Chapitre 171 : Medhi

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Nous avons lu chacun notre lettre. Les enfants les quatre ensemble, à la fin de la lettre, mes quatre amours avait les larmes aux yeux. Je regarda tout le monde et cela était pareil. Le plus affecté dans l'histoire et qui restait en retrait c'était Alex. Je me dirigea vers lui et le prit dans mes bras.

- Alex, tu ne peux pas tout gérer et si elle ne nous a rien dit c'est pour pouvoir profité de tout le monde et ne pas t'inquiété vu que tu étais en prison. Lui dis-je.

- Mais elle est partit seul au bloc. Elle a dû stresser. Me dit mon pote.

Nous avons entendu une petite voix derrière nous.

- Elle n'était pas seul. J'étais avec elle. Elle avait les larmes de joie pour vous car vous étiez enfin sortie de prison. Et elle vous a pardonné, c'est elle-même qui me l'a dit pendant une de ses chimio. Dit l'infirmière qui était là tout à l'heure.

- Merci. Nous lui avons tous dit.

Je n'avais pas remarqué que tout le monde était vers nous. Elle resta avec nous car elle ne travaillais pas mais était venu exprès comme elle avait promis à Callie. Elle avait mis sa blouse juste pour pouvoir l'accompagner pendant l'anesthésie ainsi que jusqu'au bloc.

Elle nous demanda un peu des choses, sur des moments qui nous ont marqués avec Callie. Nous avons commencé chacun notre tour à raconter une anecdote avec Callie, ce qui donna le sourire à tous. Les enfants étaient content de savoir des choses qu'eux n'avait jamais vécu avec leur mère.

Nous fûmes interrompus au bout de quelques heures par un homme en blouse verte. L'infirmière nous expliqua que c'était le Dr Corvo, c'est celui qui a diagnostiqué sa tumeur et qui suit Callie depuis.

- Bonjour, jeune gens. Mlle Caravallo vient de sortir du bloc et elle est en salle de réveille. Mlle Vaillant, vous pouvez aller vers elle, comme convenu. Elle devrait bientôt ce réveillé. Pour le moment, elle n'est pas réveillée donc nous ne pouvons pas savoir si la parole ainsi que la marche sont touchés. Cela est impressionnant donc prenez votre temps pour y aller surtout pour ses enfants. Elle a un gros bandage sur la tête et le visage un petit peu gonflé mais cela est normale. Elle va être épuisée pendant 1 ou 2 jours mais cela est encore normal. Elle devra continuer la chimio et faire un peu de rayon. Il va falloir être là pour elle car des moments durs, elle en aura encore. Elle était très épuisé en venant ce matin ce faire opérer et je ne pensais pas que cela se passerait aussi bien. Une toute petite partie de la tumeur est encore présente mais devrait partir avec la chimio et les rayons sinon il faudra qu'elle se refasse opérer. Nous dit le médecin.

Nous le remercions et il partit. L'infirmière était déjà partit depuis le début de son discours pour aller vers ma petite femme. La vie était trop courte pour que je perde encore du temps. J'allais faire les choses bien et en grand pour voir ma femme heureuse et réaliser tous ses rêves. Je l'aimais et j'allais faire officiellement d'elle ma femme.

Nous avons attendu que quelqu'un vienne nous dire, que nous pouvions la voir pour y aller. Nous avons marqué un temps d'arrêt avant de rentrer. Je demanda à mes enfants s'il était sûre de vouloir rentrer et sans aucune hésitation, il me répondirent affirmativement.

Elle paraissait tout fragile dans son lit d'hôpital. L'infirmière nous expliqua que Callie n'arrivait pas à parler et à bouger ses jambes pour le moment mais que cela ne serait surement pas définitif. Elle allait avoir de la chimio et des rayons ainsi que de la rééducation. Il ne fallait pas la brusquer car elle était apparemment déjà frustrer de pas faire ses deux choses-là. Quand le médecin lui avait annoncé, elle avait pleuré que nous dit l'infirmière. Elle pouvait communiquer avec nous par écrit que nous expliqua l'infirmière. Nous l'avons remercié et elle nous laissa un peu seul avec Callie.

Les enfants allèrent vers leur mère et lui parlèrent et lui firent aussi des câlins. Alex n'osait pas aller vers sa sœur. Elle tourna la tête vers lui et des larmes coulèrent. Alex s'avança donc vers elle et lui murmura des choses dans l'oreille. Callie commençait à fatigué donc ils décidèrent tous de partirent et de revenir le lendemain. Je prévins Callie que j'allais rester avec elle la nuit jusqu'à sa sortie mais elle refusa. Je lui expliqua que cela n'était pas négociable. Elle regarda en direction des enfants donc je compris que c'était pour cela qu'elle ne voulait pas. Alex comprit aussitôt et lui dit qu'il allait gérer les enfants le soir et la journée sans soucis. Cole et Ryan dirent à leur mère qu'ils dormiraient chez moi ou Alex suivant où voulait dormirent les jumeaux. Elle s'endormit paisiblement après cela.

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voici le chapitre 171

bonne lecture

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Sous la haine, l'amour peut se cacherWhere stories live. Discover now