Chapitre 135 : Medhi

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Ma mère m'embrassa et je l'embrassa à mon tour. Elle partit se coucher et je fis la même chose quelques instants plus tard. Quand j'entra dans la chambre, je n'osa pas allumer pour pas réveiller Callie mais en me mettant dans le lit. Je remarqua vite qu'elle n'était pas là. Je me leva angoissé et alla dans la chambre des enfants et les embrassa en même temps mais ne trouva pas Callie. Je me dirigea vers la chambre de Cole, je vis ma petite femme endormie dans le lit de notre fils. Je m'approcha, lui embrassa la tête doucement pour pas là réveillé. Je l'a recouvrit et alla me coucher un peu seul même si je savais que je ne dormirais pas bien car elle n'était pas là.

Le lendemain, j'étais partit avant que tout le monde ne se lève. Je devais trouver une solution pour prouver que Cole n'avait rien fait et je devais aller voir mon fils avant qu'il parte en cours.

Une fois arrivé dans mon entreprise, j'alla directement dans mon bureau. Je réfléchis à qui pouvait m'aider à prouver l'innocence de Cole. Je savais qui je pouvais contacter. Je composa son numéro.

- Allo, Monsieur Amery. Que puis-je pour vous ? Me dit le détective privé.

- Allo, Madame Carmello. J'aurais besoin de vos services. Dis-je.

- Oui, pas de soucis. Expliquer moi de quoi, il s'agit. Dit Madame Carmello.

- Voilà, mon fils vient de se retrouver accusé de vol dans son travail mais il n'a rien fait et j'en suis sure mais pour pouvoir confronter son patron qui est son oncle mais qui est aussi mon meilleur ami, j'ai besoin de vous. Dis-je.

- D'accord. Envoyez-moi par mail toutes les informations nécessaires comme d'habitude et je m'y mets dans la journée. Bonne journée Monsieur Amery. Dit Madame Carmello.

- Bonne journée à vous aussi Madame Carmello et merci de votre aide. Dis-je.

Après avoir raccroché, je partis en direction de la sortie de mon bureau. Je pris l'ascenseur et descendis au parking. Je partis après en direction de chez les parents d'Emilie pour voir mon fils et parler avec lui.

Une fois arrivé devant chez eux, je souffla et sortis de ma voiture pour aller en direction de chez les parents d'Emilie. Je sonna et attendis que quelqu'un m'ouvre. C'est la mère d'Emilie qui vint m'ouvrir.

- Bonjour, Monsieur Amery. Entrer donc. Dit Cécilia Cortez, la maman d'Emilie.

- Bonjour, Madame Cortez. Dis-je.

- Appelez-moi Cécilia. Vous voulez voir Cole ? Me demande-t-elle.

- Appelez-moi Medhi alors. Oui, j'ai besoin de parler avec mon fils, s'il vous plait. Dis-je.

- Suivez-moi. Nous sommes tous dans la cuisine. Dit Cécilia.

- Chérie, c'était qui ? demanda le père de Cécilia.

Quand il me vit, il me souria et se leva pour me saluer. Emilie ouvrit de grands yeux. Cole se retourna donc.

- Papa ? Mais qu'est-ce que tu fais là ? me demanda Cole.

- Bonjour, Monsieur Cortez. Je suis venu pour parler avec toi. Dis-je.

- Bonjour, Monsieur Amery. Appelez-moi Marco. Dit Monsieur Cortez.

- Appelez-moi Medhi alors. Dis-je.

Je salua de loin Emilie, qui me salua à son tour et qui me fit un sourire. Elle est très gentille cette jeune fille. Cole me regarda mais ne bougea pas. Tout le monde quitta la cuisine sauf Cole et moi.

- Je peux m'assoir ? Demandais-je.

- Oui, vas-y. Dit ce que tu veux me dire et comme cela, tu pourras reprendre ta routine après. Dit Cole énervé.

- Cole, je m'excuse de ne pas t'avoir écouté. Je te crois mais sur le coup la colère à prit le dessus. Je fais le nécessaire pour que j'ai des preuves pour confronter Alex mais il faut que tu éclaircisses certaine chose avec moi car mamie m'a parler de certaine chose hier dont je n'étais même pas au courant. Est-ce que tu veux bien que nous en parlions calmement ? Demandais-je.

- Oui, je n'ai rien à cacher. Dit Cole.

- Qu'est-ce que tu sais par rapport à Alex au niveau de ta garde ? Est-ce que tu étais au courant pour les postes que ta mère à refuser ? Dis-je.

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voici le chapitre 135

bonne lecture

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merci encore à ceux qui me lisent et qui prenne le temps de voter.

Sous la haine, l'amour peut se cacherWhere stories live. Discover now