L'histoire commence à la saison 1. Je ne sais pas trop encore jusqu'où elle ira, j'ai simplement imaginé un personnage de plus. Rilley, la soeur de Rick. Une femme badasse, prête à tout pour survivre.
Je marche, je cours, je tire, je tue, je fouill...
On venait d'arriver devant la boite aux lettre au nom des Green. Un énorme champ à perte de vue, avec au milieu une maison et une grange. Un petit coin de paradis quoi... Ca avait l'air assez tranquille. C'était comme si l'endroit avait échappé à l'apocalypse, incroyable. Espérons juste qu'on puisse y rester, ça serait pas mal.
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Merle s'avance, je continue de le suivre. On s'arrête avant la maison, histoire de respecter la propriété des gens qui vivent ici. La jeune femme au cheval vient dans notre direction. Je coupe le moteur et décide de prendre les devants, car si je laisse Merle établir le premier contact, on pouvait être sûr de devoir faire demi-tour dans la seconde qui suivait. Avant que j'ai le temps d'arriver, Rilley était descendu de la moto et discutait avec la cavalière tandis que Merle fermait sa gueule. Hum... étrange, la jeune femme avait sans doute du le briffer pour pas qu'il intervienne.
Rilley : " Comment il va ?" Lui demanda t-elle.
J'ai pas eus le temps de les rejoindre que cette dernière courait déjà en direction de la ferme, accompagné de la cavalière qui du coup venait de me mettre un vent monumentale.
Merle: " Et ben mon vieux, si y en a plusieurs comme ça, moi j'veux bien me mettre fermier." Me dit-il.
Il matait les deux jeunes femmes qui s'éloignaient sans aucune gênes, Merle quoi... Je secoue la tête devant son comportement. Il était tellement exaspérant quand il s'y mettait.
Merle: " Y a pas à dire quand même, c'est Rilley qu'à le plus beau cul ! "Rigola t-il.
J'dis rien car sinon j'vais m'énerver et il trouvera encore le moyen de me dire que j'défends ma gonzesse, ce qui me saoulera encore plus et bref on connaît la suite, donc je m'abstiens. Dale et Glenn me rejoigne pour en savoir plus, seulement, j'ai rien à leur dire étant donné que j'ai pas eus le temps de parler avec la cavalière. On se tient là, tous comme des glands. T-Dog commence à être pâle, j'me tourne vers Merle.
Moi: "Donne lui quelque chose."
Merle: " Tu rigole ? J'donne pas mon matos à n'importe qui et encore moins à un negro."
Moi: " Putain Merle, arrêtes tes conneries et donne!" Lui ordonnais-je.
Il me regarde quelques minutes, mais je bouges pas. J'lui fais bien comprendre du regard que je lâcherais pas. Il finit par souffler avant de fouiller dans la sacoche de sa moto. Il me balance une petite boite jaune transparente quasiment neuve.
Merle: " Et ça s'appel revient!" Gueula t-il tandis que je m'éloignais vers le blessé.
