Nous sommes déjà mi-mai, avec Dries nous sommes arrivés à Londres hier. Ces deux dernières semaines sont passées très vite. Aujourd'hui avec Dries, nous avons, enfin lui il dirait plutôt j'ai décidé de visiter le palais de Buckingham. Nous étions à l'hôtel.
Sophie : Dries, tu veux bien te dépêcher ? On va être en retard.
Dries : Il n'y a pas d'heure pour visiter un truc comme ça.
Sophie : Ce n'est pas un truc comme ça, c'est un palais. Je veux être là pour l'ouverture.
Dries : Pour quoi faire ?
Sophie : Car, je veux avoir le temps de tout visiter tranquillement. Et demain j'ai pensé que nous pourrions nous dirigé vers la cathédrale saint paul.
Dries : T'oublie un détail, faut pas abuser non plus. Le palais de Bunckingham c'est bien assez !
Sophie : Mais la cathédrale est tellement belle apparemment.
Dries : Et alors, je suis sur que tu l'as déjà plein de fois en photos. Même moi, je l'ai déjà vue.
Sophie : Oh, ce que tu peux être lourd des fois.
Dries : On ira, dans quelques années. Mais là, je t'emmène déjà au Palais, c'est pas mal.
Sophie : Va pour Buckingham. Mais, si tu ne m'emmènes pas un jour à la cathédrale, j'irai sans toi.
Dries : Pas de problème, cela me fera des vacances.
Sophie : Je t'ai entendu. Bon, ce n'est pas tout mais on va vraiment finir par être en retard.
Dries : Tu sais quoi ?
Sophie : Non, mais tu vas me le dire.
Dries : J'aurais du t'emmener à Hawaii.
Sophie : Dans quelques mois, si tu veux
Dries : Bah voyons. Je bosse moi de temps en temps. Remarque l'avantage d'Hawaii, c'est qu'il n'y a pas grand-chose à visiter donc tu resteras tranquille.
Sophie : Oh, tu peux bien m'emmener en vacances.
Dries : On est ou là ? Ah, oui j'oubliais ce n'est pas des vacances c'est de la culture.
Sophie : Tout à fait.
Dries : Pourquoi j'ai choisit cette destination. En plus, j'avais déjà souffert la première fois. Et moi, comme un con je replonge le nez dedans tout seul.
Sophie : Parce que tu savais que cela me ferait le plus grand plaisir. Et puis tu es avec moi.
Dries : Ben, heureusement. Sinon, je ne vois vraiment pas ce que je foutrais ici.
Sophie : Et pour finir, parce que là on est en retard. Nos dernières vacances ensemble datent de quand les jumeaux avaient 18 mois. C'était tes parents qui les avaient gardés. En plus, on était bien aux caraïbes.
Dries : Oh, oui. Et tu aimerais aller ou la prochaine fois hormis Hawaii ?
Sophie : En Australie. Ca me tente bien.
Dries : Au pays des kangourous, j'aurais du me douter que tu me sortirais un truc pareil. Enfin pourquoi pas.
Sophie : J'aurais très bien pu te répondre Venise aussi.
Dries : Alors, là tu sais très bien que jamais je ne t'emmènerai là-bas.
Sophie : Tu le détestes et tu détestes aussi tous les endroits que nous avons visité tous les deux.
Dries : Pas spécialement tous les endroits, mais j'avoue qu'en particulier je déteste Venise, car il t'y a emmené ce qui est déjà pas mal. Et en plus de ça, il t'a acheté ta bague de fiançailles là-bas.
Sophie : Mais, moi je préfère 100 fois plus celle que je porte en ce moment même.
Dries : J'espère bien.
Dries s'est rapproché pour m'embrasser mais.
Dries : Qu'est-ce qui te prends ?
Sophie : Pas le temps, nous sommes déjà suffisamment en retard.
Dries : Je ne suis pas prêt de remettre les pieds sur le sol Londonien.
Sophie (criant du couloir) : Si bientôt, puisqu'il faut que nous y retournions pour visiter la cathédrale saint Paul.
Dries : Génial. Bon, bah on y va, sinon on va être en retard pour un truc qui n'a pas d'heure fixe.
Sophie : Arrête voir de te moquer. Ce n'est pas marrant.
Nous sommes enfin partis en direction du Palais. Dries à absolument tenu à louer un 4x4 Mercedes, soit disant qu'il ne conduit pas de petite voiture en Belgique donc il ne voulait pas être perdu. Il m'a également dit qu'il voulait tester la conduite à gauche. Et il m'a prétexté aussi le confort, enfin pour faire une heure de route par jour on aurait pu sans passer. Enfin bref, nous voilà enfin arrivés au Palais, il est 9h50 et ça n'ouvrait qu'à 10h00.
Dries : Tu vois tu m'as fait une crise, on est même en avance. Ce n'est pas encore ouvert.
Sophie : Vaut mieux être en avance qu'en retard. Et si tu n'es pas content tu n'as qu'à rester dans ta voiture qui nous coûte hors de prix.
Dries : Tu vois tu t'énerves encore.
Sophie : C'est normal, c'est toi qui m'énerve.
Dries : Tu m'as épousé quand même.
Sophie : Oh, ça va toi.
Dries : Moi aussi je t'aime.
On se mit à rire. Nous nous sommes dirigés vers le Palais, il est véritablement magnifique. Nous venions de finir de le visiter, on remontait tranquillement le jardin vers la sortie.
Dries : C'était vraiment beau.
Sophie : Tu vois qu'entre voir des photos et le voir en vrai c'est magnifique.
Dries : La Cathédrale attendra notre prochain séjour.
Sophie : Oh, t'es chiant.
Dries : Mais, tu m'aimes.
Sophie : Malheureusement oui.
Dries : Comment ça malheureusement ? Tu devrais être contente que je sois dans ta vie.
Sophie : Bah voyons, et toi de m'avoir dans la tienne.
Dries : C'est vrai. Si tu n'étais pas là, je ne sais pas comment je ferais mon linge, la maison, à manger. Et plein d'autres choses.
Sophie : Mais, tu devrais te méfier. Le divorce te pend au nez.
Dries : Tu es la femme la plus merveilleuse qu'il m'ait été donné de rencontrer dans ma vie.
Sophie : Pas la peine d'en faire des tonnes.
Dries : J'adore t'énerver.
Sophie : Oui, comme ce matin.
Dries : Tout à fait.
Sophie : Dit voir, tu sais je veux le même château.
Dries : Alors, vends la maison de ta grand-mère, de tes parents, la notre et endettons-nous pour les générations à venir.
Sophie : T'es nul.
Dries : Et oui. Mais, je ne dit que la vérité.
Nous sommes repartis du Palais de Buckingham. Nous avons décidé de repasser à l'hôtel se laver et pour appeler les enfants. Nous avions mis le haut parleur.
Kwinten : Allo, maman ?
Sophie : Oui, c'est moi mon chéri.
Dries : Et Kwinten, de toute façon ça ne pouvait pas être moi qui appelle. N'es ce pas ?
Sophie : Dries laisse-les. Leur maman leur manque.
Dries : Et moi alors ?
Nathan : Toi aussi papa tu nous manque. Mais toi tu pars des fois pour tes matchs.
Kwinten : Donc on a l'habitude que tu ne sois pas là. Mais maman, elle ne nous laisse jamais.
Dries : Et voilà, tu arrives toujours, même à l'autre bout du pays, à être la meilleure des mamans.
Sophie : C'est comme ça, sois pas jaloux.
Dries : Sinon, ça va les monstres ?
Kwinten : Oh, oui. Vous devriez partir plus souvent.
Dries : Et maintenant, ils nous virent.
Nathan : Bah oui, les papis et les mamies, ils nous achètent pleins de trucs. Et on ne mange plus de légumes, c'est trop cool.
Dries : Et les gars, moi aussi je n'en mange plus en ce moment.
Kwinten : C'est cool hein papa ça ?
Sophie : Vous êtes pénibles de vous liguer tous les trois contre mes légumes, ils ne vous ont rien fait. Et Sories en mange.
Dries : Elle, elle n'a pas le choix. Enfin comme nous quoi.
Nathan : T'en fait pas ma maman, on les remangera quand tu rentreras. D'ailleurs, vous rentrez bientôt ?
Sophie : Dans cinq jours.
Kwinten : Oh c'est encore long.
Dries : Il y a cinq minutes, ils nous viraient et là on leur manque.
Nathan : Bah oui, ce n'est pas pareil sans vous.
Sophie : Et votre sœur comment elle va ?
Kwinten : Oh, bien. Les mamies et tata, on fait les boutiques pour elle pendant que nous on est allés jouer au foot tous les six avec tonton, Antoine et Matthieu.
Sophie : Vous vous amusez bien alors ?
Nathan : Oui, ça va.
Kwinten : Et tu sais maman ?
Sophie : Non, qu'est-ce qui se passe Kwinten ?
Kwinten : Les mamies nous ont emmené chez tata pour nous coiffer. On était trop beau avec le gel dans les cheveux.
Nathan : Ouais, on a fait comme papa.
Sophie : Tu entends ça, ils ont fait comme papa.
Dries : C'est bon, j'ai entendu.
Kwinten : Et on a même coupé un peu les cheveux de Sories.
Dries : Tu entends ça, il ont coiffé ta fille aussi.
Sophie : Ce n'est pas drôle, arrête de te moquer. J'en conclu que vous allez très bien.
Nathan : Oh, oui. Mais j'avoue que les papis, ils ne sont pas aussi résistants que papa quand on joue dehors ou dans la piscine.
Dries : Je suis le plus fort c'est pour ça.
Sophie : Je vais faire comme si je n'avais rien entendu.
Kwinten : Et tu sais maman, même ta maman à toi elle est venue jouer dans la piscine.
Sophie : Ma mère est venue jouer avec vous dans une piscine ?
Nathan : Oui, on a sauté sur eux, c'était trop bien.
Sophie : Alors là j'aurais aimé voir ça. Ma mère en train de jouer dans une piscine. Elle qui m'a toujours interdit de jouer dans la piscine.
Dries : C'est un peu fait pour ça.
Sophie : Elle me disait toujours « la piscine c'est fait pour faire des longueurs, pour entretenir sa forme, rien d'autres ».
Kwinten : T'inquiète maman, on a pris des photos.
Nathan : Ouais, on vous montrera tout. Et vous c'est bien ?
Sophie : Demandez à votre père.
Kwinten : Papa, c'est bien Londres ?
Dries : C'est extraordinaire. J'en suis le plus grand fan.
Sophie : Dries.
Dries : Bah quoi ?
Sophie : Bon, mes chéris on va vous laisser. On va aller diner nous.
Kwinten : Des légumes verts papa.
Nathan (tapant dans la main de son frère) : Bien dit Kwinten.
Dries : Ici, je choisi mon repas.
Nathan : Nous aussi.
Dries : Bisous les monstres et vous faites attentions à tous les grands-parents et à votre sœur.
Kwinten : T'en fait pas on gère.
Sophie : Dans ce cas, je ne me fais aucun souci. Bisous, mes amours je vous aime fort.
Kwinten et Nathan : Nous aussi, on vous aime.
Sophie : Vous embrassez Sories pour nous.
Kwinten : Oui, maman.
Dries : Aller, raccrochez. Sinon, votre mère ne le fera pas.
Nathan : Bisous m'man.
Kwinten : Bisous p'pa.
Sophie : Bis... (Bip, bip, bip) Ils ont raccrochés.
Dries : Heureusement, sinon dans cinq heures on y était toujours.
Sophie : Bon, et si nous nous dirigions vers les légumes verts. Vu qu'apparemment ils te manquent.
Dries : J'adore mes enfants ainsi que leur maman, donc partons en directions des légumes verts.
Nous avons décidé de manger au restaurant de la tour de Londres. Nous étions entrain de diner.
Sophie : Londres, est vraiment magnifique. Il faudra qu'on y emmène les enfants.
Dries : Oui, mais attendons qu'ils soient grands pour qu'ils en profitent. Et avec un peu de chances nous serons en majorité pour éviter de visiter.
Sophie : Ca ne veut rien dire.
Dries : Nous sommes trois contre deux. La majorité l'emporte.
Sophie : Refait moi une fille alors, comme ça égalité parfaite.
Dries : Tu sais que tu as un sacré sens de l'humour mais je t'aime pour ça aussi. Mais là, je ne peux rien faire pour toi. Par contre, fin juin après la fin de la saison et pour l'anniversaire des jumeaux. J'aimerais que nous allions à Disney World avec toute la famille.
Sophie : Yes, c'est une bonne idée. Ca sera vraiment chouette.
Dries : Génial. J'étais sur que tu dirais oui.
Sophie : Qui veut aller à Disney, les enfants ou le papa ?
Dries (rigolant) : Les enfants bien sur.
Sophie : mouais, je ne suis pas vraiment convaincue.
Dries : Sinon, d'ici nous avons une super vue sur Londres.
Sophie : Changement de sujet. Mais, tu as raison la vue est splendide.
Dries : Ca nous fait du bien de nous retrouver que tous les deux.
Sophie : Oui, même si les enfants me manquent et que je me sens un peu perdue sans eux.
Dries : Moi, c'est pareil.
Sophie : Mais, nous devrions faire ça plus souvent.
Dries : A vos ordres Mme Mertens.
Nous discutions toujours quand mon portable me signala que je venais de recevoir un message.
Dries : C'est qui ?
Sophie : Tu es curieux.
Dries : Méfiant, nuance.
Sophie : Si je te dis qu'ils sont trois et que tu les aime plus que tout ?
Dries : Mes enfants. Enfin, nos enfants.
Sophie : Tiens regarde.
Nous lisions le sms : Hello, papa et maman. Juste un petit aperçut de nous tout beau. Vous nous manquez et on vous aime fort tous les deux. A bientôt. Gros bisous.
Dries : Ils ont fait la même coupe de cheveux que moi.
Sophie : Sauf que les leurs sont plus courts. Mais Mar fait toujours des miracles.
Dries : Ils sont trop mignons.
Sophie : Ils me manquent.
Dries : Je sais. Mais profitons car quand tu rentreras au bout d'une heure tu ne les supporteras déjà plus.
Sophie : Le pire c'est que je sais que tu as raison.
Nous avons fini le repas. Et nous nous baladions tranquillement dans les rues de Londres. Nous voici de retour à l'hôtel.
Sophie : Tu as vu, je ne suis même pas fatiguée.
Dries : Moque-toi. Demain, on va où ?
Sophie : Je ne sais pas, mais je pensais qu'on pourrait peut être rester ici. A moins, que tu aies quelques trucs à visiter d'urgence.
Dries : Aucune urgence en visite. J'adore cette idée.
Sophie : J'en étais sure. Comment as-tu pu attendre tout ces mois sans sexe ?
Dries : Je ne sais pas trop. Je n'en ai aucune idée. Mais, j'ai réussi.
Sophie : Dit voir Dries, je ne me sens pas très bien. Tu ne trouves pas que j'ai encore pris de la poitrine, à mon avis je crois que je suis enceinte. Finalement, tu viens de me donner l'égalité avec ma future petite fille.
Dries (paniqué et parlant très rapidement) : Quoi, tu as fais un test ? Je croyais que tu ne pouvais plus ? Enfin, ce n'est pas grave, c'est pour ça que tu m'as parlé d'enfants tout à l'heure. Mais on va l'appeler comment et la maison est trop petite ? Si c'est un garçon j'aime bien Nohlan et pour ta fille, aucune idée.
Sophie (rigolant) : C'était une blague.
Dries : Ce n'est pas drôle.
Sophie (rigolant toujours) : T'aurais du voir ta tête. Cependant Nohlan, j'aime bien.
Dries : J'y avais pensé quand tu étais enceinte de Sories. De toute façon, je ne pensais qu'à vous quatre. Et je voulais un prénom commençant par la lettre N.
Sophie : Tu aurais été content si ça avait été un autre garçon ?
Dries : Bien sur que oui, même si j'avoue que j'avais une préférence pour une fille. Mais, maintenant passons aux choses sérieuses, vu que tu viens de me faire une blague, tu deviens mon esclave.
Sophie : Et si je n'ai pas envie ?
Je me suis mise à courir dans la chambre mais il réussit à me rattraper. On s'est vraiment bien éclatés le reste de la semaine. L'avant dernier jour, on a décidé d'aller faire du shopping.
Dries : Tu sais bien que je déteste le shopping.
Sophie : Aller, c'est pour les enfants. Ta belle-sœur chérie et nos parents. Tu connais Mar, si tu ne lui ramènes rien de Londres. Elle va te faire vivre l'enfer.
Dries : Je sais, mais avoue que c'est pour toi aussi.
Sophie : T'as tout deviné.
Nous faisions du shopping quand.
? : Excusez moi, mais vous êtes Dries Mertens ?
Dries : Oui, c'est bien moi.
? : Je pourrais avoir un autographe.
Dries : Bien sur, c'est quoi ton prénom ?
? : James.
Dries : A James, amicalement Dries Mertens.
James : Mme Mertens, je peux en avoir un de vous aussi. Je vous adore en tant que coach.
Sophie : Merci beaucoup.
Je lui fis son autographe.
James : Merci beaucoup à vous deux. Mes copains ne vont pas en revenir.
Dries et Sophie : Au revoir.
Sophie : Il était gentil ce gamin.
Dries : Ouais, on va dire ça.
Sophie : Qu'est-ce qu'il y a encore ?
Dries : Tu as vu comment il t'a regardée ?
Sophie : Tu es jaloux parce qu'il m'a complimentée et pas toi ?
Dries : Attends, il m'a carrément mis à l'écart. Il n'avait d'yeux que pour toi.
Sophie : Ton ego, vient d'en prendre un coup.
Dries : Ce n'est pas ça, mais en plus il t'a dit je vous adore en tant que coach. Heureusement qu'en plus, il ne t'adore pas pour d'autres choses.
Sophie : Ce que tu peux être jaloux. Mais, ça fait plaisir quand même. Aller, dis-toi que même à Londres, on nous reconnait.
Dries : Et oui, on va dire que je suis mondialement connu.
Sophie : Tu vois bien que moi aussi. Et puis, c'est quand même grâce à moi que les brugeois ont été champions de Belgique.
Dries : Oui, mais j'étais dans l'équipe.
Sophie : Conclusion, on est forts tous les deux.
Dries : Exacte. Et si nous rentrions car malheureusement nous devons faire nos valises pour rentrer.
Sophie : C'est vrai que c'est déjà la fin, mais nous allons retrouver nos monstres.
Dries : Tout à fait. C'est ce qui nous permet de rentrer sans trop de difficultés. De savoir que l'on va les retrouver tous les trois.
Sophie : Ouh, le papa à le temps long de ses enfants.
Dries : Ben, oui. Depuis qu'ils m'ont quittés avec toi pour Paris, depuis là j'ai horreur d'être loin d'eux.
Sophie : Et moi de toi.
Dries : Bisous.
Sophie : Avec grand plaisir.
Ce séjour à Londres nous aura vraiment fait du bien. Nous avons bien rigolé et nous avons surtout bien visité. Même si Dries ronchonnait, ce voyage lui a extrêmement plu aussi.