J'ai fini d'écrire ma fiction ! Y aura 50 chapitres. Dites moi ce que vous en pensez...
Je continue à un chapitre par jour sinon c'est pas drôle 😜
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Nous sommes samedi. Le match fut remporté par notre équipe. Nous sommes en train de diner chez moi, tous ensembles.
Sophie : Et les filles, ça vous dit de finir la soirée en boite ?
Marie : Oh, ouais. C'est une excellente idée. Ça me rappellera mes 20 ans. Hein Antoine.
Aurelie : Super, bonne idée en plus ça fait longtemps.
Sophie : Ouais. On va aller s'éclater un peu.
Eden : Et nous, on fait quoi ?
Sophie : Vous pouvez rester ici. Ca ne me dérange pas.
Dries : Hors de question. On vient avec vous. Je n'ai pas envie que tu te fasses draguer et que tu bois trois verres avec chaque mec.
Sophie : C'est bon. La cuite de la dernière fois ma guérie. Je vais y aller mollo. En plus, c'est à cause de toi que je m'étais mise dans un état pareil.
Dries : C'est toujours de ma faute. Je n'étais même pas là.
Sophie : Laisse tombé.
Marie : Pourquoi vous voulez encore nous coller ?
Antoine : Tu as vu la dernière fois ?
Marie : Tu nous as dit de ne plus sortir que toutes les deux et là on est trois.
Antoine : Chérie, ne joue pas avec les mots. On vient.
Marie : Tu n'as plus l'âge de sortir en boite. Rappelle-toi, tu n'as plus 20 ans.
Sophie : Bien dit. Ce n'est vraiment pas nécessaire de nous coller.
Aurelie : Laissez nous bouger.
Dries : Ben voyons. Si moi, je te dis que je sors en boite avec des copains. Tu me laisseras y aller ?
Sophie : Bien sur. J'ai confiance en toi, moi !! De plus, je sais très bien que tu y vas. Ce n'est pas pour autant que je te fais une crise à chaque fois.
Dries : Je n'y suis allé qu'une seule fois et j'y ai été entrainé.
Sophie : Je m'en fou. Tu fais ta vie. Tu n'as pas besoin de te justifier.
Dries : D'ailleurs, comment tu l'as su ?
Sophie : Peu importe.
Dries : Dis-le moi ?
Sophie : Pour quoi faire ? Cela ne te servira à rien. Bon, nous on va se préparer. Les filles, on se retrouve vers 00h30, devant la boite.
Antoine : C'est noté. On se retrouve tous ensembles pour 00h30.
Marie : Donc, vous venez avec nous ?
Dries : Bien entendu.
Tout le monde était parti. Antoine et Marie étaient rentrés chez eux et Eden et Aurelie étaient partis chez lui. Il ne restait que Dries car il dormait chez moi, ce soir.
Dries : On est obligés de sortir ? On ne peut pas rester tous les deux ? En plus, je suis crevé du match.
Sophie : Bien sur que oui. Tu n'es pas obligé de venir. Reste ici et va te coucher.
Dries : Et toi ?
Sophie : Moi, je sors. Mais, vu que tu es fatigué. Tu n'as qu'à rester te reposer.
Dries : Et que je te laisse seule ? Hors de question.
Sophie : Tu n'es pas obligé de venir, si tu n'en as pas envie.
Dries : Si, je viens.
Sophie : Tu es un peu trop protecteur. Il ne va rien m'arriver.
Dries : Ce n'est pas ça. Je ne veux pas que tu danses ou te fasses draguer.
Sophie : De toute façon, tu ne pourras rien faire. On doit faire comme si on n'était pas ensembles. Surtout en ville et dans une boite de nuit. Tu peux y rencontrer n'importe qui. De plus, je suppose que tu connais énormément de monde.
Dries : Plus maintenant.
Sophie : Pourquoi ?
Dries : Je sors moins. Enfin, plus autant dans ce genre d'endroit. Et tu ne m'as toujours pas dit comment tu avais su que j'étais sorti.
Sophie : Peu importe. Et je te rappelle que tu connais beaucoup de monde ici.
Dries : Dis-le moi.
Sophie : Je te le dit si tu me dis pourquoi tu ne me l'as pas dit.
Dries : Tu es chiante avec ton chantage.
Sophie : C'est une des choses que j'ai hérité de mes parents. Alors...
Dries : Ok. On oublie.
Sophie : Tu vois, quand tu veux.
Dries : Vaut mieux pas quand même que l'on te drague.
On s'embrassa et nous sommes partis prendre notre douche ensembles.
Il est maintenant 00H30, nous sommes arrivés devant la boite. Nous sommes rentrés et nous nous sommes tous ensembles installés à une table.
Vers 2H00, du matin et après quelques verres, on dansait avec les filles sur la piste.
Dries speaking.
Les filles dansent sur la piste, Antoine et Eden sont en pleine conversation de foot. Moi, j'ai un peu soif. Je me suis dirigé vers le bar. J'attendais que le serveur vienne me servir quand celui-ci arriva avec un verre.
Barman : Tenez c'est pour vous.
Dries : Je n'ai rien commandé.
Barman : C'est de la part de la jolie jeune fille là-bas.
Dries : Oh. Vous la remercierez
Barman : A mon avis vous allez pouvoir le faire vous-même.
Dries : Pourquoi ?
La jeune fille blonde arriva vers moi.
Dries : Merci.
Caroline : De rien. Au faite, je m'appelle Caroline
Dries : Dries.
Caroline : Oh, tu ne serais pas le footballeur des diables ?
Dries : Si. Bien vu.
Caroline : Je n'oublie jamais un beau mec lorsque j'en vois un.
Dries : Merci.
Caroline : Tu es seul ?
Dries : Non, je suis avec des amis.
Caroline : Ca j'avais remarqué. Ce que je voulais savoir, c'est si tu étais célibataire. Ou avec une des filles qui vous accompagnent.
Dries : Euh oui. Enfin, non.
Caroline : Alors ! T'es libre ou pas ?
Dries : C'est assez compliqué.
Caroline : Ok, je connais. Tu l'aimes, mais ne peux pas rester longtemps avec la même fille et ensembles ça ne colle pas. Après tout ce n'est pas important et ce n'est pas grave. Tu danses ?
Et là, je n'ai même pas eu le temps de répondre qu'elle m'a emmené sur la piste de danse. Elle se colle à moi, mais j'avoue que cela ne me dérange pas tant que ça.
Sophie speaking.
J'étais en train de danser avec les filles, quand je vis Dries arriver sur la piste avec une blondasse. Et la ni une ni deux, les filles n'ont pas eu le temps de me retenir que j'ai déboulée vers lui. J'ai poussé la pauvre fille.
Sophie : Je peux t'aider peut être ?
Dries : Sophie, bah quoi ?
Sophie : Tu dragues cette blonde devant moi. Tu ne changeras donc jamais. Et en plus, c'est toi qui m'a fait la morale sur le fait que personne ne devait me draguer. Et que limite, je ne devais pas discuter avec d'autres personnes. Tu n'as aucun respect.
Dries : Je n'ai rien fait de mal. Elle m'a invité à danser.
Sophie : Et toi en parfait gentleman tu as accepté ?
Dries : Bah oui.
Sophie : Et bah vas t'amuser. Profite de ta vie de célibataire à fond.
Je suis partie de la piste de dance.
Dries : Attends, ça ne signifie rien pour moi. Je dansais seulement.
Sophie : Oui, alors que tu n'as pas voulu danser avec moi ou les autres de la soirée.
Dries : C'est toi qui m'as dit que l'on devait être discrets. Là tu as réussi ton coup, en me faisant une stupide crise devant tout le monde.
Sophie : Ok. Ca va être de ma faute maintenant.
Dries : Bébé, calme-toi.
Sophie : Ne me dis pas de me calmer.
Dries : C'est avec toi que je rentre dans tout les cas.
Sophie : Ah oui ? Et bah là tu rentreras tout seul.
Je partis, je me suis retournée vers lui.
Sophie : Demande à ta charmante amie. Elle se fera une joie de te raccompagner ou de te montrer sa chambre.
Je suis allée dire au revoir aux autres. Qui ne voulaient pas me laisser rentrer seule. Mais j'ai fini par les convaincre que j'allais bien. Je marchais sur le parking.
Pendant ce temps dans la boite.
Antoine : Waouh, le caractère qu'elle a.
Marie : En même temps elle a parfaitement raison. Est-ce qu'un jour il évitera de faire le con v
Antoine : A mon avis, ils ne sont pas prêts d'arrêter de se battre ces deux là.
Eden : Ils sont épuisants par moment.
Aurelie : Je ne te le fais pas dire. Elle m'épuise aussi d'être tout le temps en guerre avec.
Antoine : Nous aussi. Remarque, si un jour tout va bien entre eux, sans disputes, on devra s'inquiéter. Mais, bon comme d'habitude dans 1h c'est déjà oublié.
Aurelie : J'espère.
Eden : Ca va, tu as l'air inquiète ?
Aurelie : Je n'ai jamais vu ma besta dans cet état.
Marie : Comment ça ? Elle est apparemment extrêmement jalouse.
Aurelie : Je le découvre comme vous. Même si elle n'aimait pas trop que Quentin sorte seul avec des autres filles, elle ne lui a jamais fait de crise ou dit quoi que se soit. Alors que là, elle a littéralement explosée devant tout le monde, oubliant même qu'elle n'est pas sensée être avec et a poussé la fille.
Eden : Ne t'inquiètes pas. Ca va s'arranger.
Marie : On devrait rentrer pour s'assurer que tout va bien.
Antoine : Parfaitement.
Sophie speaking.
J'allais monter dans ma voiture quand Dries monta lui aussi dans ma voiture.
Sophie : Hors de ma voiture. Descend, de cette voiture.
Dries : Non, je rentre avec toi.
Sophie : Alors là, il n'en est pas question.
Dries : C'est toi qui veux que l'on soit discrets. J'en ai marre de me cacher. Pour une fois que je vis quelque chose de magique avec quelqu'un, je dois me contenter que personne ne le sache. J'ai envie de t'embrasser, de te tenir la main mais je ne le fais pas. Alors, c'est vrai que ce soir, je suis redevenu le Dries d'avant mais je dansais seulement. Je ne peux pas non plus changer du jour au lendemain. Mais, c'est avec toi que je veux être, c'est à toi que je pense et c'est seulement toi que je veux.
Sophie : Je sais que tout cela n'est pas évident. Mais, nous n'avons pas le choix. Mais, pourquoi tu dansais avec elle ?
Dries : Je suis un peu bourré quand même mais je suis assez sobre pour ne pas faire de connerie et te dire que je tiens à toi sincèrement.
Sophie : On va dire que tu t'es bien rattrapé. Mais prochain coup...
Dries : Il n'y en aura pas.
Sophie : Apparemment, on est vraiment attachés l'un à l'autre. Plus que je n'aurais pu l'imaginer.
Dries : Je ne te le fais pas dire.
Il m'a embrassée. Et nous sommes rentrés chez moi. On s'est endormis dans les bras l'un de l'autre.