Une jeune mercenaire de 26 ans, confrontée à un choix. Signer ce contrat risqué, avec un vieil homme vengeur pour abattre une cible du nom de Dario Lucci.
Corvi, est-t-elle nommé. Signifiant... 𝑼𝒏 𝒄𝒐𝒓𝒃𝒆𝒂𝒖. Sa représentation ? Un oiseau trè...
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𝟤 𝗃𝗈𝗎𝗋𝗌 𝗉𝗅𝗎𝗌 𝗍𝖺𝗋𝖽
𝑻𝑶𝑴𝑴𝑨𝑺𝑶
— Tom ! Viens voir, je crois que j'ai trouvé un truc.
On est sur un cas avec Isadora. Depuis le temps, elle fait finalement ses preuves. Après qu'elle ait tué son ex barjo, elle a fait en sorte que je puisse lui faire confiance.
Et je ne dis pas ça parce qu'on s'embrasse de temps à autre. C'est elle qui le réclame, pas moi. Mais je dois dire que ce n'est pas aussi déplaisant que je le pensais.
J'instaure tout de même les limites. Je ne coucherais pas avec elle, ce n'est pas dans mes plans.
Je lis l'article sur lequel elle est tombée et elle en profite pour me détailler attentivement. Entre temps, on a pu faire un bureau commun ce qui nous permet de travailler comme il faut en tant que coéquipier.
Penché vers l'avant, en appui contre son bureau. Je lis en diagonale et confirme qu'il s'agit d'une piste. Elle en profite pour me claquer un baiser sur les lèvres avant de reprendre ses recherches.
Je reste un certain temps derrière elle, afin de regarder ce qu'elle trouve d'autres. Il m'arrive des fois de la guider encore par moment. Mais elle fait du bon travail dans l'ensemble. Elle doit quand même s'améliorer pour le terrain, elle a encore un peu de mal, mais plus généralement, elle fait le taff.
Je sais qu'elle est intimidée par ma présence et que ça la ralentit alors je retourne m'asseoir sur ma chaise. Elle me lance un regard de sa place, les joues rosies.
— Continue tes recherches, Isadora.
Un petit sourire sur les lèvres, elle se concentre à nouveau. Elle aime le fait qu'on soit face à face, et pour une raison qui m'échappe, elle adore l'idée que je puisse la regarder travailler.
Elle se dit peut-être qu'elle est sexy quand elle est concentrée, j'en sais rien. Mais elle a une certaine confiance en elle qui lui permet de me passer devant par moment.
Finalement, elle n'est pas si chiante. Marzio avait peut-être raison. Néanmoins, je n'irais pas dire que je l'apprécie. Elle est simplement ma collègue, avec quelques avantages puisque je ne laisse pas Niccolò fourrer sa langue dans ma gorge en guise de passe-temps.
