin sur le sol Émirati, à Abu Dhabi où mon père m'attendait. Hassoul je vais vous passais un peu plus de la première semaine c'était toujours les mêmes choses, je profité de mon pays, du soleil, des plages et tout ce qui va avec mais le plus important je profité du padre et ça c'était vraiment le plus important. Hassoul un soir, assez tard Samia m'avait appeler, à l'époque on s'appelait sur une application qu'on avait en commun.

- Samia : Emir ça va ?
- Moi : Bien bien et toi ?
- Samia : Al hamdûli-llah. On peux se voir ?
- Moi : Où ça ?
- Samia : Je sais pas où tu veux, à ta cité ou heja comme ça.
- Moi : Me voir ? Non je peux pas.
- Samia : Au pire je me déplace moi.
- Moi : Mais non je peux pas, je suis en vacances.
- Samia : Wah ça fait des plans en soum-soum et même pas tu préviens ?
- Moi : Tranquille je reviens dans quelques jours.
- Samia : Bon bah profite un maximum et on parlera dès que tu rentres in shâ Allah.
- Moi : Parler de quoi ?
- Samia : T'inquiète !
- Moi : Parler de quoi petite conne ? Tu en sais plus sur Ines c'est ça ?
- Samia : Ouais mais t'inquiète on parlera dès que tu arrives.
- Moi : Parle ou je te casse en rentrant.
- Samia : Ahahaha mais j'en peut plus de toi sale fou.
- Moi : Vas-y dit !
- Samia : Ines a eu rendez-vous mais j'arrive pas tout à comprendre. J'ai l'impression d'après ce que j'ai vaguement entendue qu'elle serait pas enceinte mais je m'avance pas dans mes propos car c'était un peu vague les discussions que j'entendais.
- Moi : Ok donc elle est pas enceinte, tranquille alors.
- Samia : Non Emir j'ai pas dit ça, j'ai dit qu'il me semblait avoir entendue ça maintenant je vais essayer de bien parler avec elle pour être sûr des propos que je tiens et quand tu rentreras in shâ Allah j'en saurai un peu plus et on se verra pour en parler ensemble.
- Moi : Ok ma belle.
- Samia : Bon vas-y je vais te laissé et profite à fond, bisous.
- Moi : Où ça ?
- Samia : Bah dans ton pays.
- Moi : Mais non, où ça ?
- Samia : Mais de quoi où ça ?
- Moi : Vas-y laisse tombé, à plus. Aaaah attend !
- Samia : Quoi ?
- Moi : Mon avion devrait être là vers les alentours de seize, dix sept heure le jour où je rentrerai donc tu essayeras d'être à la cité.
- Samia : Ça va ok.

On avait raccrocher et je sais pas mais après son appel j'étais trop bien, il m'avait trop fait du bien son appel. Je l'apprécier bien cette folle. Hassoul je vais passé tout le séjour aux Émirats parce qu'il y avait rien de plus. L'après midi mon père m'avait déposé à l'aéroport et j'étais retourné sur Paname, une fois sur le sol Parisien j'avais pris un taxi et j'étais revenu à la cité. J'étais monté chez moi, j'avais déposé mes affaires. ll y avait personne chez moi du coup j'étais redescendu, même Samia était pas là du coup je l'avais call.

- Samia : Allô ?
- Moi : Ouais t'es sah, t'es où là ?
- Samia : J'arrive, dans un arrêt le bus arrive devant la cité.
- Moi : Vas-y ok.

J'avais attendu qu'elle arrive, dès que je l'ai vu sortir du bus et venir directement je me suis mis à sourire comme un con mais vas-y elle était venue pour m'expliquer heja pas pour que ça tombe dans le hob.

- Samia : Bsahtek le bronzage, ça te rend beau zahma. Les couleurs de tes yeux ressortent bien.
- Moi : Toi même sans bronzage t'es toute belle, zahma.
- Samia : Oh arrêtons les éloges monsieur.
- Moi : Ta gueule arrête de sortir les grands mots hassoul dit maintenant.
- Samia : Il y a rien de nouveau par apport à Ines. Je lui ai parlée, d'ailleurs j'ai encore parlée avec elle tout à l'heure mais elle veut pas me dire donc je vais attendre un peu.
- Moi : Wsh vas-y c'est mort, si elle veut pas te le dire alors que tu es sa shab depuis ga3 les années c'est qu'il y a quelque chose.
- Samia : Destresse on ne sait pas encore.
- Moi : Mais physiquement elle a changée ?
- Samia : Non, enfin je m'en suis pas vraiment rendue compte et puis c'est trop tôt je pense si c'est vraiment le cas.
- Moi : Vas-y cash je vais l'embrouiller si elle continue à faire durer le suspens tah mes klawi là.
- Samia : Sale foooou, dit pas ça ahaha.
- Moi : Ça me prend le crâne hassoul vas-y on zappe ça là.
- Samia : Bon sinon tu as passé des bonnes vacances ?
- Moi : Au top avec le padre. La prochaine fois on ira ensemble.
- Samia : in shâ Allah, vas-y.
- Moi : Ça aurait été en bombe si tu serais venue.
- Samia : J'aurai pu venir tu sais.
- Moi : Tu serais venue toi ?
- Samia : De fou, je crache pas sur un voyage aux Emirats en plus avec un gars complètement mahboul.
- Moi : Ahaha les gens dès qu'ils me connaissent la seule chose qu'ils retiennent de moi c'est que je suis mahboul. Bande de fou.
- Samia : C'est vrai en même temps.
- Moi : Vas-y ta gueule.
- Samia : Non même pas ! Sinon tout ça là ça t'a fait réfléchir ou pas ?
- Moi : De quoi tout ça ?
- Samia : Tout ce qui s'est passé ces derniers jours là, genre déjà le faite que Ines belek elle soit enceinte. Ça va te faire changé par apport à ça ?
- Moi : Même pas réfléchi et j'ai pas envie de parler.
- Samia : Ok, j'arrête.

On avait continuer de parler, elle me faisait dahak mais elle me cherché trop aussi. Quand elle me parlait je l'écouté même plus carrément, rien que je la regardais en rigolant à chaque fois, zeh. Hassoul un bout d'un moment elle me parlait et zahma elle avait sa tête sur le côté et j'avous j'avais tenté un rapprochement mais vraiment un petit rapprochement, zahma j'avais essayé de lui kissing le cou mais elle s'était reculée en cash.

- Samia : Emir arrête tes conneries !
- Moi : J'ai rien fais !
- Samia : Mais fait pas des qtru comme ça avec moi.
- Moi : Zahma c'est amicale.
- Samia : Non, vas-y je vais rentrée parce que je veux pas que tu fasses des conneries.
- Moi : Détend-toi aussi je vais pas te piloté, pas toi.
- Samia : Ahahahaha c'est quoi ces expressions wsh ? La vérité Emir j'arrive jamais à être sérieuse avec toi, tu racontes trop de conneries ahahaha.
- Moi : Hassoul je dahak, vas-y viens.

Je l'avais prise dans mes bras mais comme d'habitude on en pouvait plus, on était en train de dahak de fou. Elle s'en était pas remise de ce que je lui avais répondu cette folle. Hassoul après ça elle était repartie parce que zahma elle me disait qu'elle avait khaff, qu'elle voulait pas que ça parte en sucette et tout le baratin, elle était chelou elle. Du coup j'étais remonté et il y avait ma sœur qui était dans ses révisions.

- Nina : Je suis contente pour toi si tu as réussi a trouvé quelqu'un qui te canalise.
- Moi : Déjà salam après on parle de ce que tu veux.
- Nina : Excuse mais ça m'a tellement surprise de te voir autant rire avec une mra. Hassoul salam khoya, tu vas bien ?
- Moi : Bien et toi ?
- Nina : Al hamdûli-llah, bba il va comment ?
- Moi : Tranquille il va bien, il a la belle vie lui.
- Nina : Ouais c'est clair, in shâ Allah pendant les vacances là je vais y allée.
- Moi : On ira tous ensemble ouais.
- Nina : In shâ Allah, bon tu veux toujours pas me dire c'était qui la meuf ?
- Moi : Déjà de qu'elle meuf tu parles ?
- Nina : Arrête Emir, tu étais avec une meuf là dès que je suis montée je t'ai vu.
- Moi : Oh aussi il faut arrêter de croire que toutes les meufs avec qui je traîne j'ai envie de heja avec eux.
- Nina : Non c'est juste que c'est la première fois que je te vois autant rire avec une mra.
- Moi : Non mais c'est juste qu'elle me fait dahak et j'aime ça.
- Nina : Ah voilà on en viens, alors elle s'appelle comment ?
- Moi : Oh prends pas le crâne Nina. Hassoul l'argent ça vous a suffit ?
- Nina : Pas tellement on avait déjà plus grand chose quand t'es parti.
- Moi : Comment ça ? Il y a personne qui est venu te donner des billets tout les jours ?
- Nina : Qui ça ?
- Moi : T'es sah ou tu te fous de ma gueule là ?
- Nina : Emir je comprends rien !

J'avais même pas cherché à comprendre, pour moi là ça voulait tout dire si Nina était en train de clairement me dire qu'elle n'avait pas eu d'argent durant mon séjour aux Émirats c'est que forcément il y avait eu une merde avec Najib du coup j'étais directement allé le voir.

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