Une fille coach des diables ?

MmeMertens tarafından

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#Tome 1 terminé #Tome 2 terminé #Fiction terminée Le foot n'est pas réservé qu'aux garçons et en voilà la pre... Daha Fazla

Prologue
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Rien a voir
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Rien a voir
Chapitre 31
Chapitre 32
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
Chapitre 42
Chapitre 43
Chapitre 44
Chapitre 45
Chapitre 46
Chapitre 47
Chapitre 48
Chapitre 49
Chapitre 50
Tome 2 : Prologue et chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
FAQ + petit mot
Sorry
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 32
Belgique - Estonie
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 42
Chapitre 43
Chapitre 44
Chapitre 45
Chapitre 46
Chapitre 47
Chapitre 48
Chapitre 49
Chapitre 50
Désolée !

Chapitre 41

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MmeMertens tarafından

Nous sommes début mai. Cela fait exactement deux semaines que je me suis remise avec Dries. Autrement dit, deux semaines que nous pourrions être en couple. Nous le sommes sauf sur un point. Dries ne veut toujours pas que l'on couche ensemble. Il ne cesse de me dire qu'il préfère attendre le bon moment, et je me demande pour lui ce que c'est le bon moment. Aujourd'hui, Dries est comme tous les jours à son entrainement. Nous sommes en milieu d'après-midi quand il m'appelle.

Sophie : Allo ?
Dries : Bébé, c'est moi.
Sophie : Je m'en doute.
Dries : Fiche-toi de moi.
Sophie : Un peu quand même. C'est comme si moi quand je t'appelais je me présentais. Je sais très bien que tu m'as en visuel et mon prénom s'affiche.
Dries : Pas ton prénom.
Sophie : Mon surnom, si tu préfères.
Dries : C'est bien ça.
Sophie : Mais, je me doute que tu ne m'as pas appelée pour ce genre de conversation.
Dries : Non, c'est sur que ce n'est pas pour...
Sophie (criant) : Kwinten, laisse ta sœur. Désolé, tu disais ?
Dries : Ca n'a pas d'importance. Donc, je t'appelle...
Sophie (le coupant) : Deux minutes.
Dries : J'attends.
Sophie : Les jumeaux, vous ne pouvez pas rester tranquilles deux minutes ?
Kwinten : Tu as dit que l'on allait au parc.
Sophie : On y va, je termine juste la conversation avec votre père.
Nathan : C'est papa ?
Sophie : Oui.
Kwinten : Donne le téléphone qu'on parle à papa.
Nathan : Aller maman s'il te plait.
Sophie : Dries, tu es toujours là ?
Dries : Oui.
Sophie : Les gars veulent te parler, je te les passe.
Dries : Ok, envoie-les. Mais, après j'aimerais pouvoir te dire le motif de mon appel.
Sophie : Je m'en doute, après je suis toute à ton écoute. Et tu sais bien que tant que je ne te les aurai pas passés, ils ne vont pas me lâcher.
Dries : Je sais, passe-moi les.
Kwinten : Hello, papa.
Dries : Salut les monstres, ça va ?
Nathan : Toujours.
Dries : Vous avez passé une bonne journée ?
Kwinten : Oh oui. On a fait des trucs intéressants.
Dries : De quels genres.
Nathan : On n'a pas fait de conneries.
Dries : Ca j'en doute. De toute façon, si vous ne me le dites pas, votre mère le fera pour vous.
Kwinten : On a juste un peu joué dans la chambre de Sories, avec ses jouets.
Dries : Je suppose qu'elle était en train de dormir.
Nathan : Oui, mais on a fait doucement. C'est elle qui s'est réveillée toute seule.
Dries : Ca j'ai du mal à vous croire, enfin ce n'est pas très important.
Kwinten : Bon, on te repasse maman.
Nathan : Bisous papa.
Dries : Bisous les gars.
Sophie (s'adressant aux jumeaux) : C'est bon les gars ?
Kwinten : Oui, maman tiens. Viens Nate, on monte dans la chambre.
Sophie : Dries ?
Dries : Oui, je suis toujours là. Heureusement que Eden, n'est pas trop chiant sinon je me serais déjà fait virer.
Sophie : Ne t'en fait pas, il ne va pas virer son meilleur joueur.
Dries : C'est pour ça que j'en profite.
Sophie : N'abuse pas quand même de sa sympathie.
Dries : Ne t'inquiète pas pour ça.
Sophie : Sinon, vas-tu pouvoir enfin me dire pourquoi tu m'as appelée ?
Dries : Est-ce que ce soir tu peux me rejoindre au terrain ? On risque de finir vers 19H, et Toby ne peut pas me ramener se soir.
Sophie : Tu ne peux pas rentrer à pied ?
Dries : Ne pourrais-tu pas être une femme sympathique ?
Sophie : C'est bon, j'ai compris. D'accord je passerai te récupérer.
Dries : Viens pour 19H, on devrait avoir fini.
Sophie : D'accord, mais après on emmènera les enfants au McDo.
Dries : En fait, non. J'ai demandé à Marie de venir garder les enfants. Elle vient pour 18H30.
Sophie : Pourquoi as-tu demandé à Marie de venir garder les enfants ?
Dries : J'ai pensé que l'on pourrait se faire un truc après. Rien que tous les deux.
Sophie : Ca c'est une excellente idée.
Dries : Bon, ce coup-ci il faut vraiment que j'y retourne. Eden, me fait les gros yeux.
Sophie : Vas-y cours. A tout à l'heure. Bisous.
Dries : Bisous.

Le reste de l'après-midi se passa très vite. J'avais fait à mangé pour les enfants. J'ai mis une petite robe et m'étais lissé les cheveux. Ne sachant pas où j'allais, valait quand même mieux que je n'ai pas l'air trop ringarde. Il est à présent 18H28 et Marie comme toujours est pile à l'heure.

Sophie : Salut.
Marie : Coucou comment tu vas ?
Sophie : Très bien.
Marie : Tu es ravissante.
Sophie : Merci, mais tu sais que tu es ma belle-sœur préférée ?
Marie : Je ne dirai rien.
Sophie : Tu n'es pas drôle.
Marie : Tout ce que je peux te dire c'est que tu vas adorer. Et que tu as définitivement changé Dries.
Sophie : On va dire que je te comprends, même si je n'ai rien compris.
Marie : Tu vas comprendre très vite, ne t'en fait pas. Et fait nous confiance. Bon maintenant, où sont mes monstres chéris ?
Kwinten : Ici tata.
Nathan : Tonton, il n'est pas là ?
Marie : C'est un secret et je vous le dirai quand votre maman sera partie.
Kwinten : Cool. Tu pars quand maman ?
Sophie : Vous me virez ?
Nathan : Oui.
Sophie : Sympa.

Nous avons discuté un moment avec Marie avant que je parte. Finalement, j'ai croisé Antoine et Matthieu les mains pleines de pizzas, voilà où ils étaient. Les enfants mangeront mes légumes demain car entre pizzas et légumes, les connaissant... Il est maintenant 19H, je viens de me garer devant le stade, Dries n'est toujours pas sorti. Je décide donc d'essayer de le joindre sur son portable. Je suis tombée sur sa messagerie mais il m'a rappelé aussitôt.

Dries : Bébé, viens dans le stade. Je n'ai pas encore fini.
Sophie : Ok, j'arrive.

Je viens de pénétrer sur le terrain. Celui-ci n'était plus qu'éclairé que par les bougies d'une table au milieu du terrain. Dries se tenait là, avec un magnifique ensemble.

Sophie (en se rapprochant) : C'est en quelle occasion ?
Dries (se rapprochant en même temps d'elle) : Pour nous. Quel jour sommes-nous aujourd'hui ?
Sophie : Le 3 mai.
Dries : Souviens-toi de ce jour, il y a 6 ans de ça. Nous avons couché ensembles pour la première fois ici, et ce, jour pour jour. J'ai pensé que nous pourrions le refaire ici.
Sophie (après l'avoir embrassé) : Tu es complètement fou mais c'est pour ça que je t'aime.

Nous nous sommes installés à table.

Sophie : Comment t'as pu organiser ça, sans que je m'en rende compte ?
Dries : Si tu l'avais su, ça n'aurait plus été une surprise et ça aurait été moins magique. Pour te répondre, Eden a profité que le directeur ne soit pas là pour finir l'entrainement plus tôt. Marie nous a fait à mangé et Molly la femme de ménage d'ici m'a aidé à tout préparer.
Sophie : Echange de quoi ?
Dries (rigolant) : Ce que tu peux être jalouse. Elle est à l'âge de ma mère. Mais, je lui ai dis qu'elle pourrait emmener son fils à un de nos entrainements. Il est fan de notre équipe, alors je lui ai proposé qu'il vienne jouer une fois avec nous.
Sophie : Tu es vraiment l'homme parfait.
Dries : Je sais.
Sophie : Je rectifie, tu serais l'homme parfait si tu arrêtais de te faire des compliments.
Dries : Encore une fois, c'est ce que fait mon charme. Par contre le seul petit truc, c'est que demain matin, il faudra que l'on range tout.
Sophie : Peu importe. C'est magnifique.
Dries : Et encore, tu n'as pas tout vu.
Sophie : Comment ça ?
Dries : Il y a aussi une surprise dans les vestiaires.
Sophie : Je n'aime pas les surprises, tu pourrais me le dire ?
Dries : Tu verras bien. Et pas besoin de me faire du pied, je ne te dirai rien.
Sophie : Bon, bah on mange alors ?

Nous étions en train de manger le repas qu'avait préparé Marie. D'ailleurs, elle s'était surpassée car son repas était vraiment excellent. Nous discutions tranquillement de tout et de rien quand...

Dries : Je t'aime.
Sophie (déboussolée) : Moi aussi, je t'aime. Mais ça te prends souvent de me dire ça au plein milieu d'une conversation ?!
Dries : En temps normal, cela ne me viendrait pas à l'idée. Mais il était exactement l'heure à laquelle je te l'ai dit pour la première fois et en ces lieux.
Sophie : Tu as vraiment gardé tous ses détails en tête ?
Dries : Tu es la première et la seule femme à qui je l'ai dis. Hormis Marie, et encore. Je ne pouvais pas oublier.
Sophie : C'est vraiment romantique. Je comprends mieux pourquoi Mar m'a dit tout à l'heure avant que je ne parte, que je t'avais vraiment changé.
Dries : Mais, pour rien au monde je n'échangerais ma vie.
Sophie : Moi, non plus. Je t'aime trop.
Dries : Moi aussi.

Nous avons continué le repas tranquillement.

Dries : Es-tu prête à passer à la suite ?
Sophie : Avec plaisir.

Je l'ai suivi jusque dans les vestiaires. Il avait mis une couverture par terre avec des pétales de roses rouges qui nous emmèneraient jusqu'à la douche.

Sophie : Je suppose que tu n'as pas fait tout ça pour qu'il ne se passe rien entre nous ?
Dries : C'est à toi de voir. Je ne te force en rien.
Sophie : Et tout cela sera plus romantique que la première fois.
Dries : Ca c'est sur. En même temps ce n'est pas difficile de faire mieux.
Sophie : Peut être, mais la première fois reste celle qui nous marque à tout jamais. Celle que l'on n'oublie pas quand on le fait avec l'homme de notre vie.
Dries : Tu sais, je me suis toujours demandé quand on l'aurait fait, si Quentin n'avait pas débarqué ou même si cette nuit aurait été aussi magique que celle que l'on a passé.
Sophie : Pour moi, il n'y aurait pas eu de plus belle façon de le faire. Ni de plus bel endroit. C'est ici que tout à commencé et je suis convaincue que c'est ici que nous finirons notre vie ensembles.
Dries : Moi aussi. Pour le meilleur et pour le pire.
Sophie : Laissons le pire derrière nous, on a déjà donné. Allons que vers le meilleur.
Dries : Pour une fois, je ne te contredirai pas. Dirigeons-nous vers le meilleur. Et si nous allions commencer le meilleur de notre vie sous cette douche ? Nous pourrions voir si les années t'ont rendues moins souple.
Sophie : Tu oses insinuer que j'ai perdu de mes facultés de souplesse ? En même temps, je t'ai donné trois enfants.
Dries : Cette réponse est facile. Mais, ne t'en fait pas, je t'aime quand même.
Sophie : Tu vas voir, je vais te prouver que je n'ai pas si vieilli que ça. Et si ça se trouve, c'est toi qui n'es plus à la hauteur de tes facultés.
Dries : La, aucune chance. Je te signal que je n'ai rien fait depuis que tu m'as quitté.
Sophie : Moi non plus. Ce qui peut être encore plus intense.
Dries : Allons voir cela.
Sophie : En plus, ce coup-ci Quentin ne m'attend pas. Par contre, je n'ai pas d'affaires de rechange cette fois-ci.
Dries : Je t'en ai pris.
Sophie : Là, tu m'épates. Tu as vraiment pensé à tout.
Dries : Oui, je ne voulais que rien ne puisse gâcher notre soirée de retrouvailles.

Nous nous sommes embrassés et nous avons fait l'amour comme pour la première fois sous cette douche. Nous étions déjà en pleine nuit, nous avons beaucoup discuté de la façon dont nous voyons notre avenir tous les cinq. Après ça, nous nous sommes levés pour tout ranger.

Sophie : Tu avais raison d'avoir voulu attendre. C'était encore mieux.
Dries : Tu vois que je suis toujours un dieu au lit.
Sophie : Et moi, je suis toujours aussi souple.
Dries : Tu n'aurais pas quelques courbatures ?
Sophie (souriant) : Un peu, j'avoue. Mais le sol est dur.
Dries : Moi, pareil. Je crois que finalement nous devons admettre que nous ne pourrons pas le faire pour l'anniversaire de nos 30 ans.
Sophie : A moins qu'ils installent un lit dans la douche, autrement cela ne sera pas possible à mon avis. Mais, rien ne nous enlèvera ce qui s'est passé.
Dries : Hé oui, mais tu sais peut être que nous serons encore en forme dans 24 ans.
Sophie : Prenons rendez-vous et on verra bien.
Dries : Même si nous ne sommes plus ensembles. On viendra quand même.
Sophie : Tu es très optimiste sur notre vie.
Dries : Disons que nous sommes déjà passés par là. Et avec ton caractère, on ne peut absolument pas prévoir l'avenir.
Sophie : T'es pas mal non plus dans ton genre. Mais, imagine un instant que l'on soit réellement divorcés depuis des années. Que nous avons refait notre vie, tu te vois franchement dire à ta compagne « le 3 mai je vais retrouver mon ex-femme pour lui faire l'amour dans les douches du stade pour fêter nos 30 ans. Soit jour pour jour 30 ans après la première fois qu'on a couché ensemble ».
Dries (rigolant) : C'est sur que vu comme ça, c'est loin d'être génial. Mais, de toute façon, cela n'arrivera pas.
Sophie : A bon ?
Dries (se rapprochant et la prenant dans ses bras) : Bien sur puisque je n'ai pas l'intention de te laisser filer une nouvelle fois.
Sophie : J'espère bien que nous allons tirer des conclusions de notre passé.
Dries : Je crois que nous sommes en de bonnes voies. Et puis, niveau intime là il n'y a toujours aucun problème.
Sophie : Ouais, c'est vrai que tu n'es pas mal.
Dries : Pas mal, seulement ?
Sophie : Je dois t'avouer que dans mes souvenirs très lointains, Quentin était meilleur.
Dries : A oui, moi aussi je dois t'avouer qu'Emilie...
Sophie : Ca faisait longtemps que je n'avais pas entendu parler d'elle.
Dries : Et moi de ton ex-fiancé.
Sophie : On ne s'est jamais fiancés. C'est juste un ex, ça s'arrête là. C'est déjà pas mal.
Dries : Viens par là, je vais te prouver que je suis bien meilleur.

Nous avons refait l'amour mais ce coup-ci sur le terrain.

Dries : Alors, tu disais ?
Sophie : Que tu es incontestablement le meilleur.
Dries : Je sais, mais toi aussi.
Sophie : Nous ferions bien de continuer de ranger.

Nous avons continué de ranger, il était maintenant 4 heures du matin.

Dries : Dis, puisque nous en sommes aux confidences...
Sophie : Vas-y, je t'écoute.
Dries : Si je n'étais pas venu te chercher chez toi, ce jour là. Tu te serais réellement mariée avec ?
Sophie (sans réfléchir) : Non.
Dries : Ca c'est une raison irréfutable. Tu n'as même pas réfléchi.
Sophie : J'étais sure que tu viendrais me dire que tu t'opposes à ce mariage quand le prêtre pose la question fatidique. Tu me dirais que tu m'aimais. Et que tu ne voulais que moi dans ta vie.
Dries : Si tu y crois, je ne veux pas gâcher tes rêves. Mais, je ne suis pas convaincu que je l'aurais fait. Quoi que finalement en y réfléchissant, j'étais jeune et amoureux donc j'aurais pu faire n'importe quoi pour toi.
Sophie : Je plaisantais.
Dries : J'espère bien.
Sophie : Mais, ça aurait pu être sympa quand même.
Dries : C'est sur, mais tes parents me détestant déjà à l'époque. Imagine, si je t'avais enlevée au pied de l'hôtel avec l'homme de leur vie.
Sophie : Nous n'aurions pas eu d'autres choix que de quitter le pays. Voire même le continent.
Dries : Ouais, pas terrible.
Sophie : Bah, trêve de plaisanterie. Je me souviens que je comptais venir voir le match de loin. En faite, te dire une dernière fois au revoir. Après, je me serais dirigée vers l'aéroport en direction de Paris, juste pour faire une halte. Histoire de dire tout le mal que j'avais à mes parents, suite à cela je comptais partir vivre en Angleterre. Recommencer tout à zéro.
Dries : L'Angleterre, ce pays qui t'a toujours fait rêver.
Sophie : Depuis toujours. D'ailleurs, je n'oublierai jamais notre séjour là-bas. C'était fantastique. Dries où tu vas ?
Dries (revenant) : Bébé, je t'aime.
Sophie : Moi aussi. Je devrais compter le nombre de fois où tu me l'as dis ce soir.
Dries : C'est pour les années à venir.
Sophie : Tu vas voir. N'oublie pas que c'est un motif de divorce.
Dries : A oui, c'est vrai. Enfin, cela tombe bien que tu m'évoques notre voyage à Londres. Est-ce que Londres te tenterait à nouveau ?
Sophie : Comment ça ?
Dries : Comme ça, tiens.

Je pris l'enveloppe qu'il me tendait.

Sophie : Oh mon dieu, je n'y crois pas. On va à Londres ?
Dries : Hé oui. En plus, rien que toi et moi.
Sophie : Juste tous les deux, mais qui va garder les enfants ?
Dries : Tes parents, mes parents et il y a aussi Marie et Antoine s'ils ne s'en sortent pas.
Sophie : C'est trop super ça, ça va nous rappeler le bon vieux temps.
Dries : Oui, mais ce coup-ci tu ne dormiras pas tout le temps. Et on visitera moins.
Sophie : Tu rêves mon cher. On va visiter tout les recoins de Londres.
Dries : Et si je te séquestre ?
Sophie : Alors là, je m'enfuirai. En plus Londres, cela reste magnifique.
Dries : Ok, va pour les visites. Sauf, que je m'oppose totalement à une soirée sur l'horreur de bateau qu'on avait pris. En plus, c'était cher et tu as vomi tout le repas. Pas rentable cette soirée. (La coupant) Et en plus, tu n'as même pas profité de la vue. La seule vue que tu aies eu de cette soirée à été les toilettes.
Sophie : D'accord, nous n'irons pas sur le bateau. Mais, cela reste un bon souvenir puisque c'est là que j'ai appris que j'étais enceinte.
Dries : Oh oui, j'ai du aller t'acheter un test de grossesse.
Sophie : Oh, c'était marrant. Et ça fait partie de nos petites histoires. On ne fera jamais rien comme tout le monde. Mais, ne t'inquiète pas ça n'arrivera plus.
Dries : On ne sait jamais avec toi.
Sophie : Tu veux un autre enfant ?
Dries : Je t'aime, j'aime mes trois enfants. Mais, honnêtement j'aimerais que l'on s'arrête la. Après, on ne peut pas prévoir et ce coup-ci je réagirai bien. Je ne ferai pas deux fois les mêmes conneries.
Sophie : Ne t'en fait pas, avec le stérilet on sera tranquilles. Et on a déjà assez des trois monstres.
Dries : C'est sur mais je les aime et toi aussi.

Nous nous sommes embrassés. Puis nous nous sommes enfin dirigés vers la maison. Nous nous sommes couchés les deux pauvres heures qui restaient avant le réveil de Sories. Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre, on était bien. En plus, Londres nous attendait.

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Vraiment vraiment désolée pour le retard ! Mais ne vous en faites pas ! La fin du tome 2 est écrite (50 chapitres comme pour le premier). J'aimerais faire un tome 3 sur les enfants de Dries et Sophie (avec beaucoup d'apparitions de dries evidemment) qu'est ce que vous en dites ? Dites moi quoi ou alors je m'arrête là avec le tome 2...

Bises à tous !

(sorry pour le retard mais ces derniers temps avec mes stages et mes entraînements/matchs de foot tous les soirs, j'ai besoin de sommeil)

Okumaya devam et

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