Sous la haine, l'amour peut se cacher

Chapitre 8 : Medhi

Je savais bien que c'était bizarre que mademoiselle la princesse, ne dise rien. Si elle croit qu'elle va faire comme elle veut, elle se trompe grandement. Mon meilleur pote doit se douter, que je ne vais pas laisser passer ça car il me regarde l'air de dire « S'il te plait, ne dit rien. Ça va partir en clash sinon ». Je lui fais un regard « désolé » et me retourne vers mademoiselle la princesse.

- Tu te fou de moi, j'espère. Je décale mes rendez-vous pour toi et toi qu'est-ce que tu fais, tu appelles ton bouffon de service. Je vais être claire avec toi et tu vas bien être attentive. JE T'EMMENE chez le médecin donc rappelle ton chien de garde et dit lui que c'est bon. Dis-je en colère.

- Non mais pincer moi, je rêve là. Tu te prends pour qui espèce d'imbécile. Je suis majeur donc je fais ce que je veux. Premièrement, je vais déjà chez le médecin car Alexandre veux que j'y aille donc me prends pas la tête. Deuxièmement, je ne t'ai pas demandé de reporter tes rendez-vous. Troisièmement, parle mieux de mon fiancé car tu risquerais de ne plus pouvoir te reproduire. Ce qui soit dit en passant ne serais pas plus mal car des mini toi avec des égos surdimensionné, nous nous en passerons tous bien. Dit Callie dans une colère noire.

Je ne pensais pas qu'il était possible de la mettre plus en colère que d'habitude mais apparemment, c'est possible.

- Sa suffit Callie, tu vas parler autrement à Medhi. Présente-lui tes excuses, immédiatement. Dit Alexandre.

Je l'a regarda en rigolant, mademoiselle se décomposer, à l'entente des paroles de son frère.

- Ne rigole pas toi non plus car tu vas faire pareil. Dit Alexandre.

Je me décomposa, ce qui amusa aussitôt Callie.

- Ravale moi vite fait ton petit sourire Callie car j'ai beau t'apprécier beaucoup Alex mais faut pas rêver. Je ne m'excuserais de rien du tout. Elle se comporte comme une princesse. Tu as été trop gentil avec elle, tu aurais dû serrer un peu plus avec elle et lui inculquer le respect de ses ainés. Dis-je calmement.

Alexandre me regarda avec un regard noir, je crois que j'aurais dû la fermer car s'il me regarde comme cela, c'est parce qu'il sait que sa sœur va rentrer dans une colère jamais rencontrer jusqu'à présent et je ne pensais pas que j'arriverais à déclencher ça chez elle.

Callie s'approcha dangereusement de moi et me colla une gifle monumentale. Pire que la seul que je m'étais pris la première fois au tribunal. Elle me regarda avec un regard mauvais, je déglutis difficilement car je crois que je n'ai jamais autant appréhendé la suite des événements. Elle pointa un doigt sur mon torse et me poussa en arrière, en parlant.

- D'où je me comporte comme une princesse ? D'où tu te permets de juger comment mon frère m'a éduqué ? D'où tu te permet de dire que je suis mal éduquer ? Rassure toi tes excuses, je n'en veux même pas. Par contre, dorénavant quand nous serons dans la même pièce, ne me parle pas et ne me regarde pas. Je me suis bien fait comprendre. Dit Callie énervé.

Austin vient d'arriver et viens attraper sa petite-amie. Callie se débat et Austin parle vite fait de loin avec Alexandre et ils partent tous les deux en direction, ce que je suppose être la voiture de son chère et tendre.

Mon meilleur pote se tient la tête, complétement dépasser par les événements. Il se tourne vers moi.

- J'ai bien cru que ton heure était venu. Même moi, je n'arrive pas à la foutre autant en rogne contre moi. Si Austin n'était pas arrivé, je ne donnais pas chère de ta peau car j'avais beau la tirer en arrière, elle résistait. Il y a fallu qu'Austin arrive pour m'aider pourtant j'ai quand même de la force. Dit Alexandre.

- Je suis désolé mec mais dès que je l'a vois ou qu'elle ouvre la bouche, je ne peux pas m'empêcher de répondre. Dis-je.

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voici le chapitre 8

bonne lecture

a demain pour deux autres chapitres

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