The Ghostly Doctor Partie 3 / Mesmerizing Ghost Doctor Light Novel (Roman)

Chapitre 410 Tu penses pouvoir te révolter ?

"Tu... tu crois que tu peux te révolter ?" a grogné le général en chef à Feng Jiu, mais dès que les mots ont quitté ses lèvres, il a vu une silhouette surgir devant lui, attraper son poignet et le plier vers le bas avec un horrible craquement alors que le son de l'os qui éclate perce le soir en même temps que le son du général qui hurle de douleur.

Le son aigu de son cri a surpris ses gardes royaux, et ils ont instinctivement dégainé leurs épées. Mais à cet instant également, leur général s'est effondré sur le sol et ils n'entendaient que ses gémissements. Même ses hurlements misérables s'étaient tus.

Les gardes Feng, vertueux et résolus, observaient également l'homme prostré sur le sol. Imperturbables, les hommes avaient des sueurs froides et ne voulaient pas faire un pas en avant.

"Tu vois ça ? C'est ce qui arrive quand on ne montre pas de respect à la Maîtresse !" a dit l'un des huit gardes Feng, balayant les gardes royaux d'un regard féroce avant de jeter un regard furieux à l'autre général, dont le visage est devenu pâle, qui a légèrement reculé.

"Tu n'as pas entendu la question de la Maîtresse ? Parle ! Qui vous a donné le droit d'encercler la Résidence Feng ?"

En entendant cela, l'autre général a pris une profonde inspiration et s'est souvenu du commandement du Souverain. Redressant son dos, il a regardé la Garde Feng et s'est écrié : "C'est le décret du Souverain, bien sûr !"

"Grotesque !" hurle froidement Feng Jiu, "Mon grand-père est un père fondateur de Sun Glory. Mon père est l'un de ses plus grands protecteurs. Même si notre famille Feng devait prendre le pouvoir, personne ne pourra effacer notre crédit à cette société. Comme notre Souverain doit être sage pour attendre que mon grand-père ait disparu et que mon père soit tombé dans la stupeur pour venir ici et intimider une fille sans défense comme moi !"

Sa voix était sonore et énergique, comme si elle flattait Murong Bo, et pourtant ses mots brillaient d'un tranchant aiguisé. Son comportement était si agressif que le général n'a pas pu s'empêcher de trébucher en arrière. Pendant un instant, le général a été pris dans un dilemme.

S'il admettait qu'il agissait sur ordre du Souverain, ne dirait-il pas que le Souverain était incompétent pour l'envoyer ici intimider la petite-fille d'un père fondateur du pays et la fille de son protecteur ? Et qu'en est-il de la disparition du Patriarche Feng et de la stupeur de Feng Xiao ? Pourquoi agir à un tel moment ?

S'il refusait d'admettre qu'il agissait sur ordre du Souverain, cela ne reviendrait-il pas à convoquer les gardes pour son propre compte afin d'intimider la famille Feng ? Étant donné les conséquences, il savait qu'il ne pouvait pas admettre un crime aussi grave...

En pensant à cela, il s'est mis à avoir des sueurs froides et son visage est devenu cendré. Il a commencé à regretter d'avoir choisi cette course inopportune. C'était vraiment une tâche ingrate ! Pas étonnant que personne d'autre ne se soit battu contre lui pour cette opportunité ! Bien sûr, il n'y avait que ces deux idiots qui sautaient sur l'occasion pour diriger les gardes royaux une nuit comme celle-ci.

Une fille sans défense ?

Non loin de là, le chef de la famille Geng et plusieurs de ses hommes se tenaient cachés dans l'obscurité de la nuit. Après avoir entendu Feng Jiu parler, un sourire s'est fendu sur son visage et il a regardé en face pour voir la silhouette confiante et éblouissante en cape rouge.

Avant que son père ne dise son mot, la famille Geng ne s'était jamais préoccupée de cette question. Bien qu'ils se tenaient au courant des développements, ils avaient rarement rencontré la légendaire Jeune Mademoiselle Feng. Eux aussi l'avaient considérée comme rien de plus qu'une fille sans défense, mais après ce qu'ils avaient vu ce soir, ils savaient que la Jeune Mademoiselle Feng n'était pas un kaki mou qui attendait que quelqu'un le plume.

En voyant comment elle avait renversé les rôles si facilement, avec une telle finesse et une telle force, au point que les gardes royaux n'étaient pas disposés à agir, les chefs des autres familles ont soupiré d'envie.

Ils étaient venus ici en prévoyant de voir si elle avait besoin d'aide, mais après avoir vu la rapidité avec laquelle les choses ont été réglées ce soir, il semble qu'elle pouvait très bien se débrouiller toute seule !

Cependant, à cet instant précis, une voix sinistre et effrayante a retenti...