9|Dépendance

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BONNE LECTURE !































BONNE LECTURE !

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𝒁𝑶𝑳𝑨

— Avance je te dis, me dit Marzio, me poussant une main dans le bas de mon dos. Mais garde tes yeux fermés.

Je ris un peu, je me demande bien ce qu'il a encore préparé.

— OK, on y est. Tu es prête ? Dit-il d'une voix excitée.

J'ai hâte d'ouvrir les yeux, alors je hoche la tête rapidement.

— C'est bon tu peux ouvrir.

Ses mains se retirent de mes yeux. Me laissant voir le salon...

Wow...

Je me retourne rapidement vers lui, le visage complètement illuminé et maquillé d'un sourire que je n'arrive plus à enlever. Noël est une période assez importante pour moi, elle me tient à cœur. Elle nous permet de nous réunir et de vivre un bon moment ensemble.

— Comment tu as ...

— Nora et Aura m'ont peut-être aidées. Dit-il, s'appuyant sur l'encadrement de porte les mains dans les poches.

Je lui saute au cou, m'empressant de l'embrasser sans retenue. Mon coeur bat tellement vite... tellement vite pour lui...

— De rien... il murmure contre mes lèvres qu'il a prises comme un merci.

Ses mains agrippant ma taille font envoler tous ces papillons enfermés au creux de mon estomac. Lorsqu'il en remonte une le long de ma colonne, saisissant ma nuque, je me sens presque fondre contre son torse. On se détache, à contre-cœur, le souffle court. Ses yeux me regardent comme si j'étais la septième merveille du monde et mon cœur fait un bon, sortant presque de ma poitrine.

— Zola Zola Zola... tu vas me rendre fou...

Je lui lance un sourire radieux, comblé par l'action qu'il a fait pour moi. Je me détache de lui, sentant immédiatement son manque. Mais je m'avance dans la pièce, ne savant plus où donner de la tête. Entre le sapin qui s'étend à perte de vue jusqu'au plafond tant il semble grand, et les boules de Noël pailletées recouvrant le plafond. Je me sens illuminé par tous ces luminaires !

Ma contemplation s'arrête lorsque la porte s'ouvre dans un fracas. Il est vraiment très tard, probablement proche de quatre heures du matin. Marzio et moi restons en suspens encore sur notre petit nuage, le regard braqué sur la porte. Je vous laisse imaginer quelle fut notre réaction lorsque nous voyons qui la traverse. Nous sommes d'autant plus surpris de voir Giacomo, d'ébouler les escaliers comme s'il allait commettre un meurtre.

CORVI T1/T2/T3Where stories live. Discover now