Chapitre 172 : Callie

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Quand je me réveilla, je vus tout de suite Mlle Vaillant. Elle avait tenu sa promesse. Elle m'expliqua que l'opération s'était bien passer et que ma famille était là. Je voulu parlé mais je n'y arrivais pas donc je commença à paniquer. Elle me rassura et me dit que le médecin arrivait pour justement voir si j'aurais des séquelles de l'opération.

Le médecin pénétra dans la salle de réveille.

- Bonjour, Mlle Caravallo. Comment vous sentez vous ? Est-ce que vous avez mal quelques parts ? Me demanda le médecin.

Je lui fis comprendre que je ne pouvais pas parler. Je recommença à paniquer. Il me parla calmement pour que je me calme.

- Mlle Caravallo, on n'avait discuté de deux choses qui pouvait vous arrivés. Vous vous en rappelez ? Me dit le médecin.

J'hocha la tête.

- Ce n'est que temporaire normalement. Vous allez aussi avoir surement des mots de tête pendant quelques jours mais cela est normal. Je vais regarder vos jambes. Me dit le médecin.

Je le voyais me manipulé mais je ne sentais rien. Je commença à pleurer en silence. Il comprit à ma tête que je ne sentais rien.

- Mlle Caravallo, ce n'est que temporaire car rien n'a été touché pendant l'opération donc calmez-vous. Je sais que cela est dur pour vous surtout que vous êtes une sportive et quelqu'un de très dynamique mais avec le soutien de vos proches et la rééducation, tout vas bien se passer et à votre rythme surtout. Ne chercher pas à forcer car cela ne vous fera pas allez plus vite. Vous allez remonter dans votre chambre. Reposez-vous car vous en avez et en aurez besoin. Je vous revois demain matin pour un contrôle et je vous reverrais dans quelques jours aussi pour votre sortie. La rééducation ne commencera pas avant 2 ou 3 semaines, le temps que vous récupériez un peu. Vous aurez de la chimio ainsi que des rayons encore pendant quelques temps pour enlever la petite partie qui reste de la tumeur. Si cela ne suffit pas nous réopérerons mais je ne pense sincèrement pas que cela soit nécessaire. A demain, Mlle Caravallo. Me dit le médecin.

Je fus remonté dans ma chambre après que le médecin soit partie. Tout le monde arriva quelques minutes après. Mes amours étaient là. Ils étaient impressionnés par tout cela. Mlle Vaillant m'avait dit qu'ils avaient été avertis que cela serait impressionnant.

Nous avons passés un moment ensemble mais j'étais épuisé à force. Medhi voulu rester mais je ne voulais pas. Je voulais qu'il s'occupe des enfants car ils avaient besoin de lui. Medhi comprit la raison de mon refus et mon frère aussi donc mon frère m'assura qu'il allait s'occuper d'eux et les deux grands m'assurèrent qu'ils seraient aussi là pour les jumeaux. Le temps que je sorte et même après le temps que je me rétablisse.

Je ne voulais pas qu'ils mettent en jeu leur relation et ils le comprirent mais m'assurèrent que leur compagnon respectif n'y verrait pas de soucis. Ils partirent et Medhi resta avec moi. Je m'endormis paisiblement.

Le lendemain comme convenu, je vis le médecin et il m'expliqua plus en détail, ce qui allait se passer dans les prochaines semaines voir mois. Il me présenta mon kiné pour dans trois semaines. J'aurais un taxi qui viendrait me chercher si besoin Chez moi, pour m'emmener en chimio ou rééducation à l'hôpital. Medhi demanda qu'on lui explique plus en détail certaine chose. Il s'impliquait beaucoup. Cela me fit sourire un peu ainsi que le médecin.

Le kiné m'expliqua que si un jour, je venais à être épuisé et que je ne me sentais pas de venir. Je devais juste le contacter pour annulé ma séance. Medhi rigola et expliqua « pourquoi », il rigolait donc le médecin ainsi que le kiné le suivirent. C'est vrai qu'il faudrait que je sois mourante ou bien malade pour annuler. Le médecin me rappela quand même que je devais aller à mon rythme sinon cela mettrait plus de temps. Il repartit et je ne le revis qu'une semaine après pour la fin de mon hospitalisation.

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voici le chapitre 172

bonne lecture


Sous la haine, l'amour peut se cacherOù les histoires vivent. Découvrez maintenant