Chapitre 162 : Callie

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Je demanda à Medhi où étaient les jumeaux. Il m'expliqua que sa mère allait les emmener tout à l'heure car il ne voulait pas qu'il reste tout la journée ici pour pas les affolés avec le bruit des machines et il me prévint qu'il devait partir car il avait un parloir avec Alex. Il me rassura sur le faite que t'en qu'il ne serait pas là, il y aurait forcément un des mecs avec moi. Il le fit promettre au groupe. Il m'embrassa le front et partit.

Tout le monde s'inquiétait de savoir si ça allait ou si je voulais quelque chose. Je les rassura et les prévint que j'étais fatiguée donc que je risquais de m'endormir un peu. Le groupe sorti sauf Arthur et Sam. Ils se mirent vers moi sur une chaise et me regardèrent. Les enfants ne parlaient pas non plus et dès que la machine bipait, je les voyais stresser comme pas possible. Au bout de la 5 fois, je vis Arthur appuyer sur le bouton pour faire venir une infirmière.

- Pourquoi tu as appuyé ? Je vais bien, ne t'inquiète pas. Dis-je à Arthur.

- Je veux être sûr que tu vas bien et que c'est normal. J'y peux rien depuis que je t'ai trouvé chez Alex, je ne peux pas m'empêcher de stresser. Me dit-il.

- Je me doute mais arrête sinon je vais stresser aussi et tu vas stresser encore plus tout le monde. Dis-je.

Quelqu'un toqua à la porte et entra. C'était l'infirmière qui venait voir, ce qu'il y avait. Arthur lui expliqua et l'infirmière le rassura et lui certifia que si je n'allais pas bien, cela ce remarquerait tout de suite et les machine s'emballeraient.

Ils écoutèrent tous calmement et attentivement. Et elle se tourne vers moi, tout en leur parlant.

- Arrêter de stresser sinon, vous allez l'angoisser et si vous voulez qu'elle sorte rapidement d'ici. Ce n'est pas la meilleure solution. Bon Mademoiselle Caravallo, je vous emmène votre collation tout à l'heure. Vous avez l'air fatigué donc reposez-vous un peu. Je compte sur vous jeune gens pour la laisser ce reposé. Dit l'infirmière.

Ils hochèrent juste la tête et je m'endormis un coup, juste après que l'infirmière soit sortie. Je fus réveillé par une infirmière qui m'emmena quelque chose à boire et à manger. Elle proposa à boire aux garçons car le reste n'était pas revenu. Je soupçonne Sam ou Arthur de les avoir prévenus que je m'étais endormie donc de repasser plus tard. Les jumeaux vinrent me voir en fin de journée après l'école et j'ai aussi prévenu Ryan ainsi que Cole, que dès demain ils retourneraient en cours vu que l'un passait son bac et l'autre son brevet à la fin de l'année.

Ils ronchonnèrent mais pas longtemps car Carole les disputa un peu ainsi que Arthur. Les enfants partirent 2h après être arrivé vu qu'il fallait qu'ils mangent et se douche pour pouvoir se coucher pas trop tard. Sam nous prévint Arthur et moi qu'il allait rentrer aussi. Arthur le rassura et lui promit de l'appeler dès qu'il serait rentré chez lui. Sam le remercia et me fit un bisou sur le front avant de partir. Arthur parla un peu avec moi par rapport à ce qu'il s'était passé et essaya de savoir si cela était déjà arriver mais je n'osais pas lui répondre. L'infirmière m'apporta mon plateau repas et dès qu'elle fut ressortit Arthur explosa.

- Callie, j'espère que tu te fou de moi là ? Pourquoi tu n'as jamais rien dit sur ce qu'il se passait ? Tu n'as pas confiance en nous ou quoi ? Me dit Arthur.

- Ce n'est pas ça. J'avais honte c'est tout. C'est humiliant de dire qu'on se fait malmener par celui qui est sensé nous aimer. C'est humiliant de se dire qu'encore une fois, j'ai fait confiance alors que je n'aurais pas dû. C'est humiliant de se dire que encore une fois, je vais devoir tout recommencer à zéro. J'ai fait quoi pour mériter cela. Dit moi ce que j'ai fait pour subir tout cela. Je me fais toujours trahir par les personnes que j'aime. Cela va être qui le prochain à me planter un couteau dans le dos. Ce n'est pas une vie ça. En plus, je n'ai pas compris son comportement car je ne faisais et je ne fais rien de mal. Toi ainsi que les garçons, cela fait des années que je vous côtois sauf les garçons du groupe. Medhi et moi sommes séparé mais c'est normale que je lui parle ou même que j'aille chez lui récupérer ou passer du temps avec nos enfants. Nous sommes liés à vie par nos enfants. Dis-je en larmes.

Arthur vint me réconforter et me rassura sur le faites que je serais bientôt heureuse cette fois mais j'en doute fortement. Medhi arriva un peu après que je me sois remis de mes émotions. Arthur me fit un bisou et partit pour rejoindre Stéphanie. Je ne parla pas avec Medhi mais lui en avait décider autrement.

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voici le chapitre 162

bonne lecture



Sous la haine, l'amour peut se cacherWhere stories live. Discover now