Une fille coach des diables ?

By MmeMertens

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#Tome 1 terminé #Tome 2 terminé #Fiction terminée Le foot n'est pas réservé qu'aux garçons et en voilà la pre... More

Prologue
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Rien a voir
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Rien a voir
Chapitre 31
Chapitre 32
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
Chapitre 42
Chapitre 43
Chapitre 44
Chapitre 45
Chapitre 46
Chapitre 47
Chapitre 48
Chapitre 49
Chapitre 50
Tome 2 : Prologue et chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
FAQ + petit mot
Sorry
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 32
Belgique - Estonie
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
Chapitre 42
Chapitre 43
Chapitre 44
Chapitre 45
Chapitre 46
Chapitre 47
Chapitre 48
Chapitre 49
Chapitre 50
Désolée !

Chapitre 37

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By MmeMertens

Hésitez pas à mettre un petit commentaire pour me donner votre avis à la fin 😉 kiss à tous et toutes !

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Nous sommes début avril, aujourd'hui et comme quasiment tous les vendredis Dries à son match de foot. Ce soir il joue contre l'équipe d'Allemagne. Et moi comme d'habitude, je vais devoir regarder le match à la télévision, les jumeaux vont y aller comme toujours avec Marie, Antoine et Matthieu. Moi, je ne peux pas m'y déplacer car Sories est encore, et pour un bon moment, trop petite. Et il faut dire que je ne veux pas la laisser à garder. J'étais en train de préparer les jumeaux. Nathan était avec Sories et moi dans la salle de bain.

Kwinten (dans sa chambre) : Maman ?
Sophie : Quoi, Kwinten ?
Kwinten : Il est où mon tee-shirt des Diables ?
Sophie : Dans ton armoire avec tes autres maillots.
Kwinten : Ok. C'est bon, je l'ai trouvé. Merci m'man.
Sophie : De rien.
Nathan : T'as vu maman comme je suis beau.
Sophie : Et toi tu as vu comme tu es bien le fils de ton père.
Nathan : Je sais. Tu peux me mettre les couleurs sur le visage ?
Sophie : Oui, viens par là.
Kwinten : Et m'man, regarde comme j'ai la classe.
Sophie : Regarde comme je vois deux fois votre père.
Kwinten : C'est comme ça.
Nathan : Et m'man, c'est quand que l'on pourra aussi mettre un maillot à Sories ?
Kwinten : Oh, yes. Elle aurait la classe comme nous.
Sophie : Dès qu'elle saura marcher et qu'ils seront à sa taille.
Nathan : Ca sera cool. On sera super beau tous les trois.
Kwinten : On sera même au top de la classe tous les trois.
Sophie : Oh ça je n'en doute pas.
Kwinten : A moi, de mettre les couleurs.
Nathan : Dit maman ?
Sophie : Oui ?
Nathan : Pourquoi tu ne viens pas au match ce soir ?
Kwinten : Ouais, tu pourrais venir ça fait longtemps.
Sophie : Kwinten arrête de bouger un peu. Et vous savez très bien que je ne peux pas. Je dois garder Sories.
Nathan : Et bah tu l'emmènes.
Sophie : Elle ne serait pas à sa place. Elle n'a que quelques mois. Elle est encore trop petite. A la saison prochaine ça devrait être plus faisable.
Kwinten : Ok. Mais, on aimerait bien que tu viennes avec nous au moins une fois.
Nathan : En plus, je suis sur que cela ferait plaisir à papa.
Sophie : A moi aussi ça me ferait plaisir mais pour le moment, je suis votre maman et la maman de Sories avant toute autre chose.
Kwinten : D'accord. On te racontera comme toujours.
Sophie : Bien sur. Aller on descend, tonton et tata ne devraient plus tarder.

Nous avons regardé un peu la télé avant que la porte ne sonne.

Sophie : Salut.
Marie (récupérant Sories dans ses bras) : Salut mon petit trésor.
Sophie : La petite récupère toujours autant ton attention.
Marie : Je n'ai pas eu de fille moi. Je peux bien en profiter.
Antoine : Marie, arrête un peu de coller cette petite.
Marie : Oh, vous êtes chiants. Regarde Antoine comme elle est toute mini.
Antoine : Heureusement qu'elle n'a pas eu de fille.
Sophie : T'en fait pas, dès qu'elle peut me piquer la mienne. Elle le fait.
Antoine : Oh oui je sais.
Marie : Bon vous avez fini de vous moquer de moi tous les deux ?
Sophie : C'est bon on arrête de t'embêter.
Marie : Les jumeaux vous êtes prêt ?
Kwinten et Nathan : Bien sur tata.
Kwinten : En plus, tu as vu comme on a la classe.
Nathan : Ouais comme toujours.
Antoine : Rappelez-moi une chose, qui est votre papa ?
Kwinten : Ton frère.
Antoine : Je me disais aussi qu'il y avait comme un air de ressemblance.
Nathan : Maman nous a dit la même chose toute à l'heure.
Marie : En même temps, il ne pourrait pas vous renier.
Antoine : Dois-je demander si ces charmants jeunes ont mangé ?
Kwinten : On n'avait pas trop faim.
Nathan : Oui, on avait un peu mal au ventre tout à l'heure.
Antoine : Ok, on a compris et miraculeusement en arrivant au gymnase. Plus de maux de ventre et une énorme faim.
Kwinten : Tu as surement raison.
Nathan : Mais, on t'aime tonton.
Sophie : Tu entends tonton, ils t'aiment.
Antoine : C'est ça moque toi de moi.
Sophie : Bon, est-ce que Mme Mertens, va bien vouloir me redonner ma chère et tendre petite fille ?
Marie : Non.
Sophie : Mar.
Marie : Tu n'as besoin de la récupérer. Je la garde avec moi.
Sophie : Marie, vous allez être en retard.
Marie : Tu vas être en retard. D'ailleurs, vas te préparer.
Sophie : Pourquoi faire et de quoi tu parles ?
Antoine : Ce qu'elle essaie de te dire, c'est que tu vas aller au match.
Sophie : Je ne peux pas, je dois garder Sories.
Marie : Qui est très bien dans les bras de sa tante préférée. C'est pour ça que ce soir c'est moi qui vais la garder. Sophie, tu ne l'allaites plus. Tu peux y aller.
Sophie : Je ne sais pas trop.
Marie : Ne joue pas ta maman poule. Quand tu as eu les jumeaux, tu as repris ton boulot, ils n'avaient même pas trois mois.
Sophie : J'hésite vraiment.
Marie : C'est à moi que tu la laisses. Je ne suis pas m'importe qui. Je vais en prendre soin.
Antoine : Sur ce point là, tu peux lui faire confiance.
Sophie : Je sais bien qu'il ne lui arrivera rien mais je ne l'ai jamais laissée en soirée.
Marie : Et si on demandait l'avis des jumeaux ?
Kwinten : Aller maman.
Nathan : Dit oui, s'il te plait.
Sophie : C'est de la triche ça Marie.
Marie : Je sais, et c'est pour ça que tu m'adores.
Kwinten : Alors maman ?
Sophie : C'est bon. Par contre Marie, tu es sure que ça ne te dérange pas ?
Marie : Pas du tout. Surtout qu'entre nous c'est loin d'être très féminin comme sport.
Sophie : Ok, j'ai compris que même si tu fais autant d'efforts faut pas abuser non plus de ton coté masculin.
Marie : Et oui.
Sophie : Bon, je crois que je n'ai plus qu'à aller me préparer.
Marie (regardant Sories) : Nous voila enfin débarrassées de ta maman.
Sophie (criant) : Je t'entends encore Marie.
Marie : Ce n'est pas bien d'écouter aux portes.
Sophie (revenant) : Tu diras ça à ton cher beau frère. C'est lui qui m'a appris.
Marie : Je lui en toucherai deux mots alors.
Sophie : Son biberon est dans le placard de la cuisine troisième porte sur la gauche, si elle a faim. Ses jouets sont dans la caisse du salon, son doudou est dans le transat si elle le réclame, et aussi ne la couche pas trop tar...
Marie (la coupant) : Stop ça suffit, ma chère belle-soeur, je te rappelle que j'ai eu un fils, que je suis loin d'être débile et que je me suis toujours très bien occupée de tes jumeaux.
Sophie : Mais...
Marie (la coupant de nouveau) : Je sais que c'est la première fois que tu la laisses mais je ne suis pas n'importe qui et cela te changera les idées. Maintenant, Aller oust, vous tous.
Kwinten : Bon match quand même tata.
Nathan : Ouais, tu vas regarder ?
Marie : Bien sur avec Sories dans le salon toutes les deux entre filles.
Antoine : Bonne soirée alors chérie.
Marie : A vous aussi.

Nous voilà enfin partis en direction du stade. Arrivez là-bas, nous nous sommes dirigés vers les places VIP. Nous avons rejoint Aurélie et Samantha qui étaient déjà arrivées.

Aurélie : T'es venue, c'est cool.
Sophie : Oui, Mar m'a kidnappée ma fille.
Aurélie (rigolant) : Je suppose que tu n'as rien pu faire contre elle donc.
Sophie : Oh non, elle a même faillit sortir ses griffes.
Antoine : C'est de ma charmante épouse que vous parlez comme ça.
Sophie : Ecoute-le, il nous fait le mari amoureux.
Antoine : Eh ! Je suis amoureux. Mais, je vous rejoins que quand elle est comme tout à l'heure, ne vaut mieux pas la contredire.

Les joueurs viennent de rentrer sur le terrain. Eden et Dries se sont dirigés vers nous.

Eden : Bah Sophie, tu es venue ?
Sophie : Marie est venue me garder Sories.
Dries : C'est super sympa de sa part.
Kwinten et Nathan: Salut p'pa.
Dries : Salut les monstres.
Kwinten : Tu as vu comme on est tout beaux ?
Dries : Comme votre père en faite.
Eden : Vieillir n'arrange pas ton cas, mon vieux.
Nathan : Tu as vu maman, elle est venue avec nous aujourd'hui comme avant.
Dries : Oui, Sophie c'est vraiment cool que tu sois venue. Je suis content, ça nous rappellera le bon vieux temps.
Sophie : Et oui, sauf que là je ne coach pas. Je reste assise.
Dries : Comme le jour de ton accouchement.
Sophie : Oui, en y réfléchissant c'était assez marrant. Tu te souviens comment j'ai hurlé ?
Dries : Oui, je crois qu'au bout de la ville ils avaient entendu aussi. J'ai tout de suite compris que ma vie allait prendre un nouveau tournant. En plus, on peut même dire que tes accouchements sont toujours tombés à de sacrés moments.
Sophie : Comme tu sais bien, nous ne faisons jamais les choses à moitié.
Dries : Ca c'est sur.

Nous discutions encore un moment quand j'ai vu une femme se ramener à coté de nous.

? : Alors Vanleur, tu ne changes pas les couches ce soir ?
Sophie : Ashley, c'est fou comme tu m'as manqué. Mais, je me permets de remettre dans ton petit crane, remarque c'est évident vu ton QI que ce n'est pas Vanleur mais Mertens.
Ashley : Plus pour longtemps.
Sophie : L'espoir fait vivre.
Ashley : Je n'ai pas tord. Regardez vos mains, tu ne portes plus ton alliance et Dries non plus.
Sophie : Dries n'a pas un métier où il peut la porter à tout moment. Et puis, nous n'avons pas besoin de porter notre alliance pour se prouver que l'on s'aime.
Ashley : C'est facile de dire ça.

Là, je me suis levée pour être face à elle. Au faite, c'est la fille du directeur décidément celui-là m'aura fait chier toute ma vie. Entre sa pétasse de secrétaire, lui qui me vire et maintenant sa fille qui drague mon mari. J'ai vraiment toutes les raisons de le détester. Dries vit que j'allais vraiment m'énerver alors avant que j'ai eu le temps de faire quoi que se soit, il m'a embrassée passionnément.

Ashley : J'me casse.

J'allais lui répondre mais.

Dries (la coupant) : Ne t'énerve pas contre elle. Elle n'en vaut vraiment pas la peine.
Sophie : En faite, tu as raison.
Dries : J'ai toujours raison.
Sophie : Qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre.
Dries : Bon, je vais aller jouer sinon je vais me faire virer.
Sophie : Bon match et bonne chance.
Dries : Merci. Mais, vu que tu es là, je sais que tout va bien se passer.

Le match se passe assez mal. A la pause les Diables perdaient 1-3. J'étais avec les garçons au stand de sandwich quand...

Eden (essoufflé) : Ca fait une heure que je te cherche.
Sophie : N'exagère pas quand même. Je suis en train de nourrir mes petits monstres.
Eden : Oui, Antoine tu peux garder les jumeaux ? Suis-moi.
Antoine : No soucis.
Sophie (avançant vers les vestiaires) : Eden, qu'est-ce qui te prend ? Et j'ai laissé mes enfants là-bas.
Eden : Ils sont avec Antoine. Tu sais très bien qu'ils ne risquent absolument rien.
Sophie : Ou on va ?
Eden : J'ai vraiment besoin de toi. Éclaire-nous de ton excellent cerveau. Trouve-moi vite une technique.

Nous venions d'arriver dans le vestiaire. Tous les joueurs étaient assis sur les bancs. Ils ont tous relevé la tête en même temps quand nous sommes entrés. J'ai ressentis une sensation assez étrange d'avoir autant d'yeux qui te regardent d'un coup. Mais, en les regardant tous là assis sur ce pauvre banc, j'ai compris qu'ils avaient besoin d'un petit coup de main pour remporter ce match. Ainsi, sans qu'ils n'aient eu le temps de dire quoi que se soit j'ai pris la parole. Sans vraiment chercher à rentrer dans une longue explication, j'ai expliqué l'essentielle de ce que j'avais pu apercevoir. Dries connaissant parfaitement là où je voulais en venir, les a ainsi guidé. Tellement bien que le match changea complètement de direction. Si bien que les Diables ont gagné ce match 4 à 3. Nous sommes les jumeaux et moi descendus sur le terrain.

Eden (la prenant dans ses bras) : Merci beaucoup Sophie. Tu es vraiment un super coach.
Dries : Merci, nous avons finalement gagnés. Nous te devons en partie cette victoire.
Sophie : En partie seulement ??? !!!
Dries : Faut pas abuser non plus. C'est nous qui avons transpiré.
Kwinten : en parlant de ça, tu pourrais peut être aller prendre une bonne douche papa.
Nathan : Oui, parce que je ne veux pas être méchant mais tu es tout dégoulinant et tu vas finir par sentir comme Sories.
Dries : Ok les gars le message est passé. Je vais me changer.

Je me suis sentie bien pour une fois. Je me sentais importante et utile et cela ne m'était pas arrivé depuis bien longtemps.

Dries : On va fêter la victoire. Viens avec nous.
Sophie : Il ne faut pas non plus abuser. Je ne peux pas j'ai les enfants.
Dries : Antoine va les ramener.
Sophie : Et après, ils ne vont pas se garder tout seul.
Dries : Tu sais très bien que Marie ne les laissera pas. Ni même mon frère.
Sophie : Ca fait longtemps que je ne suis pas sortie. J'aime bien être chez moi.
Dries : Vieille grand-mère.
Sophie (le frappant) : Hé.
Dries : Je plaisante.
Antoine : Hello, vous deux. Ca va ?
Dries : Elle ne veut pas nous accompagner.
Antoine : Tu as tord Sophie, on va toujours avec eux nous.
Sophie : Et Matt, vous en faites quoi ?
Antoine : En général, il repart avec ses copains. Et on passe le reprendre après. Si tu t'inquiètes pour les enfants, on vous les garde jusqu'à ce que vous rentriez.
Dries : On ne rentrera pas tard. Merci frangin.
Sophie : Je n'ai pas dit oui.
Dries : Aller en route.
Sophie : Tu es véritablement pénible des fois.
Dries : Je sais, c'est ce qui fait tout mon charme.
Sophie : Aller on avance, cela m'évitera d'entendre tes conneries.

J'ai embrassé les jumeaux, qui eux étaient contents de rentrer avec leur tonton car ils savent très bien qu'ils vont pouvoir manger des bonbons et regarder tard la télé. Nous voila tous au bar.

Eden : Ta technique est super. Tu pourrais me l'expliquer plus en détail ?!
Sophie : Ca risque de se payer cher.
Eden : Si je t'offre un verre d'eau, ça ira ?
Sophie : Comme tu es généreux.
Eden : Hé oui c'est tout moi ça. Aller viens, tu veux boire quoi ?
Dries (arrivant) : Pas d'alcool.
Sophie : Bah voyons, et pour quelle raison ? Tu n'es pas mon père.
Dries : Non, mais ton mari, et ce jusqu'à preuve du contraire. Et pour répondre à ta question tu conduis.
Sophie : Et tu viens de décider ça la tout de suite ?
Dries : Exactement.
Sophie : Et pourquoi, c'est n'est pas toi qui te mets à l'eau ?
Dries : Car je n'allais pas me faire avoir. Donc (Montrant son verre) j'ai déjà deux longueurs d'avance sur toi. Et tiens regarde voilà le troisième.
Sophie : Tu abuses vraiment sur ce coup là.
Dries : Pour une fois que je peux.
Sophie : Bon, et bien un cocktail sans alcool.
Eden : C'est parti.
Sophie : La prochaine fois, c'est toi qui conduis.
Dries : Comme tu veux.
Sophie : En gros, cause toujours tu m'intéresses.
Dries : Tout à fait.
Eden : Tiens Sophie, et arrêtez voir un peu de vous chercher à longueur de temps. Marie, Aurélie, Antoine et moi, on va finir par en mourir de vos engueulades.
Dries et Sophie : On ne s'engueule pas.
Eden : Et le pire dans tout ça, c'est qu'ils s'aiment plus que tout.

Nous avons ri tous les trois un petit moment avant de rejoindre les autres. Le reste de la soirée s'est passée dans une super ambiance. Nous avons rigolé tous ensembles, remémoré les souvenirs du temps où j'étais aux Diables. Comme prévu, c'est moi qui ai pris le volant bien que Dries était tout à fait capable de le prendre quand même. Marie et Antoine, nous ont souhaité une bonne soirée et nous les avons remercié d'avoir pris soins de nos trois monstres. Après, avoir pris une bonne douche, j'ai rejoins Dries dans le lit.

Sophie : C'était une superbe soirée. Ca m'a fait du bien de voir autre chose.
Dries : J'avoue que j'ai eu peur que tu ne veuilles pas venir.
Sophie : C'était ton idée ?
Dries : Oui.
Sophie : Merci, Dries.
Dries : Il n'y a pas de quoi.

Après ça Dries s'est retourné de son coté pour dormir. Mais, ce soir là, j'ai ressenti une envie, une envie que je n'avais pas eue depuis longtemps. J'avais besoin d'être dans ses bras.

Sophie : Dries ?
Dries : Oui.
Sophie : Tu dors déjà ?
Dries : On va dire que j'essaie, mais vu que tu m'appelles je vais avoir du mal.
Sophie : Dries ?
Dries : Oui, je t'entends.
Sophie : Je... peux dormir dans tes bras.
Dries (se retournant brusquement) : Tu...
Sophie (voyant son regard) : Ce n'est pas une blague.
Dries : Viens par là.

Deux minutes à du nous suffire à tous les deux pour nous endormir. J'étais vraiment heureuse de ma vie. Je ne l'échangerais pour rien au monde.

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