Chapitre 49

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J'espace un peu la publication des derniers chapitres pour que j'ai le temps d'écrire le début du tome 3. Plus que un chapitre avant la fin de ce tome 2. Vos avis ?

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Nous sommes déjà le 30 juin. Il y a de ça 5 jours, les Diables ont réussi à s'imposer en tête des qualifications pour la coupe du monde. Dries en était très fier et moi aussi d'ailleurs. Il y a également 2 jours on a fêté les 4 ans des jumeaux. Que le temps passe vite. Il s'en est écoulé des choses durant cette dernière année. D'ailleurs, ce coup-ci avec Dries on ne s'est pas séparés. On a suivi l'idée de Dries lors de notre voyage à Londres. Nous emmenons les enfants à Disney World pour une semaine. Nous voici dans l'avion.

Dries : C'est quand même la grande classe les jets privés.
Sophie : Ne t'y habitue pas trop sinon tu vas devoir m'accompagner à mes soirées mondaines.
Dries : Pour le retour, j'ai oublié de te dire que j'ai reversé les billets d'avion.
Sophie : Mon cher mari n'aurait-il pas envie d'aller à quelques soirées ?
Dries : Pour être honnête, je préfère rester chez moi mais bon, si tu y tiens.
Sophie : Bien sur que non. J'ai toujours eu horreur de ces soirées. D'ailleurs, quand je suis retournée chez mes parents l'année dernière, j'ai prétexté ma grossesse pour ne pas y aller.
Dries : A ce que je vois ma fille à bon dos.
Sophie : Comme toi.
Dries : Pourquoi tu dis que j'ai bon dos ?
Sophie : Tu me crois assez stupide pour croire que tu es capable de boucher l'évier du lavabo pour que l'eau coule partout dans la salle de bain ? En plus, la salle de bain des enfants.
Dries : Cette fois là était peut être un peu gros pour me faire porter le chapeau. Mais, tu allais encore les envoyer au lit ou les punir de jeux vidéo. Ils n'avaient pas fait grand-chose.
Sophie : J'ai eu de l'eau partout.
Dries : Et alors, comme si tu en mettais pas toi aussi de l'eau dans la salle de bain.
Sophie : Quand je prends ma douche seule, je n'en mets pas.
Dries : Tu arrives toujours à retourner la situation à ton avantage pour que ce soit de ma faute.
Sophie : L'intelligence, mon chéri.
Dries : Pourquoi diable t'ai-je épousée ?
Sophie : Parce que tu m'aimes.
Dries : Et oui. Et aussi, pour les enfants.
Sophie : Ben voyons. D'ailleurs, puisque tu en parles, va t'en occuper un peu avant qu'ils ne démontent tout l'avion.
Dries : Je pourrais aussi changer Sories et toi aller voir les jumeaux.
Sophie : Et tu pourrais aussi dormir sur le fauteuil de la chambre d'hôtel.

Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase qu'il était déjà après les jumeaux. Ca reste toujours très facile de faire faire les choses aux mecs. Ce genre de chantage marche à tous les coups.
Kwinten : He, p'pa on arrive quand ?
Dries : Dans une heure, environ.
Nathan : C'est trop cool, on va voir Mickey.
Kwinten : Tu parles, t'a peur de Pluto.
Nathan : C'est même pas vrai.
Kwinten : Si tu pleurs comme un bébé quand tu le vois.
Nathan : Plus maintenant.
Kwinten : Si, en plus même Sories elle n'a pas peur.
Nathan : Mais arrête de dire ça.
Dries : Ca suffit vous deux. Votre sœur essaye de dormir.
Nathan : Mais.
Dries : Il n'y a pas de mais, je vous entends encore une fois vous disputer tous les deux, on rentre à Bruxelles.
Kwinten et Nathan : Oui, papa.
Kwinten : Remarque Nate. De toute façon, elle ne fait que de dormir.
Nathan : Ouais, dormir, manger, dormir, manger.
Dries : Les monstres. Elle est petite vous le savez.
Kwinten : Ca fait 6 mois que vous nous dites la même chose.
Dries : En plus, vous exagérez elle souri et fais des sortes de mots.
Nathan : Elle crie. Ce n'est pas des mots.
Dries : Attendez encore quelques temps.
Kwinten : Frangin, de toute façon on n'a pas le choix.
Nathan : Ouais, top-la frérot. Coucou maman.
Sophie : Ca va les gars ?
Kwinten : Oui, oh regarde Sories elle dort.
Nathan : Comme c'est étonnant.
Dries : Les gars, vous n'êtes pas drôles.
Sophie : Qu'est-ce qui se passe ?
Dries : Il se trouve que tu leur as fourni une sœur que ne fait que dormir et manger. Donc ça ne sert à rien. A si, ça les empêche de faire du bruit.
Sophie : Kwinten, Nathan je vous ai déjà expliqué qu'elle va grandir et après elle ne vous lâchera plus.
Nathan : Vivement, qu'on puisse aller jouer avec elle et Fun dans le jardin ou dans la piscine.
Dries : Vous verrez si tout se passe bien, dans une quinzaine d'années vous préférez qu'elle ne vous colle plus.
Kwinten : Je ne pense pas, c'est quand même ma sœur.
Sophie : Bien sur, mais vous aurez grandi et elle aussi. Si bien, que vous aurez d'autre rapports. Plutôt protecteurs vis-à-vis d'elle.
Dries : Dis voir Sophie, tu ne pourrais pas les laisser grandir tranquillement ? Ils grandissent déjà assez vite comme ça.
Sophie : Je sais, mais j'ai tellement hâte de rencontrer leur première copine, les sorties, leurs études.
Dries : Tes fils ont déjà des copines.
Sophie : Ils ont 4 ans. Je parle de vraies histoire. Enfin, s'ils sont comme toi, on n'est pas prêt d'avoir de petits-enfants.
Dries : Forcement, la discussion tourne encore contre moi.
Sophie : Mais, j'ai surtout hâte de voir le papa que tu es. Autoriser sa fille chérie à sortir et à sortir avec un garçon.
Dries : Ne t'en fait, je ne crains rien.
Sophie : Pourquoi tu dis ça ?
Dries : Si elle tient de sa mère j'ai encore du temps devant moi.
Sophie (le frappant) : Tu vas voir.
Dries : De toute façon, ce n'est pas demain que tout ça arrivera donc...
Sophie : Donc, elle n'aura pas le droit.
Dries : Si. Quand elle aura 25 ans et fini ses études. Donc qu'elle aura un métier.
Sophie : Même moi, je n'ai pas attendu 25 ans. Personne n'attend cet âge là pour sortir avec quelqu'un.
Dries : Si ma fille.
Sophie : Tu vis en plein rêve mon cher.
Dries : Tu verras. On en reparlera.
Sophie : Vivement ce moment. Qui risque de faire sauter notre couple.
Dries : De toute façon, tout fait sauter notre couple alors.
Sophie : Je t'aime.
Dries : Moi aussi.

Une fille coach des diables ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant