Chapitre 540 : Est-ce que ça a l'air bien ?

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par MisssBooks

par @MisssBooks

Ling Mo Han a vu qu'elle ne portait qu'une robe, le col lâche autour de son cou. Il a détourné les yeux en disant : "N'as-tu pas dit que tu ne dormais pas bien quand je n'étais pas à tes côtés ?".

Il s'est dirigé vers la table. En s'asseyant, il n'a pas pu s'empêcher de jeter à nouveau un coup d'œil à sa clavicule révélée. "C'est pourquoi je suis venu".

Lorsqu'elle a remarqué que ses yeux continuaient à se diriger vers sa clavicule, elle a baissé les yeux. Comme elle venait de prendre un bain, elle ne s'était pas habillée correctement et sa robe n'était pas attachée. Cependant, on pouvait seulement voir sa peau pâle et rien de plus.

Mais les yeux de cet homme ont déjà erré jusqu'à sa clavicule deux fois pendant le peu de temps qu'il était dans sa chambre. Tous les hommes étaient-ils comme ça ? Lorsqu'une femme révélait n'importe quelle partie de son corps, ils ne pouvaient pas s'empêcher de regarder ?

"Est-ce que ça a l'air bien ?" Ses lèvres se sont pincées en un léger sourire lorsqu'elle a demandé.

"Ahem." Ling Mo Han a toussé. Il a détourné le regard aussitôt, l'air gêné d'avoir été surpris en train de jeter un coup d'œil.

"Et maintenant ?" Elle a desserré davantage sa robe pour révéler son épaule et lui a fait un clin d'œil.

Bien que Ling Mo Han soit gêné, il n'a pas pu s'empêcher de la regarder à nouveau. Lorsque ses yeux sont tombés sur son épaule, ils se sont remplis d'un désir brûlant. Sa voix était profonde et rauque lorsqu'il a parlé : "Essaies-tu de me séduire ?"

"Hmph ! Tu n'es bon à rien !"

Elle a renâclé et lui a adressé un sourire en coin alors qu'elle ajustait sa robe. Elle a répondu : "Tu n'as aucune volonté, tu oses venir dans ma chambre au milieu de la nuit ?".

Il a rassemblé ses pensées et l'a regardée en parlant : "Depuis que je t'ai rencontrée, j'ai perdu ma volonté. Par conséquent, tu ferais mieux de ne pas essayer de me séduire, sinon, ne m'en veux pas si quelque chose arrive."

"On s'est occupé de ces hommes ?" Elle l'a regardé en lui versant une tasse d'eau.

Ling Mo Han a calmé le feu qui était en lui et a répondu : "Oui, on s'est occupé de tout". Son expression était calme mais son ton était désapprobateur. Il était évident que ce n'était pas la première fois qu'une telle chose arrivait, et que cela devenait de plus en plus régulier.

"C'est le quinzième ce soir. On dirait qu'ils aiment choisir le quinze pour se battre." Elle avait une main sur sa joue alors qu'elle le regardait : "Combien de médicaments te reste-t-il ? Après l'avoir pris, tu n'aurais pas dû avoir de réaction ?"

"Aussi précieuse que soit la propriété du feu du médicament, il n'a pas pu supprimer le gel millénaire dans mon corps. Tu as dû utiliser du sang de phénix de feu ancien !" Bien que ce soit une question, il avait l'air sûr de ce qu'il disait.

"Oui, intelligent." Elle a souri légèrement, son ton un peu suffisant alors qu'elle continuait : "Par conséquent, la question de mon vol de ton ginseng millénaire et de mon escroquerie doit être mise de côté. Tu dois savoir que mon médicament est difficile à obtenir."

Lorsqu'il a entendu cela, Ling Mo Han n'a pas pu s'empêcher de sourire : "À l'avenir, quand tu voudras quelque chose, tu n'auras qu'à me le dire."

"Si je te le dis, tu me le donneras ?" Elle a roulé les yeux et a souri.

"Oui, mes affaires deviendront bientôt tes affaires". Il l'a regardée profondément dans les yeux : "Ce qui est à moi est à toi".

"Haha, garde-le !"

Elle a souri maladroitement, mais elle n'a pas osé se jeter sur lui. La pensée de lui pressé contre elle était trop belle pour être imaginée......

Après avoir terminé son eau, Ling Mo Han a posé la tasse. Son regard profond est tombé sur elle. Il s'est levé brusquement, a tendu la main et l'a tirée dans ses bras. Feng Jiu a sursauté et a demandé : "Qu'est-ce que tu fais ? C'est le milieu de la nuit. Repose-moi immédiatement."