Une fille coach des diables ?

By MmeMertens

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#Tome 1 terminé #Tome 2 terminé #Fiction terminée Le foot n'est pas réservé qu'aux garçons et en voilà la pre... More

Prologue
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Rien a voir
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Rien a voir
Chapitre 31
Chapitre 32
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
Chapitre 42
Chapitre 43
Chapitre 44
Chapitre 45
Chapitre 46
Chapitre 47
Chapitre 48
Chapitre 49
Chapitre 50
Tome 2 : Prologue et chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
FAQ + petit mot
Sorry
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 32
Belgique - Estonie
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
Chapitre 42
Chapitre 43
Chapitre 44
Chapitre 45
Chapitre 46
Chapitre 47
Chapitre 49
Chapitre 50
Désolée !

Chapitre 48

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By MmeMertens

Notre baby-sitter était déjà là. J'ai remis Sories au lit qui ne s'était même pas réveillée. Les jumeaux sont allés directement à la douche. Moi, j'ai pris une douche également et me suis préparée.

Kwinten : Oh, maman tu es toute jolie.
Sophie : Merci.
Nathan : Ah oui. Ca change.
Sophie : D'habitude je ne suis pas jolie ?
Nathan : Ce n'est pas ça. Là, tu es toute bien habillée et coiffée.
Sophie : Bon, je vais y aller. Vous êtes sages, et pas au dodo trop tard.
Kwinten et Nathan : Non.
Nathan : On est sages comme toujours.
Sophie : Ben voyons.
Nathan : Sories elle fait dodo ?
Sophie : Oui, elle s'est tout de suite endormie.
Kwinten : On ira lui faire un bisou tout à l'heure. A demain.
Nathan : Tu seras rentrée pour le petit-déjeuner ?
Sophie : Oui, quand même. Mais, je ne vais pas rentrer tard.
Nathan : Tu sais que tonton, il nous a acheté des bonbons ?
Sophie : C'est bien lui. Les jumeaux il faut que j'y aille.
Kwinten : Obligée ?
Sophie : Vous êtes des grands maintenant. Et vous ne vous apercevrez même pas que je suis sortie.
Kwinten : Ok. Bisous.
Nathan : Bisous.

Les jumeaux m'ont enfin laissée sortir. Ils sont bien comme leur père, il a le droit de bouger mais quand c'est moi, si ce n'est pas lui qui me demande de ne pas sortir, ce sont les jumeaux qui ne font que de me parler. Mais c'est trop mignon. Je venais d'arriver, je me suis dirigée vers le bar. Quelqu'un est arrivé derrière moi.

Dries : Vous êtes très jolie mademoiselle.
Sophie : Merci, c'est très gentil. Mes fils m'ont dit la même chose avant de partir mot pour mot. Tel père tel fils. C'est bien ça le proverbe ?
Dries (rigolant) : Je crois oui. Mais, ils avaient tout à fait raison.
Sophie (me retournant enfin) : J'espère bien, je ne compte pas rentrer seule se soir.
Dries : Vous attendez quelqu'un donc ?
Sophie : Mon amant.
Dries : Oh, j'espère qu'il sait se battre celui-là. Pas comme l'autre crétin que j'ai flanqué par terre d'un seul coup de poing.
Sophie : Tu n'as plus l'âge de te battre. Comme moi, je n'ai plus l'âge de porter des mini-shorts.
Dries : Disons que tu le fais encore donc moi aussi.
Sophie (l'embrassant) : On va rejoindre les autres ?
Dries : Tu veux boire quelque chose ?
Sophie : Quelle galanterie. Tu me payes un verre ?
Dries : Compte commun. Donc techniquement pas vraiment. Mais, je fais style.
Sophie : Un cocktail sans alcool. Je conduis.
Dries : Ca c'est cool.
Sophie : Je te vois venir. Mais demain t'auras intérêt à te lever et assumer tes gosses. Car je te connais quand tu es bien enivré tu dors jusqu'à pas d'heure. Et surtout tu vas encore m'empêcher de dormir avec tes ronflements. Ah et aussi, tu me vires avec les gosses pour ne pas qu'ils fassent de bruit. En plus, on mange chez Antoine.
Dries : C'est bon tu as fini ou tu en as encore d'autres ? Et d'ailleurs, tant que j'y suis est-ce que tu pourrais des fois arrêter d'employer des termes aussi coincés ? Tu ne peux pas tout simplement dire que je vais rentrer bourré ?
Sophie : Le résultat est le même.
Dries : En plus, ce n'est pas très malin d'aller manger chez Antoine le lendemain d'un match.
Sophie : C'était prévu depuis longtemps.
Dries : Ok, ne t'inquiète pas.

Nous sommes allés rejoindre les autres. Nous étions tous en pleine discussion. Dries étais concentré sur sa discussion avec Toby et Marouane. Et moi, l'autre pétasse qui vient me parler comme si on était les plus grandes amies du monde.

Emilie : Alors, Soph tu es contente, vous avez gagné ?
Sophie : Oui, mais mon prénom c'est Sophie.
Emilie : Pourtant mon chéri t'appelle comme ça.
Sophie : C'est très rare et qui plus est nous sommes amis lui et moi. Ce qui est loin d'être notre cas.
Emilie : Justement en parlant de ça. Je tiens à te dire que je t'ai à l'œil concernant Roberto.
Sophie (en riant) : C'est une blague ? C'est toi qui me dis ça. Alors que tu n'arrêtes pas de draguer Dries ? Tu le dragues depuis qu'il est revenu alors que tu sais pertinemment qu'il est marié. Tu sais, tu n'as jamais supporté qu'il te quitte pour moi. En faite tu as échoué, là où moi j'ai réussi. C'est-à-dire à l'aimer tout simplement.
Emilie : Tu délires complètement ma pauvre. Tu ferais bien d'arrêter l'alcool, en plus ce n'est pas terrible pour une mère soit disant irréprochable.
Sophie : Il est sans alcool mon cocktail, pauvre idiote.

Sur ce Roberto est arrivé vers nous. Emilie, étant très vexée, à prétexté une envie d'aller au toilette. Dries, Toby et Marouane eux se sont dirigés vers le bar.

Roberto (s'asseyant) : Alors ça s'arrange avec Emilie ?
Sophie : Oh, je sens que l'on va devenir les meilleurs amies du monde.
Roberto : Tu n'essaies même pas de la connaître.
Sophie : Oh, non ce n'est qu'une pétasse qui veut récupérer Dries.
Roberto : T'exagères pas un peu quand même ?
Sophie : Oh non. Elle a tout fait pour le récupérer quand il est revenu. Alors que l'on était mariés et même quand je suis rentrée en janvier.
Roberto : Peut être mais maintenant, elle est avec moi.
Sophie : Ca ne veut rien dire. Quentin était bien avec Marie alors qu'il m'a dit que c'était moi qu'il aimait. Et même toi tu m'as dit que tu ne l'aimais pas.
Roberto : Oui, c'est sur mais depuis que tu es rentrée, je n'arrête plus de repenser à toi et à notre relation.

Je suis restée statique à ce qu'il venait de me dire.

Sophie : Attends, tu ne parles pas sérieusement là ?
Roberto : Bien sur que si.
Sophie : Mais, tu sais très bien que...
Roberto (la coupant) : Que tu es mariée, je sais. Mais, vu que je n'ai vraiment pas envie de finir avec le nez cassé. Je ne tenterai rien, de plus je sais que tu aimes Dries et que tu as une famille avec lui. Je m'en veux juste de t'avoir quitté il y a 6 ans.
Sophie : Si ça peut te réconforter, même si on ne s'était pas quittés je l'aurais surement fait. Je l'aimais déjà, nous nous sommes embrassés alors que l'on venait à peine de se quitter toi et moi. On était déjà faits pour être ensembles.
Roberto : J'ai vu ça et je suis content pour toi. J'espère que ce que je t'ai dit ne changera rien entre nous.
Sophie : Bien sur que non, tu as été honnête envers moi. Mais, je suis contente que tu respectes Dries et ma famille.
Roberto : Normal, aller viens on va voir ton mari. Sinon, je vais réellement finir la soirée dans un hôpital.

Nous sommes allés rejoindre Dries qui avait déjà bien bu.

Dries : Oh, voila ma charmante femme.
Sophie : Et voilà, mon cher mari qui en est à son quantième verre ?
Dries : 7 ou 8, ou peut être plus vu que j'ai arrêté de compter à partir de là.
Sophie : Génial.
Dries : Ne t'en fait pas, je gère.
Sophie : Vaut mieux, sinon je fais comme prévu, je rentre avec mon amant.
Dries : Cool, comme ça je n'aurai pas à subir ta mauvaise humeur.
Sophie : Tu sais ce qu'elle te dit ma mauvaise humeur ?
Dries : Non.
Sophie : Que tu vas rentrer à pied.
Dries : Tu ne serais pas capable de me laisser là.
Sophie : On parie ?
Dries : Je gagne toujours.
Sophie : A demain. Bonne soirée les gars.
Dries : A tout de suite.

Il rêve, je ne reviendrai pas. Je suis montée dans ma voiture et me suis dirigée vers chez moi. Après être rentrée, je me suis gentiment allée me coucher en l'attendant. Il va être ravi de ce que je viens de lui faire.

Toby (au bout d'un moment) : Apparemment, elle est vraiment partie.
Dries : Elle doit être sur le parking ou aux toilettes.
Marouane : Non, je crois que Toby à raison. Sa voiture n'est plus là.
Jake : Elle s'est tirée mon vieux.
Dries (fouillant dans ses poches) : Pas grave, j'ai toujours ma voiture.
Toby : Tu as perdu quelque chose ?
Dries : Mes clés de voiture. Je ne les trouves plus.
Marouane : Ca ne va pas être pratique pour l'ouvrir.
Dries : Toujours aussi perspicace Marouane. C'est sur que sans clé. Je ne pourrai pas l'ouvrir. Tu fais vraiment des réflexions stupides.
Toby : Tu es sur de les avoir mis dans ta poche ?
Dries : Oui, sur et certain. (Réfléchissant) Elle me les a pris.
Marouane : Qui ?
Dries : Sophie, voyons. Ca me revient, elle avait passé sa main dans la poche de mon jean mais je n'avais pas vraiment réagit qu'elle y avait piqué les clés.
Toby : Elle aura toujours une longueur d'avance sur toi.
Marouane : Et tu la laisses te passer la main dans ton jean comme ça ?
Dries : C'est ma femme.
Toby : Oh, lala Marouane, vraiment des fois. Je me demande où tu peux encore aller chercher des conneries pareilles.
Dries : Bon, vous avez plus qu'à me redéposer.
Toby : Moi, je suis à pied.
Marouane : Et moi, j'habite en face.
Dries : Donc, si je comprends bien.
Toby et Marouane : Tu rentres à pied.

Dries speaking.

Je devrais être en colère de me retrouver à rentrer à pied à 4h du mat mais c'est tout le contraire. Elle arrivera toujours à me surprendre. Dire que dans trois heures Sories va se mettre à pleurer. Et puis, si je ne me lève pas ça va être ma sauce. En même temps si j'étais rentré en voiture, j'aurais mi moins de temps. Me voila devant la porte, heureusement elle m'a au moins laissé les clés d'ici. Elle aurait bien été capable de me faire dormir dehors. Je rentre dans la chambre et chute dans les jouets de Sories.

Dries : Et merde.
Sophie : C'est bon, je ne dors pas. Je t'attendais.
Dries : Juste pour te foutre encore un peu plus de moi.
Sophie : Bien sur. D'ailleurs, tu es toujours aussi saoul ?
Dries : La marche m'a permis de bien décuver. Merci de t'en inquiéter.
Sophie : Ca va, tu n'as pas eu trop froid ?
Dries : Dans ma voiture, il y a le chauffage mais vu que je n'avais plus mes clés pour l'ouvrir...
Sophie : Je suis désolée mon chéri. Je me suis aperçue que je les avais mises dans mon sac par inadvertance. Seulement en arrivant ici.
Dries : T'es marrante tu sais ?!
Sophie : Allez viens au moins dormir les trois dernières heures qu'il te reste.
Dries : Toi, tu vas dormir les trois pauvres dernières heures qui restent et moi toute la matinée.
Sophie : Ce n'était pas prévu comme ça.
Dries : Rentrer à pied n'était pas non plus prévu.
Sophie : Tu devais faire attention.
Dries : J'ai fais attention.
Sophie : La prochaine fois tu ne parieras pas avec moi. Tu as vraiment cru que j'étais partie alors que je savais pertinemment que tu avais ta voiture ? Tu me prends pour une idiote ou quoi ?
Dries : A la base, j'ai cru que tu étais aux toilettes. Puis, on m'a dit qu'il n'y avait plus ta voiture. C'est la que j'ai cherché mes clés de voiture. Et hop, elles avaient disparues de ma poche comme par magie.
Sophie : Ca ne ta pas déplus pourtant que je les récupère.
Dries : Tu as profité de mon état.
Sophie : Si tu le dis. Au faite, tu n'avais pas tout à faite tord en ce qui concerne Roberto.
Dries : Pas tout à fait tord, qu'essayes-tu de me dire ?
Sophie : Qu'il a peut être encore des sentiments pour moi.
Dries : Heureusement que tu n'as pas eu des dizaines de mecs sinon je finirais sans mains à force de les frapper.
Sophie : Très drôle. Mais, tu ne lui feras rien. Il est tout à fait conscient que tu m'aimes.
Dries : Ouais, enfin ce n'est peut être pas le cas.
Sophie : Oh.
Dries : Je plaisante. Je viens de me débarrasser de Quentin une bonne fois pour toute, lui ça ne devrait pas être difficile non plus.
Sophie : Laisse-le. En plus il est avec ton ex. Tu sais ta copine Emilie ?!
Dries : Que tu as fais pleurer. C'est bien des manières de filles d'agir comme ça. Nous on se bat et vous, vous blessez avec des mots.
Sophie : La douleur est différente mais les mots sont plus blessants. La souffrance éprouvée par les mots atteint plus par rapport à un bon coup de poing ou la douleur diminue rapidement.
Dries : Il est 4H du matin, et tu trouves encore la force de me sortir des trucs pareils.
Sophie : C'est la vérité.
Dries : Je sais, mais si ça ne te dérange pas j'aimerais me coucher un peu. En plus, tu ne veux pas que je lui refasse le portrait donc je ne vois même pas pourquoi tu m'en as parlé.
Sophie : Pour que tu ne t'en prennes pas à lui. Tu le laisses dans son coin comme moi je laisse l'autre pétasse dans son bureau.
Dries : Marché conclu. D'ailleurs, c'est de ça que vous parliez au bar ?
Sophie : Oui, en d'autre chose.
Dries : Ok. Maintenant, je fonce au lit.
Sophie : Tu ferais bien de foncer prendre une douche.
Dries : Et si je n'ai pas envie ?
Sophie : Dans ce cas, je vais aller dormir en bas.
Dries (s'étalant sur le lit) : C'est comme tu veux.
Sophie : Pousse-toi, je n'ai plus de place.
Dries : Tu as dit que tu allais dormir en bas. Et en plus, tu as dit que j'allais ronfler donc t'empêcher de dormir. Conclusion...
Sophie (se levant) : Très bien, j'y vais.

Sophie speaking

Il est 8H30, j'entends les jumeaux arriver tout doucement en bas. Ils ont du aller voir dans la chambre mais ne m'y ayant pas trouvé, les voila qui arrivent.

Sophie : Salut mes bébés.
Nathan : Salut m'man.
Kwinten : On a voulu aller te chercher dans ta chambre mais papa il n'était pas vraiment content que l'on vienne.
Sophie : Comme c'est étonnant. Vous savez quoi ?
Kwinten : Non.
Sophie : Avez-vous envie de vous amuser un peu ?
Kwinten et Nathan : Oui.
Sophie : Alors on mange le petit-déjeuner que je viens de préparer tous les trois. Sories a déjà mangé. Et après on ira embêter papa.
Kwinten : Cool.
Nathan : Il va pas être content mais vu que c'est l'idée de maman.
Kwinten : Il ne pourra rien nous dire.

Nous avons tous déjeuné. Nous venions à peine de finir.

Kwinten : Bon on y va m'man ?
Sophie : Vous êtes pressés ?
Nathan : Oui.
Sophie : Allez viens par la Sories et venez on monte.
Kwinten : On va faire quoi ?
Sophie : Venez dans la salle de bain. Remplissez les verres.
Nathan : Oh on va pouvoir les jeter sur papa ?
Sophie : Bien sur.
Kwinten : Alors là, c'est trop cool.
Nathan : Ouais, c'est trop trop cool.
Kwinten : T'es géniale maman.
Nathan : Ouais, tu es la meilleure des mamans.
Sophie : Merci, vous pouvez me remplir celui-là. Sories a bien le droit d'y participer aussi. Je le jetterai pour elle.
Nathan : Bien sur maman, faut qu'elle participe aussi.
Sophie : Vous ne faites pas de bruit.

Les jumeaux on été d'un silence, même Sories n'a pas bougé. A croire qu'elle savait qu'il ne fallait pas faire de bruit. Les jumeaux sont montés tout doucement sur le lit.

Sophie : Un, deux, trois.

Plouf.

Dries (se réveillant en sursaut) : Ah mais c'est quoi ce bordel ?
Sophie : Attends bouge pas ce n'est pas fini.

Avec la main de Sories nous avons aussi versé tout doucement le contenu du verre.

Sophie : Tout va bien mon chéri ? Tu fais une sale tête.
Dries : Et ça vous fait rire ?
Kwinten : Oh, t'es tout mouillé.
Nathan : T'aurais du voir ta tête.
Dries : Attendez que je vous attrape. Et pourrais-je savoir qui a eu cette charmante idée ?
Kwinten et Nathan : C'est maman.
Kwinten : Donc tu ne peux pas nous disputer.
Nathan : Ni nous punir.
Dries : Tu sais que je t'aime ?
Sophie : Oui, moi aussi. Mais, les jumeaux ont raison, tu aurais du voir ta tête.
Dries : Que t'ais-je fais pour mériter ça ?
Sophie : J'ai dormis en bas et puis les jumeaux m'ont dit que tu n'avais pas été très agréable ce matin.
Dries : Je voulais dormir. Et ce n'est pas vraiment une raison pour faire ça.
Kwinten : Si c'était cool.
Nathan : Pour une fois que l'on a le droit.
Sophie : Bon maintenant que tu es réveillé et mouillé. Tu vas pouvoir aller prendre ta douche.
Dries : J'y vais si tu viens avec moi.
Sophie : Alors là, mon cher mari, tu peux te mettre ta demande où je pense.
Dries : Tu ne serais pas un peu fâchée ?
Sophie : Pas plus que toi hier. A toute à l'heure. Et puis, si des fois tu te rendormais, n'oublie pas que nous sommes armés.
Kwinten : Ouais, regarde mon verre.
Nathan : Et le mien.
Sophie : Et celui de Sories.
Dries : C'est bon, j'ai compris. Arrêtez de me gigoter vos verres sous le nez.
Sophie : En route les jumeaux, on va aller s'habiller. Bisous chéri.
Dries : C'est ça.

La première chose que les jumeaux ont dit quand nous sommes arrivés chez Marie, c'est ce qu'ils avaient eu le droit de faire à leur père ce matin. Antoine, Marie et Matthieu était morts de rire. Et moi aussi d'ailleurs. Dries était moins content. La journée s'est super bien passée comme toutes depuis que nous sommes de nouveau une nouvelle famille. La, je pense qu'il ne pourrait pas y avoir grand-chose qui pourrait nous séparer.

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Plus que 2 chapitres avant un possible tome 3 ? Ca vous dis ?
Des commentaires, des suggestions, des envies pour la suite ?

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