Chapitre 74 : Le secret du limiteur

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La chouette de Dumbledore s'est envolée vers une destination spécifique avant de déposer la lettre dans un conteneur, qui contenait également de nombreuses lettres. Suite à cela, une personne est venue chercher la lettre et l'a déposée dans un département spécifique du Ministère de la Magie.

Ce département était chargé de vérifier tout courrier envoyé au ministre Fudge et s'assurait que ces lettres n'étaient pas enchantées par de puissantes malédictions. La personne vérifiant le courrier était une sorcière ; elle prendrait le courrier, puis utiliserait un sort spécifique pour vérifier si une malédiction avait été placée sur la lettre.

Cependant, lorsqu'elle a vu que c'était une lettre pour Fudge de Dumbledore, elle s'est arrêtée un très court instant, puis a agi normalement. Cependant, personne n'a remarqué comment elle a réellement pris cette lettre spécifique et l'a placée dans un compartiment spécifique de son bureau : ensuite, la lettre a disparu.

---Pause scène--

Amelia Bones était dans son bureau traitant d'innombrables papiers; il semblait qu'elle était un peu dépassée car elle avait tant de personnes avec qui communiquer - surtout ces dernières semaines.

Sur son bureau, il y avait une petite lampe à flamme bleue ; cette lampe semblait être quelque chose qu'elle utilisait pour décorer son bureau. Soudain, la flamme bleue est devenue verte et une lettre est apparue sur son bureau. En remarquant cela, Amelia fronça légèrement les sourcils en prenant la lettre.

« Une lettre de Dumbledore à Fudge ? murmura-t-elle pour elle-même. Immédiatement après, Amelia a pris un petit miroir sur son bureau, d'un geste de la main, le miroir s'est soudainement agrandi. Quelques secondes plus tard, une personne échevelée apparut dans le miroir : c'était Edward.

Il avait l'air de ne pas avoir dormi depuis des semaines, ni de s'être correctement baigné.

"Est-ce que tu vas bien?" demanda Amelia avec inquiétude sur son visage.

"Je vais bien, juste trop absorbé par mes recherches récentes."

"Je sais à quel point tu es maintenant immortel, mais s'il te plaît, fais plus attention à ton corps."

"Je vais."

Amelia hocha la tête, puis continua: "Je vais t'envoyer une lettre scellée par magie, vois si tu peux l'ouvrir."

Elle a ensuite utilisé la même lampe pour envoyer la lettre de Dumbledore à Edward - qui avait une lampe similaire dans sa chambre. Utilisant sa baguette, il ouvrit la lettre et la lut.

« A-t-il déjà remarqué notre action ? demanda Amélie.

"C'est apparu ainsi," répondit Edward.

"Si rapide?"

"Le directeur n'est pas devenu le sorcier le plus puissant du monde simplement à cause de son talent; l'homme est sage au-delà de toute mesure."

Amelia hocha la tête car elle était d'accord avec cette déclaration. « Alors, avez-vous besoin de mon aide pour faire face à la situation ?

"Ce n'est pas nécessaire. J'ai appris beaucoup de choses avec le conseiller moldu que vous avez acquis pour moi, donc je peux facilement gérer cette situation." Après avoir dit ces mots, Amelia soupira profondément avant de continuer :

"Je ne peux pas croire à quel point la politique et les stratégies moldues sont complexes. Comparées aux petites querelles qui se déroulent au Ministère de la Magie…"

Edward pouvait deviner ses sentiments. Peu importe à quel point un sorcier est ouvert d'esprit, au fond de lui, tous ont toujours une sorte de supériorité sur les moldus - simplement parce qu'ils peuvent créer des miracles avec la magie, alors que les moldus ne le peuvent pas. En conséquence, de nombreux sorciers - même ceux qui ne discriminent pas les moldus - croient toujours que la société des sorciers est plus avancée que les moldus à bien des égards.

Ainsi, sa tante Amelia a vu sa fierté secrète détruite il y a quelques semaines lorsqu'elle a rencontré les conseillers qu'Edward a obtenus pour qu'elle l'aide à diriger le monde à l'avenir.

En tant que certains des moldus les plus intelligents du monde dans tous les domaines possibles, ces gars n'ont même pas pris une heure pour découvrir tant de choses qui ne vont pas avec les lois du monde sorcier de différents pays.

Selon leurs propos, « ces lois étaient tout simplement barbares et une insulte à leur intelligence ». Bien qu'Edward ne se soucie pas de ces choses, sa tante, cependant, a vu sa vision du monde détruite et reconstruite en une seule journée. Heureusement pour Amelia, elle avait le diadème d'Edward, lui permettant d'apprendre rapidement et à peine capable de suivre ces génies.

« Que veux-tu faire de la lettre ? demanda Edouard. Puisque sa tante a dit qu'elle pouvait faire face à la situation, il ne fera rien; il était plus qu'heureux de ne pas avoir à agir et de poursuivre ses recherches.

« Peux-tu refermer pour que Fudge ne remarque pas que quelqu'un a trafiqué ?

"Pas de problème," répondit Edward, qui procéda ainsi. Puis, à l'aide de la lampe, il renvoya la lettre à sa tante.

"Il y a une dernière chose dont je dois m'assurer", a demandé Amelia après avoir reçu la lettre. « Si Dumbledore décide d'utiliser la force pour arrêter notre action, pouvez-vous l'arrêter ?

"Tu n'as pas besoin de t'inquiéter pour ça," répondit nonchalamment Edward, et Amelia fut soulagée par la confiance de son neveu. "C'est bien. Dans un autre ordre d'idées, retournez-vous toujours à Poudlard en tant que professeur dans quelques jours ?"

"Bien sûr. Poudlard jouera un grand rôle dans nos plans," répondit Edward. Ensuite, les deux ont eu une brève conversation avant de mettre fin à leur conversation.

Immédiatement après, Amelia renvoya la lettre de Dumbledore à son emplacement d'origine. La femme chargée de vérifier la lettre pour les malédictions a agi comme si de rien n'était et a secrètement placé la lettre sur la pile qui était étiquetée "sûr" afin que le ministre Fudge puisse les ouvrir sans souci.

Bien que tout semblait normal après cet événement, ce n'était pas vrai. Peu de temps après, une rumeur particulière se répandit rapidement dans tout le Ministère, au point qu'elle atteignit même l'oreille de Fudge.

--Pause scène--

Edward a terminé l'appel avec sa tante, puis il a commencé à penser à lui-même. Il sortit un contrat et l'examina profondément : c'était le contrat qu'il allait utiliser pour acquérir les connaissances et les souvenirs de Dumbledore.

Puisqu'il avait déjà les souvenirs de Grindelwald et de Voldemort, il n'avait pas vraiment besoin de Dumbledore - bien qu'il considère que ce dernier était plus puissant et plus habile que les deux sorciers noirs.

Néanmoins, l'avidité d'Edward pour la connaissance a eu raison de lui, alors il la voulait toujours. En plus de cela, il a déployé tant d'efforts pour obtenir ce contrat, bien sûr, il n'était pas prêt à abandonner maintenant.

"Malheureusement, ce n'est pas le moment," murmura Edward pour lui-même. Il avait prévu quand son taux de réussite serait le plus élevé ; le moment où le directeur était le moins susceptible de résister, ne l'obligeant ainsi pas à recourir à des moyens cruels pour obtenir ce qu'il voulait.

« Bon, revenons à mes recherches. Je pense que j'ai enfin trouvé le secret du Limiteur,' pensa Edward en retournant à son laboratoire, laissant les choses politiques de côté et se concentrant sur ses recherches magiques.

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Titre du chapitre suivant : Petit problème

Harry Potter : Dimensional WizardWhere stories live. Discover now