Chapitre 20 - Thomas à la maison.

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Alors que je dort, je sens une main dans mes cheveux. Je me réveille doucement, j'aime bien ça. Je ne savais pas que Lucas allais rentrer aussi tôt.

-C'est trop agréable, continue.

-Tu aimes toujours autant.

J'ouvre définitivement les yeux, je me retient de hurler.

Thomas continue à me caresser les cheveux, je retire rapidement sa main. Sauf que j'ai fait une erreur, ça réveille sa colère pour moi. Je le regarde dans les yeux, je recule jusqu'à ce que je sente le bord de mon lit.

-Dégage de chez moi tout de suite.

-C'est dingue que tu n'es rien changé depuis notre rupture, sauf la serrure, mais elle est toujours aussi simple à forcer.

-Dégage !

-Ton mec est loin à ce que je sais et ta meilleure amie est chez son mec en train de baiser, personne ne peut venir en urgence.

-Comment tu sais tout ça ?

-Je le sais, c'est tout.

Il monte sur le lit et s'allonge presque sur moi. Je me tortille sous lui et je tombe au sol. Thomas s'assoit sur mon lit, je recule jusqu'au mur.

-C'est drôle, tu fait toujours comme avant, tu fuis et tu réussis à m'énerver.

-Je te le dit une dernière fois, sort de chez moi et laisse mes amis tranquille.

Je réussis à me lever et à sortir de la chambre. Je fonce dans le salon, mais Thomas me rejoint rapidement.

-Arrête de fuir Candice, merde. De toute façon, je ne compte pas te faire du mal cette nuit.

-Sérieux ?

-Ouais. Aller, vient.

Il tends sa main vers moi, mais je hoche la tête. Je ne veux pas prendre sa main.

-OK, t'es maso comme femme.

Thomas s'approche un peu plus de moi et me colle une gifle tellement forte que je tombe. Je sens un coup de pied contre mes côtes, ça me fait trop mal. Je n'ai plus l'habitude des coups, je me recroqueville sur moi. Il frappe une nouvelle fois, mais dans mon dos. Ça me coupe le souffle et je lâche un petit cri.

-Aller, debout.

Je me lève, je ne veux pas plus l'énerver. Je le regarde en posant une main sur mon ventre, j'ai vraiment mal.

-Alors, qu'est-ce que je vais te faire ?

-Ce que tu veut, tant que tu ne touche pas mon visage.

-Ça c'est cool.

Psychopathe. Il prends mon bras et m'emmène jusqu'à la chambre. Je finis sur le lit, je regarde ce qu'il fait. Il retire sa ceinture, je sais ce qu'il va me faire, alors je me lève et je tente de sortir, mais il a fermé la porte et il me prends par la taille.

-Où est-ce que tu voulais aller comme ça ?

-Fuir, je sais ce que tu vas faire !

-Je retirais juste ma ceinture parce qu'elle me gênait. Je suis pas taré au point de te frapper avec, pas un aussi beau corps. Aller, au lit.

-Non.

-Ne m'oblige pas à utiliser la force.

-Sort de chez moi, tu n'utiliseras pas la force.

Il soupir puis il prends mon bras et me pousse sur mon lit. Il s'installe sur moi, prends mes poignées et les attaches avec sa ceinture. Il prends mon menton et me force à le regarder.

-Maintenant, tu te calmes et respire. Je vais rien te faire, pas ce soir.

-Alors pourquoi tu m'attache ?

-Pour que tu reste calme. Quand tu seras endormie je te retirais la ceinture, pas avant.

-Je te déteste.

-Et moi je t'aime toujours autant.

Il m'embrasse, je tourne la tête et il se lève. Je regarde la ceinture, je peux la retirer facilement, donc je le fait. Je fait attention à Thomas, il est de dos et il retire son tee-shirt. Même si je le déteste, que je veux le voir crever, je suis obligée d'avouer qu'il est bien foutu. Quand nous étions en couple, avant qu'il me batte, je l'admirais toujours et j'allais à la salle pour le voir.

Enfin, j'ai réussis à retirer la ceinture, je la pose au sol et je m'assois sur le lit, dos à lui. Je l'entends soupirer, il dois s'asseoir sur le lit, je le sens bouger.

-Candice, couche-toi.

Je me tourne un peu, Thomas pose sa main sur mon épaule. Je récupère ma lampe de chevet et je le frappe avec. Je me lève et je cours chez la voisine. Malgré l'heure, elle vient rapidement me répondre.

-Qu'est-ce qu'il ce passe ?

-Laissez-moi entrer s'il vous plaît.

-Pourquoi ?

-Je dois appeler la police et me mettre en sécurité.

Elle se décale et elle me laisse entrer. Elle me passe son portable, je retourne devant la porte et j'appelle la police. Thomas ne semble pas être sortis, en même temps j'ai du l'assommer avec ma lampe. J'ai pas contrôlée ma force, je voulais juste partir.

**************

Hey ! Voilà la suite tant attendus par beaucoup d'entre vous. 

Si vous lisez cette petite partie, je vous en supplie, arrêtez de demander la suite de l'histoire. Elle arrive assez régulièrement, le lundi sûr, après je peux publier un à deux chapitres en plus, selon l'avancement de mon côté. 

Sachant que j'en ai deux autres que j'écris en même temps, je ne peux pas me concentrer uniquement sur ADMP, essayez de le comprendre.

J'ai aussi une vie, je ne passe pas tout mon temps à écrire. J'ai une famille, des recherches à faire pour reprendre mes études, alors je ne suis pas toujours sur LibreOffice pour écrire mes histoires, et ça vaut pour Amoureuse de mon patron et aussi pour Ma bête à moi. J'aime aussi beaucoup lire.

Je pense que vous pouvez comprendre le fait que je ne suis pas un robot, que je prends mon temps pour écrire cette histoire, sans qu'elle sois bourrée de fautes et d'incohérence. Je dois également trouver l'inspiration et faire que je puisse écrire tout les événements que je veux dans l'ordre et au bon moment.

La suite arrive lundi, promis.

Je vous embrasse, Céline <3

Amoureuse de mon patron ~ TERMINÉEWhere stories live. Discover now